Napoléon Total War (ETW ++)

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ayé jviens de finir le jeu, campagne italie+egypte+europe en entier en très diff moscou est tombé en été 1807.

j'ai bien pris le temps au début de me faire une économie solide en privilégiant à 100% les comptoirs commerciaux et en faisant le rush au début pour en chopper un maximum.

suite à quoi j'ai envoyé une armée sur vienne pour calmer l'autriche et 1 armée en prusse et dans le même temps grace a mon économie solide j'ai pull nelson hors de la manche qu'il gardait pour empêcher un débarquement en l'attirant avec un convoi de navire de commerce et ca a marché, des qu'il s'est écarté j'ai debarqué 2 armée complète en Angleterre.
Anglais coriace d'ailleurs parce que j'ai eu des grosse rebellions (avec pop de troupes full experience) pendant presque 1an, puis finalement ils ont été matés.

suite à quoi j'ai rasé la prusse et l'autriche en quelques mois, j'ai pas touché à l'empire ottoman qui du coup n'est pas venu m'attaquer non plus même si on etait pourtant en guerre.

puis j'ai laissé passé le dernier hiver en ramenant toute mes armée sur le front est pour raser la russie en seulement 3 mois, j'ai attaqué partout en même temps, ils ont eu aucun moyen de riposter.
Citation :
Publié par Beøwulf Cromwell
Ils font aussi largement plus de dégâts et sont doté d'une meilleure défense.
Non, c'est le haut moral qui donne cette impression, une unité qui hissent pas le drapeau blanc facilement ça change beaucoup de choses
Citation :
EDIT: ah! ok, tu parlait des cavaliers de l'IA? bah là ok, faudra attendre les mods.
Oui je parlais de l'IA.
Hier soir j'ai fait un peu de la campagne d'Egypte, j'ai fait un massacre de bédouins à 1 contre 4, (l'armée de bédouins genre "salut j'ai 14 escadrons de chameaux")je veux bien que le carré soit une defense anti cavalerie mais la c'est un poil exagéré, compte tenu de ce que mes troupes n'avaient pas d'XP ni rien.

Sinon de mon coté j'ai toujours un peu de cavalerie mais elle sert assez peu: je n'en ai pas besoin pour gagner, j'adopte généralement des tactiques défensives avec peu de mouvement mais obligeant les unités adverses à passer sous le feu de plusieurs des miennes (Bon ok en égypte c'est un peu plat tu peux pas trop jouer sur le terrain) donc la cavalerie me sert surtout à aller mettre un punch si une de mes unités a un probleme et à rétablir une situation qui pouvait laisser a mes troupes un risque de se faire encercler.

C'est d'ailleurs une grosse faiblesse de l'IA, globalement sa tactique reste tres "je fonce dans le tas tout droit". :/ Pas de manoeuvre de contournement, alors que c'est l'essence même de la guerre napoléonienne ou la puissance de feu c'est bien, courir plus vite et plus longtemps que l'autre, c'est mieux.
Fini la campagne d'Egypte, j'ai rushé ma grosse armée avec Napoléon sur je sais plus quelle ville, pendant que je prennais Acre avec mon armée secondaire, j'avais 15 000 ottomans aux fesses mais j'ai livré une bataille Epique à 1500 contre 2000.

Je vais entamer l'Europe, mais là je vais me coucher car j'ai cours demain :P
J'ai testé un combat , "à la Murat".

Napoléon assiège Vienne, et Massena est dans la foret non loin, en embuscade. Tout deux venus par la route de Bavière.
Murat arrive en renfort par la route de Venise.

2 armées Autrichiennes arrivent par le Nord sur Vienne, et une par le sud venant de Zagreb.

Massena saute sur une des 2 armées, et le petit Corse lève son siège (...)pour accrocher l'autre. Murat arrive en douce pour prendre par derrière l'armée de Zagreb. (il chevauchait dans la foret sous la montagne)

3 armées au 3/4 pour les Français, et 3 armées full pour les Autrichiens.(difficulté normal)
Napoléon: 8 unités d'artillerie 9 livres(moyenne sur 6/8/12 livres), 2 de cavaliers, et de la ligne dont une de moustachues de la vieille garde.
Massena: équilibré , 4 artilleries, 2 cavaliers, lignes + 2 voltigeurs.
Murat: 2 artillerie,8 unités de cavalerie, 4 de ligne..

