[Wiki][POGNAX] Coronavirus/Covid-19, ici c'est le sujet mondial

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Citation :
Publié par ShlacK
ah bon? explosion des dépressions et anxiétés chez les ados irl de part chez moi et çà se comprend. si on vivait en plein covid a nos 16 -21 ans çà serait archi dure pour notre santé mentale.
Et qu'est ce qui te dit que c'est le confinement ?
Pour le côté social et occupations on a quand même beaucoup de possibilités par rapport à y a 20 ans.

Puis bon faut pas se leurrer... les jeunes qui veulent vraiment sortir le font(au boulot on a un apprenti, il s'en cache pas, vu les contrôles inexistant chez nous, les fêtes ça y va malheureusement :/ )
Citation :
Publié par Borh
Et qu'est ce qui te dit que c'est le confinement ?
Ca fait un an qu'on bouffe du COVID H24. A la radio, à la tv, sur le net, les RS, au boulot, à l'école, dès qu'on croise quelqu'un c'est LE sujet qui va forcément venir à un moment donné. Donc on en mange tout le temps, et on le subi forcément un minimum aussi, cf les dires de Aiina et Schlak.

Donc t'es sérieux Borh avec ta question ? Tu veux que ce soit quoi sinon ?

EDIT : Font chier ces 20 minutes de latence Ouais j'y ai pensé au moment où je postais... Ceci étant, je trouve ça étrange de consacrer une étude sur la santé mentale des jeunes vis-à-vis uniquement du confinement, donc en occultant une bonne partie du problème. Le COVID et ses conséquences néfastes ça ne se résume évidemment pas qu'au confinement. Puis c'est une conclusion qui peut mal être interprétée... la preuve

Dernière modification par B£iss ; 11/03/2021 à 21h58.
Citation :
Publié par B£iss
Ca fait un an qu'on bouffe du COVID H24. A la radio, à la tv, sur le net, les RS, au boulot, à l'école, dès qu'on croise quelqu'un c'est LE sujet qui va forcément venir à un moment donné. Donc on en mange tout le temps, et on le subi forcément un minimum aussi, cf les dires de Aiina et Schlak.

Donc t'es sérieux Borh avec ta question ? Tu veux que ce soit quoi sinon ?
Je pense que Borh fait la différence entre confinement et pandémie. La pandémie plombe l'ambiance globale, ce n'est pas forcément le confinement en lui-même qui est donc responsable des dépressions massives, notamment chez les jeunes.
Citation :
Publié par B£iss
Ca fait un an qu'on bouffe du COVID H24. A la radio, à la tv, sur le net, les RS, au boulot, à l'école, dès qu'on croise quelqu'un c'est LE sujet qui va forcément venir à un moment donné. Donc on en mange tout le temps, et on le subi forcément un minimum aussi, cf les dires de Aiina et Schlak.

Donc t'es sérieux Borh avec ta question ? Tu veux que ce soit quoi sinon ?
Le Covid n'est pas le sujet de l'étude.
Je cite Borh
Citation :
La première grande méta-analyse sur les effets psychologiques néfastes du confinement sur la population
https://www.cambridge.org/core/journals/psychological-medicine/article/psychological-impact-of-covid19-pandemic-lockdowns-a-review-and-metaanalysis-of-longitudinal-studies-and-natural-experiments/04BBA90C535107A90B851DFCE8D4693C

