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En l'occurrence, contre toute logique, c'est la Russie qui contribue le plus à la diminution des importations de gaz.
Dernière modification par Caniveau Royal ; 12/08/2022 à 20h08. |
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[Wiki] [POGNAX] [Rus vs. Ukr] La guerre russe contre l'Ukraine
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De mon coté de je vais citer un général d'aviation : "Nous faisons nous les occidentaux la guerre à la Russie par Ukraine interposée". Dès lors ça n'est pas étonnant que la Russie dans sa communication qu'elle soit nationale comme internationale rappelle qu'elle en capacité de nous frapper directement. C'est un risque que nos gouvernements ont acceptés dès lors qu'ils sont choisi d'apporter leur soutien à l'Ukraine. On est en droit d'estimer que ce soutien est légitime, moral, nécessaire voir dans notre intérêt. Le fait est que ça relève d'un choix. [Caniveau Royal : DSO] Citation :
C'est le même raisonnement qui a poussé les Etats à pratiquer le chacun pour soi dès lors que la crise est devenue mondiale. Ne pas le faire leur aurait porté préjudice. Dernière modification par Caniveau Royal ; 12/08/2022 à 19h59. |
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Ok, c'est subjectif. Mais du coup tu expliquais que c'est nous avons été hostile. C'est assez contradictoire. |
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point de Goya sur la guerre
Dans le point de situation du 21 mai, j’estimais que si les rapports de force restaient comme ils étaient et s’ils continuaient à « alimenter » le front avec les mêmes ressources, les Russes devraient s’être emparés du couple de villes Severodonetsk-Lysychansk pour le mois de juillet et du couple Sloviansk-Kramatorsk pour la fin du mois d’août. La conquête du Donbass, l’objectif offensif affiché officiellement depuis le 29 mars, aurait alors été presqu’atteint. Il ne manquerait plus que la prise de la petite ville de Pokrovk nœud routier au centre de ce qui resterait sous contrôle ukrainien de la province de Donetsk pour afficher une victoire complète. Si la première partie de l’hypothèse s’est avérée exacte, il est désormais infiniment peu probable que les forces russes parviennent à s’emparer de Sloviansk-Kramatorsk avant la fin du mois d’août, ni même celui de septembre. C’est qu’entre temps, les choses ont effectivement changé et que l’on s’approche du point Oméga, ce moment où les ressources disponibles en stock ou en production ne suffisent plus à alimenter les attaques. Celles-ci continuent bien sûr, du côté de Bakhmut notamment, la porte d’entrée sud du saillant de Kramatorsk ou plus au sud à proximité de la ville Donetsk, mais le rendement global de tous ces combats en km2 conquis depuis un mois est le plus faible de toute la guerre. Les choses ne vont pas mieux du côté ukrainien, où plusieurs avancées avaient pu être réalisées dans la région de Kharkiv, avant d’y être stoppées et parfois refoulées. Du côté de Kherson, l’autre front offensif ukrainien, le résultat de la division entre le nombre de fois où le mot « contre-offensive » a été prononcé depuis deux mois et le nombre de km2 réellement conquis ne cesse d’augmenter. Avant même la publication de cartes montrant la réduction rapide du nombre de frappes d’artillerie, le nerf de la guerre de positions, il y a eu des indices de changement. Le 8 juillet, Vladimir Poutine annonçait que « les choses sérieuses n’avaient pas encore commencé en Ukraine ». Quelques jours plus tard, son ministre des affaires étrangères promettait une extension territoriale du conflit « au-delà du Donbass » ajoutant un peu plus tard que « La Russie aidera obligatoirement l’Ukraine à se débarrasser du régime “antipopulaire” de Kiev ». En général, quand des dirigeants politiques se croient obligés d’annoncer qu’ils ne lâcheront rien, c’est qu’en réalité le terrain est déjà en train de les lâcher. Toutes ces déclarations coïncidaient en effet avec la période la moins active des forces russes depuis le début de la guerre, ce que l’on a baptisé « pause opérationnelle », c’est-à-dire une phase de reconstitution/redistribution des forces qui