Tu entraves rien au sujet, il parle de revenus, tu me parles de CA, c'est grotesque.
c'est toi qui es grotesque, depuis le début tu es absolument pas constructif, tu es uniquement dans le dénigrement, à dire que je suis le dernier des cons, qui comprend rien à rien et sans étayer tes propos.
Tes chiffres sont complètement à la ramasse, 50% du CA dans les caisses de l'état, on nage en plein délire là, tu sais de quoi tu parles ou t'es encore un mec qui raconte n'importe quoi sans rien connaître au sujet (la fiscalité) que je sache si c'est la peine de te répondre. Prends des exemples crédibles et on rediscute.
Donc ok j'ai pris le temps de chercher un peu, et franchement mes estimations elles étaient vraiment pas loin!!!
http://www.challenges.fr/sport/20121...la-france.html
Souvent montrés du doigt pour leurs salaires mirobolants et leur comportement déplacé, les footballeurs professionnels génèrent néanmoins une activité économique non négligeable en France. C'est le message que tente de faire passer l'Union des clubs professionnels de football (UCPF) avec la deuxième édition de son baromètre Foot Pro impacts économiques et sociaux, réalisé par Ernst & Young et publié jeudi 8 novembre.
L'économie du football représentait ainsi pour la saison 2010-2011 un chiffre d'affaires direct et indirect de près de 5 milliards d'euros (+10% en un an) et 25.000 emplois (+2%). Ramenés au nombre de footballeurs professionnels (1.084), cela revient à 23 emplois et 4,6 millions d'euros de chiffres d'affaires pour chaque joueur de Ligue 1 et de Ligue 2.
Le foot ne se limite en effet pas aux champions du ballon rond et à leur encadrement. De nombreuses activités se développent autour des clubs : que ce soit au niveau de la sécurité des stades, des buvettes, des restaurants, des paris en ligne, des médias ou encore du BTP pour les stades.
Et même si l'on ne prend en compte que les données concernant les 40 clubs professionnels, ces derniers emploient directement près de 4.900 personnes (soit pratiquement 20% des effectifs créés par la filière) et développent un chiffre d'affaires de 1,243 milliard d'euros (soit 25% du chiffre d'affaires de la filière).
La bonne santé du foot est également une bonne affaire pour l'Etat. Le montant cumulé des cotisations sociales, salariales et de l'impôt sur le revenu représente près de 322.000 euros par joueur. Avec l'ensemble des salariés des clubs, on arrive même à un total de 622 millions d'euros de contribution sociale et fiscale à l'échelle hexagonale pour les clubs. Le chiffre pour la filière dans son ensemble est évalué à 1,3 milliard d'euros.
Une manne qui profite aussi aux collectivités locales. Sur ce terrain, c'est le Paris Saint-Germain qui reverse le plus d'argent. Le club de la capitale a payé plus de 6 millions d'euros de taxes et d'impôts locaux. Viennent ensuite, toujours pour la Ligue 1 (saison 2010-2011), l'Olympique de Marseille (4,5 millions d'euros), l'Olympique Lyonnais (4 millions d'euros) et les Girondins de Bordeaux (2,8 millions d'euros). Parmi les trois plus petits contributeurs, on retrouve logiquement des clubs moins huppés comme Arles-Avignon (622.000 euros), Lens (990.000 euros) et Valenciennes (1,1 million d'euros).
Une manière de rappeler pour l'UCPF, en plein débat budgétaire, que les clubs de foot contribuent déjà de manière conséquente à la collectivité. D'autant que les joueurs seront les premiers concernés par la nouvelle tranche d'imposition à 75% (au-delà de 1 million d'euros de revenus) prévue dans le projet de loi de finances 2013. Un texte qui est actuellement en discussion au Parlement. D'après l'UCPF, 15% à 20% des personnes concernées par cette mesure seront des footballeurs. Philippe Diallo, directeur de l'UCPF, estime même qu'elle devrait coûter au football français près de 150 millions d'euros, soit près de 10% du chiffre d'affaires des clubs pro.
Or, du côté des clubs, on fait grise mine. A part le flamboyant PSG, les équipes ont du mal à sortir la tête de l'eau financièrement et à conserver leurs meilleurs éléments. Le chiffre d'affaires des 40 clubs de Ligue 1 et de Ligue 2 a ainsi baissé de 3% sur la saison 2010-2011 pour atteindre 1,243 milliard d'euros. Le recul du sponsoring (-7%) et des recettes de matches (-15%) n'a pas été compensé par la hausse (+3%) des droits TV. Pas sûr cependant que les députés soient sensibles à cet argument, alors que les socialistes veulent faire de la taxe à 75% une réforme symbolique qui doit marquer le début de quinquennat du président François Hollande.
ok alors j'avais dit grosse louche 1 milliard de CA/recettes et 500 millions de taxes et impôts divers (d'après mon approximation intuitive d'un taux à 50%) et les vrais chiffres semblent être respectivement 1,243 milliards et 622 millions (soit 50,04% ^^).
perso je trouve que c'était une put**n de bonne estimation, après vous faites comme vous voulez.
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