Résultats : pas d'effet confirmé du confinement sur la santé mentale
Du coup je suis assez curieux : il est évident que la pandémie, via les incertitudes et les restrictions qu'elle amène, à un impact sur la santé mentale. Le confinement empirant l'un et l'autre ça me paraît étonnant mais je veux bien y croire hein, sauf que du coup : comment l'étude fait elle pour étudier le confinement en l'isolant ?
Citation :
Publié par Nof Samedisþjófr
Dans ce sujet : "Une étude scientifique contredit mes impressions et mon 'bon sens'. C'est donc que l'étude se plante."
D'autant plus que mes impressions et mon bon sens fournissent une justification affichable à mon refus du confinement, c'est donc que cette étude se plante doublement.
Citation :
Publié par Nof Samedisþjófr
Dans ce sujet : "Une étude scientifique contredit mes impressions et mon 'bon sens'. C'est donc que l'étude se plante."
non non, je donne mon impression mais c'est ce qu'on voit partout du moins aux USA et en France de ce que j'ai pu comprendre. Je reçois ma dose feeds au quotidien de maj coté recherche et la situation actuellement en pédiatrie (un peu comme TabouJr qui nous informe de ce qui se passe de son cote et je la remercie pour cela) et on nous parle quotidiennement des gros effets negatifs du covid sur la santé mentale des ados (la therapiste qu'on a du embauché ne pouvait plus prendre de patients supplémentaires 3 mois plus tard , c'est tellement mauvais) donc j'ai eu la flemme de quote quelconque source car je trouvais assez gros les resultats de cet article et que Borh le mette en avant (j'apprecie bien Borh quand meme, on peut ne pas etre d'accord sur tout et ca va, par contre Nof ). Ca fait un peu comme un platiste qui voudrait des sources. Ce n'est pas pour rien que le CDC et les autres ont toute une section la dessus: https://www.cdc.gov/coronavirus/2019...olescence.html
Citation :
Publié par ShlacK
non non, je donne mon impression mais c'est ce qu'on voit partout du moins aux USA et en France de ce que j'ai pu comprendre. Je reçois ma dose feeds au quotidien de maj coté recherche et la situation actuellement en pédiatrie (un peu comme TabouJr qui nous informe de ce qui se passe de son cote et je la remercie pour cela) et on nous parle quotidiennement des gros effets negatifs du covid sur la santé mentale des ados (la therapiste qu'on a du embauché ne pouvait plus prendre de patients supplémentaires 3 mois plus tard , c'est tellement mauvais) donc j'ai eu la flemme de quote quelconque source car je trouvais assez gros les resultats de cet article et que Borh le mette en avant (j'apprecie bien Borh quand meme, on peut ne pas etre d'accord sur tout et ca va, par contre Nof ). Ca fait un peu comme un platiste qui voudrait des sources. Ce n'est pas pour rien que le CDC et les autres ont toute une section la dessus: https://www.cdc.gov/coronavirus/2019...olescence.html
Ce que tu vois actuellement n'est pourtant pas une situation de "lockdown", on en est sorti depuis quasiment 3 mois maintenant, comme dit plus haut, c'est une étude basée spécifiquement sur le confinement lié à la pandémie de Covid-19 et non sur l'impact psychologique global de la pandémie sur la population.

Cependant, je vais me permettre de te soutenir vis à vis d'une quelconque opposition que tu pourrais avoir sur le sujet de l'impact psychologique du confinement sur les adolescents (et enfants) :
Citation :
Second, regarding participants' age, we were not able to find any studies involving children and adolescents and participants from different geographic areas such as Africa and South America. The psychological impact of lockdown on children may be different from that of adults, particularly in the context of widespread school closures. Therefore, the findings of our meta-analysis cannot be generalized to children and adolescents or to people all over the world.
Voilà, les données étant ce qu'elles sont, il s'agit d'une étude assez solides en ce qui concerne les adultes de l'hémisphère nord (concernant certains facteurs clés, on est pas dans de l'exhaustif en terme de santé mentale), et à prendre avec de longues pincettes si on essaie de l'appliquer à des ados/enfants.
Citation :
Publié par Nof Samedisþjófr
Dans ce sujet : "Une étude scientifique contredit mes impressions et mon 'bon sens'. C'est donc que l'étude se plante."
Ben, surtout, je viens d'en lire une partie, des gens ici ont manifestement mal compris ce qu'ils lisaient.