devaient déboucher normalement sur une nouvelle impulsion. Idem du côté ukrainien, où après l’ébranlement de la défaite dans le saillant de Severodonetsk, on s’est cru obligés de remobiliser les forces par une purge interne et la une nouvelle annonce d’une grande offensive à Kherson, alors qu’on pansait surtout les blessures du Donbass. Une guerre est une conjonction de deux calculs de coût à la marge. Si on pense que les sacrifices du combat du lendemain peuvent permettre d’atteindre quelque résultat, même symboliques, on continue. C’est ainsi que par cumul de petites décisions de continuer des guerres finissent par devenir longue et horriblement coûteuses pour tout le monde, contrairement à ce qui était presque toujours souhaité au départ. Ce n’est que lorsqu’au moins un des deux camps finit par considérer qu’il n’y a pour lui aucun espoir et que tout sacrifice est désormais inutile, que l’on peut envisager une paix par soumission. Tout cela est évidemment très subjectif. (..) Toute la question est de savoir si on assiste ainsi à une nouvelle phase des combats après la « guerre » (il manque en français la distinction entre War— la guerre comme acte politique — et Warfare — l’art opérationnel) de mouvement, la guerre de conquête de positions et que l’on pourrait baptiser « guerre de corsaires », pour reprendre un terme utilisé pendant la guerre d’Indochine et donner une appellation un peu romantique à ce qui n’est en réalité qu’une guerre d’usure. L’idée est qu’il est « hors de prix » en l’état actuel des forces de conquérir et tenir de grandes portions de terrain, et qu’il faut donc se contenter d’attaquer l’ennemi de manière ponctuelle par des raids et des frappes. https://lavoiedelepee.blogspot.com/2...raine.html?m=1 |
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Certains pays européens poussent pour une interdiction des visas pour les Russes
‘The west doesn’t want Russians partying in the streets of Europe’: calls grow for a visa ban | Russia | The Guardian Perso je suis plutôt pour pousser les sanctions le plus fort possible même quand elles nous font mal, et en ce qui me concerne ça me dérangerait pas si cet hiver, on chauffe les appartements chauffés au gaz (c'est mon cas) à 14° max. Mais là je suis un peu mitigé. Est-ce vraiment sanctionner la Russie que d'empêcher les Russes qui veulent la quitter de partir ? Et c'est vrai qu'il y a clairement un côté choquant à voir des Russes venir faire la fête en Europe pendant que les bombes tombent en Ukraine, mais est-ce une si mauvaise chose pour la Russie que ces touristes dépensent leur argent en Russie ? Bon après il y a aussi de bons arguments, pas dit dans l'article, on peut pas exclure que parmi ces touristes, il y ait des assassins et des saboteurs de Poutine. Les assassinats en Europe par des agents du FSB et les destructions d'usines de munitions l'ont été fait par des agents du FSB en visa tourisme. C'est la Tchéquie qui pousse le plus pour l'interdiction de ces VISA où une usine de munition avait été détruite par des agents du FSB... |
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Il me semble que le sujet est très différent pour les pays servant de porte d'entrée et directement sous la menace par exemple la Finlande Citation :
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https://www.lexpress.fr/actualite/mo...e_2178468.html |
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#265012
Invité
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Message supprimé par son auteur.
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#265012 |
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L'intelligence Russe en action. Une connaissance proche de Poutine est peut-être morte, elle y était il y a peu.
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Il est hélas peu probable que Prigozhin (le nazi qui a fondé la société d'assassins et de tortionnaires nommée "Wagner") ait été encore présent quand leur QG à Popasna a été frappé.
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De quels intérêts étrangers parles-tu?
Dernière modification par Coquette ; 15/08/2022 à 09h38. |
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