Publié par
Crevard Ingenieux
Bien sûr que c'est à débattre, on a encore le droit de n'avoir aucune considération ou de n'accorder aucune valeur au poste/fonction de président de la république. D'ailleurs, rien que l'affirmation que le président de la république française soit élu démocratiquement est elle-même au mieux débattable.
Bien sûr qu'on peut aller plus loin en débattre sur le fond, j'ai juste résumé la situation en mode "ololo il peut se faire gifler comme n'importe tout le monde" : Non, pas dans la France dans laquelle nous vivons. Pas par rapport aux valeurs de la République. Surtout en prenant l'exemple du prolétaire, alors qu'ici les prolétaires il y en a pas des masses, c'est juste que ça fait "chic" et relativement socialement conscientisé. Genre je me soucie du bas-peuple avec un petit air supérieur bien méprisant.
D'ailleurs, ça serait bien qu'un jour on fasse une analyse socio des gens qui postent ici, ça serait intéressant de le comparer au panel de la société.
Bien sûr qu'on peut débattre du principe de démocratie réelle dans une société de classes, mais à un moment que tu le veuilles ou non, c'est ton Président. Le tien, le mien et celui des 66 millions de français. Il a été élu sur des principes édictés par la constitution, etc.
Alors oui, camarade, je peux te parler des rapports de classe, des limites du système de vote, de l'importance des capitalistes qui biaisent, la lutte des classes, les racisés opprimés, les marginaux, des lumen-prolétaires mais mon propos consistait à dire 2 choses :
- Le président n'est pas un citoyen comme les autres.
- En règle générale, la violence n'a pas a être tolérée, que ce soit ta femme que tu bas ou que ce soit le président que tu gifles.
Alors tu peux me parler de violence symbolique, de gnia gnia de tout ce que tu veux, mais tu t'égares camarade si tu n'es pas capable de comprendre que gifler quelqu'un, c'est que tu défends un facho et que du coup, poses-toi les bonnes questions parce que tu commences à puer sévère le rouge-brun.
Et dire que Macron a du sang sur les mains, c'est le cas de tous les présidents hein, c'est un peu une tarte à la crème. Cite-moi un seul président qui n'a pas pris de décision qui a engendré la mort d'individus ?
Niveau démagogie de bas étage, c'est pas mal.