Citation :
Using a random effects model, we found that lockdowns had small effects on mental health symptoms, g = 0.17, s.e. = 0.05, 95% CI (0.06–0.24), p = 0.001, but the effects on positive psychological functioning, g = −0.12, s.e. = 0.11, 95% CI (−0.33 to 0.09), p = 0.27, were not significant. Multivariate analysis of effect sizes revealed significant and relatively small effect sizes for anxiety and depression, while those for social support, loneliness, general distress, negative affect, and suicide risk were not significant.
Que je traduis par "L'analyse des variables de l'amplitude des expressions montre des expressions significatives mais de faible ampleur pour l'anxiété et la dépression".

Ca veut dire qu'il y a bien des effets sur l'anxiété et la dépression. Le titre "pas d'effet confirmé du confinement" ne semble donc surtout montrer que le traducteur devrait s'abstenir vu son niveau d'anglais ne lui permettant pas de comprendre le texte.
à qui les commandes de vaccins sont-elles passées ?
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et par qui ?
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source : https://www.lemonde.fr/les-decodeurs...0_4355770.html



un des commentaires

Citation :
il manque un point essentiel, les vaccins livrés (et non seulement condamnés). Vous verriez une toute autre géopolitique apparaître, bien plus avantageuse pour la Chine qui a déjà livré ses vaccins en très grand nombre. Ex: déjà 10 millions de doses livrées au Chili. Et ce n'est qu'un exemple. De quoi faire pâlir bien des pays qui ont pourtant les carnets de commande pleins. Et il ne faut pas penser que cette avance prise sera perdue par la suite, car on n'en sait rien.
Citation :
Publié par Kael Destrenn
Voilà, les données étant ce qu'elles sont, il s'agit d'une étude assez solides en ce qui concerne les adultes de l'hémisphère nord (concernant certains facteurs clés, on est pas dans de l'exhaustif en terme de santé mentale), et à prendre avec de longues pincettes si on essaie de l'appliquer à des ados/enfants.
C'est surtout pour cela qu'il faut plusieurs études avant quelconques conclusions. Mais bref, c'est pas de la thérapeutique ici. Que le confinement et cie et le covid plombent le moral des gens, cela va de soi. Pas besoin d'avoir un doctorat pour faire ce constat. Il y avait un animé dans ce style. Le scientifique qui ne comprenait pas son amour pour une autre personne et faisait pleins d'études et d'essais pour les expliquer.

L'article en ce sens qui a pop aujourd'hui et ça ne sera ni le premier ni le dernier. Sur "Pediatrics" qui est une revue scientifique importante:

Citation :
Suicide Ideation and Attempts in a Pediatric Emergency Department Before and During COVID-19

Elevated rates of mental health concerns have been identified during the coronavirus disease 2019 (COVID-19) pandemic
...
Rates of suicide ideation and attempts were higher during some months of 2020 as compared with 2019 but were not universally higher across this period. Months with significantly higher rates of suicide-related behaviors appear to correspond to times when COVID-19–related stressors and community responses were heightened, indicating that youth experienced elevated distress during these periods.
source
Citation :
Publié par ShlacK
C'est surtout pour cela qu'il faut plusieurs études avant quelconques conclusions.
C'est peut être pour ça que Bohr parlait de méta-analyse : elle porte sur 25 études distinctes.
Johnson & Johnson : les espoirs du premier vaccin à dose unique
L’Agence européenne des médicaments a approuvé, jeudi, le produit du géant américain. Avec une injection unique et une conservation au réfrigérateur, ses concepteurs voient en lui le produit idéal.



Citation :
Une autre histoire… qui semble pourtant commencer un peu comme celle de tous ses concurrents, vendredi 10 janvier 2020. Dans son bureau de l’école de médecine d’Harvard, le professeur Dan Barouch, 49 ans, la raconte avec un sourire juvénile, chemise bleu ciel sur tee-shirt blanc, voix enrhumée, rendue métallique par la liaison Zoom. « Tout le labo était réuni au dernier étage du Musée des sciences de Boston pour notre séminaire annuel. Nous avions parlé de l’année écoulée, des projets à venir, et puis on a évoqué cette pneumonie qui avait démarré à Wuhan [en Chine]. Il y avait 41 cas et un mort, ça paraît rien aujourd’hui, mais nous étions d’accord pour dire que c’était sérieux. »



Citation :
Entré à Harvard à 16 ans, docteur en biochimie à 22 ans, médecin diplômé à 26 ans, avec un passage par Oxford, Dan Barouch a d’abord conçu ce que les vaccinologues nomment une « plate-forme » : un système capable de créer la réponse immunitaire adaptée.

Pour lui, ce sera le vecteur viral, technologie déjà connue mais pas encore utilisée en vaccinologie humaine. Son principe : charger un virus de convoyer vers les cellules un mode d’emploi génétique, et laisser ensuite celles-ci faire le travail, à savoir produire l’antigène qui ordonnera la mémoire du système immunitaire. La même méthode que celle utilisée par le vaccin d’AstraZeneca.

Mais là où les Britanniques s’appuient sur un virus de chimpanzé, lui manipule un adénovirus humain. Il en a testé plusieurs différents, à l’époque, et arrêté son choix sur Ad26, le responsable d’un rhume humain bénin. En lui retirant un fragment qui permet sa réplication, et en le remplaçant par le code de la protéine voulue, il obtient « une réponse immunitaire ciblée spectaculaire ».



Citation :
En Chine, le virus commence à cavaler. Le 22 janvier, la transmission interhumaine est avérée. « Il était clair pour nous qu’une pandémie se préparait, il fallait aller vite », raconte Dan Barouch. Alors l’immunologiste envoie un message à Johan Van Hoof, le patron de la division vaccin de Janssen, compère de l’aventure Ebola. « Il faut que l’on se parle. » Son téléphone sonne immédiatement. « En quelques minutes, le principe était acquis. En quatre jours, l’accord était signé. Normalement, ça prend quatre mois. »

C’est qu’à Leyde aussi les équipes carburent. « Les scientifiques ont une curiosité intrinsèque, sourit la virologue Hanneke Schuitemaker, ancienne de Crucell, désormais responsable du développement vaccinal de Janssen. Dès que l’on a appris qu’un début d’épidémie était apparu à Wuhan, tout le monde traquait les informations sur Internet. » Aussi, lorsque la séquence génétique du coronavirus apparaît, plusieurs chercheurs se plongent dans les 30 000 bases du génome, confirment qu’il s’agit bien d’un coronavirus, imaginent des antigènes, construisent des scénarios, ébauchent des simulations.



Citation :
En Chine, le virus commence à cavaler. Le 22 janvier, la transmission interhumaine est avérée. « Il était clair pour nous qu’une pandémie se préparait, il fallait aller vite », raconte Dan Barouch. Alors l’immunologiste envoie un message à Johan Van Hoof, le patron de la division vaccin de Janssen, compère de l’aventure Ebola. « Il faut que l’on se parle. » Son téléphone sonne immédiatement. « En quelques minutes, le principe était acquis. En quatre jours, l’accord était signé. Normalement, ça prend quatre mois. »

C’est qu’à Leyde aussi les équipes carburent. « Les scientifiques ont une curiosité intrinsèque, sourit la virologue Hanneke Schuitemaker, ancienne de Crucell, désormais responsable du développement vaccinal de Janssen. Dès que l’on a appris qu’un début d’épidémie était apparu à Wuhan, tout le monde traquait les informations sur Internet. » Aussi, lorsque la séquence génétique du coronavirus apparaît, plusieurs chercheurs se plongent dans les 30 000 bases du génome, confirment qu’il s’agit bien d’un coronavirus, imaginent des antigènes, construisent des scénarios, ébauchent des simulations.


Citation :
Le casting est désormais en place. De part et d’autre de l’Atlantique, on s’active, on réfléchit, on teste. L’antigène, surtout. Pour éduquer le système immunitaire, faut-il lui présenter toute la protéine spicule (spike), celle-là même qui permet au virus de s’accrocher sur les récepteurs humains ? Ou juste certaines parties ? Faut-il l’enrichir, la simplifier, la stabiliser ? La spike changeant de conformation spatiale, laquelle faut-il privilégier ? Comment optimiser son expression ? S’assurer aussi qu’elle sera adaptée à une production à grande échelle ?

Article réservé à nos abonnés Lire aussi Un quatrième vaccin pour les Européens, mais des problèmes de livraison en vue
Les prototypes se multiplient, pas moins de douze. Puis, fin février, alors que l’Europe et les Etats-Unis poursuivent leur vie quotidienne comme si de rien n’était, quelques souris reçoivent un premier prototype du vaccin. Et développent une réponse immunitaire.

Le vrai candidat vaccin, qui sortira des paillasses de Leyde quelques jours plus tard, n’a pas encore été testé.


Citation :
Le schéma à deux doses n’a pas été tout à fait abandonné. Un essai lancé en novembre à travers le monde, et notamment en France, se poursuit pour observer l’efficacité de ce second régime. J & J a également prévu d’étudier son vaccin sur les femmes enceintes, de tester une formulation pour les enfants, d’observer l’effet d’un rappel plusieurs mois après une première vaccination, et évidemment de prévoir une adaptation éventuelle de son produit aux variants.

Pas sûr, pourtant, qu’il en ait besoin : son retard lui a permis de mesurer l’effet du mutant sud-africain B.1.351 sur le vaccin. L’efficacité globale passe de 72 % à 56 % (avec une moyenne à 66 %) – là où celle d’AstraZeneca chute de 70 % à 22 % et celle de Novavax de 92 % à 48 % –, une baisse modérée que les équipes de Johnson & Johnson attribuent à une meilleure réponse cellulaire. Surtout, il conserve une efficacité de 84 % contre les formes sévères, quels que soient les variants.


https://www.lemonde.fr/planete/artic...2663_3244.html


en fait de même que le Pfizer est issu d'une startup allemande, le J&J a largement été mis au point aux Pays-Bas
Citation :
Publié par ShlacK
L'article en ce sens qui a pop aujourd'hui et ça ne sera ni le premier ni le dernier. Sur "Pediatrics" qui est une revue scientifique importante:



source
Qu'il y ait des troubles psychiatriques en lien avec le Covid, c'est une chose et c'est ce que dit ton article. Mais là je parlais du confinement spécifiquement.

Perso, j'ai au moins un tiers de mes connaissances qui ont dans leur entourage un mort du Covid et/ou quelqu'un qui a des séquelles relou. Rien que ça, y a de quoi causer des dommages psychologiques.
Même ma fille de 4 ans, me dit de temps en temps "tu sais, y a plein de gens qui meurent à cause du Covid", je crois ça la marque beaucoup plus que le confinement.

Je cherche encore des troubles psychologiques chez ma fille en lien avec le confinement. Mais j'ai aucun doute par contre que ça irait très mal si un de ses papis ou une de ses mamies mourraient.

En France on en est à plus de 90 000 morts, la plupart probablement des papis et des mamies, ça fait combien d'enfants et d'adolescents endeuillés ?


Pour la méta-analyse, c'est spécifique du confinement. Je poste la conclusion et la phrase la plus importante imo

Citation :
The results of our meta-analysis indicate that the impact of COVID-19 pandemic lockdowns on mental health symptoms among the general population is small in magnitude. Therefore, claims that COVID-19 pandemic lockdown policies have a dramatic effect on population mental health are unsupported by the current findings. On the contrary, the findings suggest that people are largely psychologically resilient to stay-at-home orders, lockdowns, and similar restrictions that were enforced at the national or regional level around the world in response to the COVID-19 pandemic. Given the substantial degree of heterogeneity in our data, we posit that the impact of COVID-19 pandemic lockdowns on mental health may be different across different social groups and across different contexts and countries. Disparate health impacts have been an important focus during the COVID-19 pandemic and can be applied to the impact of lockdowns on mental health as well. Future research should attempt to establish a more precise relationship between lockdowns and positive and negative mental health indicators and to investigate the socio-contextual factors that are likely to influence such relationships. In conclusion, the effect size estimates of our meta-analysis of longitudinal studies and natural experiments represent the best available evidence on the effect of lockdown on mental health of the general population. Based on these estimates, the initial effect of lockdowns on mental health is relatively small, providing evidence of people's robust capacity for resilience.

Dernière modification par Borh ; 12/03/2021 à 08h03.
Citation :
Publié par Borh
La première grande méta-analyse sur les effets psychologiques néfastes du confinement sur la population
https://www.cambridge.org/core/journals/psychological-medicine/article/psychological-impact-of-covid19-pandemic-lockdowns-a-review-and-metaanalysis-of-longitudinal-studies-and-natural-experiments/04BBA90C535107A90B851DFCE8D4693C

Résultats : pas d'effet confirmé du confinement sur la santé mentale
Résultats : un effet à court terme faible, mais avéré, de certains des confinements du printemps dernier sur la santé mentale des populations adultes concernées, en raison peut-être de leur adhésion aux mesure sanitaires de la première vague. C'est dans le texte.

Et il suffit de lire la discussion pour bien cerner les limites avouées de cette étude : sur la situation un an après, sur les enfants et les adolescents, sur les risques de suicides et sur les groupes socio-économiques les plus impactés. Sans parler du reste, et notamment de la définition retenue du confinement, qui englobe des situations tellement disparates qu'elles ne peuvent pas être décemment comparées.
Citation :
Publié par Borh


Pour la méta-analyse, c'est spécifique du confinement. Je poste la conclusion et la phrase la plus importante imo
Ben justement, elle ne dit pas "pas d'effet du confinement", mais pas d'effet dramatique. C'est légèrement différent. Quand on veut pas d'approximation et de titres putaclic quand on parle d'études scientifiques, ça marche dans les deux sens. Reconnaître les effets du confinement ça ne veut pas dire décréter qu'il n'est pas souhaitable, ça c'est de la caricature.

Parce que la, ce que je peux tirer de ça, c'est que le confinement est évidemment préférable, sur ce point comme sur les autres, à une épidémie hors de contrôle. Mais qu'il n'est pas "sans effet", il a bien des effets. C'est donc bien une solution du "moins pire". Et c'est assez obvious d'ailleurs.
Oui on se raccroche aux branches comme on peut. Ça fait 1 an qu'on nous annonce une apocalypse de troubles psy en lien avec le confinement, et ça n'existe pas.
Après y a un tout petit effet sur l'anxiété et c'est "regardez je l'avais bien dit". Certains manquent pas d'air quand même.
Citation :
Publié par Borh
La première grande méta-analyse sur les effets psychologiques néfastes du confinement sur la population
https://www.cambridge.org/core/journals/psychological-medicine/article/psychological-impact-of-covid19-pandemic-lockdowns-a-review-and-metaanalysis-of-longitudinal-studies-and-natural-experiments/04BBA90C535107A90B851DFCE8D4693C

Résultats : pas d'effet confirmé du confinement sur la santé mentale
Est-ce que vous avez aussi une expérience (donc anecdotique) de pas mal de gens qui ont même bien vécu le premier confinement ? Avec ces dessins humoristiques sur les gens qui prenaient conscience que leur boulot n'avait pas de sens et se trouvaient très heureux de rester à la maison faire des pâtisseries avec leurs enfants.
Evidemment c'est une situation de privilégié, mais elle était pas non plus purement anecdotique.
Et c'était aussi l'époque où on croyait qu'une fois la première vague passée, on saurait faire face pour éviter une reprise (ha, ha, ha).
Citation :
Publié par blackbird
et où voulez vous en venir avec ces tableaux ? ou encore qui sont les bons et les méchants ?
à mettre les choses en perspective afin de discuter sur la base de visualisation de données et pas juste d'opinions perso et de yakas ?

Perso je pense qu'au niveau communication et géopolitique, le monde occidental tire très très mal son épingle du jeu. Comparativement quand on visualise les chiffres, en innovation et en production on restera largement leaders de fait, malgré un démarrage poussif.

En tout cas, il est révélateur que sur COVAX, Russie et Chine aient choisi de faire cavaliers seuls.
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