Napoleon, http://uppix.net/a/1/f/5b0e44e3185b6335161da74b3664b.gif formation mixte, donc de l'artillerie tout le long de la ligne. Cavaliers retranchés.
Le moral de l'ennemi flanche déjà dé les premiers coups de canons, mais la ligne adverse avance au tambour en gardant les rangs. 2 unités de cavaliers se font la diagonale devant ma ligne...
- Ont attend!..
Ordre de changer pour la mitraille sur tous mes canons et cesser le feu.
-Ont attend encore!!
-Feu!!!
Plus rien devant, pas un gigot de cheval qui bougeotte. Juste la poussière au loin de la ligne Autrichienne qui vient là.
-Artillerie feu à volonté aux boulets!
Ça clignote sec dans les rangs ennemis, d'autant que leur général vient de tomber. Mais les boulets ne suffisent pas encore à faire monter la panique.
Ma ligne est plus faible que la leur, moins nombreuse en soldats, à la régulière ils risquent de faire des dégâts sévères dans mes rangs.
-Cesser le feu d'artillerie! balancez sur mitraille!
L'ennemi pause une large ligne de front à distance de tir, sans voltigeurs ni chasseurs dans mon armée, nous tireront en même temps qu'eux...
L'ennemi est pausé, la pétarade commence de partout, j'attends que toute la ligne Autrichienne soit fixée, et donc à distance de mes canons.
-Feu à volonté! envoyez la mitraille!!
Carnage aux premiers tirs de canons, sous la fumée noire et blanche quelques unités de ligne prennent déjà leurs jambes à leurs coups. Il faudra peu de temps avant que toute l'armée Autrichienne prenne la fuite. Les canons repassent en boulets pour maintenir l'ascendant, certains se reprendront plus loin, et tenteront de revenir au combat, mais moins nombreux et sans formation solide, il iront à leur mort.
Alors que mes cavaliers vont tranquillement défaire les artilleurs adverses,Napoléon tombe de cheval sous le coup d'un boulet. Il sera porté en ambulance jusqu'à Paris pendant un temps.

Massena http://uppix.net/5/d/c/373fce1a22b38fb3d0a5c5cc7d466.jpg engage une armée similaire, avec moins de canons, il choisira une formation d'assaut. Artilleurs, voltigeurs, et cavaliers en bout de ligne.
Les boulets font peu de dégâts pendant l'avancée Autrichienne, qui choisi elle d'envoyer cette fois ses cavaliers sur mes flancs.
Avec mes voltigeurs et leur tir longue distance, mes canons en extérieurs de ligne, et ma cavalerie de chasseurs en support feu et sabres, point de salut pour les montés adverses. Rares d'entre eux quitteront le champ de bataille vivant sous la fuite...
Les tambours Autrichiens se font entendre dans mes rangs, ils sont là. S'alignent pour certains, mais d'autres unités viennent plus près, ça chauffe pour le corps à corps.
Mes canons ne peuvent tous les maintenir à distance, c'est fusil contre fusil jusqu'à ce que deux unités ennemis chargent ma ligne à la baïonnette.
Heureusement, mes cavaliers sont frais et dispo, ils arrivent trés vite pour sabrer l'Autrichien, et le refouler de mes lignes.
Le combat se stabilise en rangs contre rangs, mes hommes tombent... les leurs aussi.
Mon artillerie à distance de mitraille fait la différence dans le temps, la leur est trop éloignée pour etre véritablement dangereuse. La balance se fait petit à petit, et l'armée ennemie décroche.


Murat http://uppix.net/4/c/e/f0816ff0e28664f6fcd0d53321bd3.jpg alpague les Tyroliens au sud de Vienne. Il a le désavantage d'etre moins nombreux qu'eux sur le champ de bataille. Et somme toute pas vraiment le choix d'une formation quelconque, sa ligne est pauvre, il ne peut attendre les Autrichiens à la régulière.
La ligne sont les jeunes du Maréchal Ney, sans galons. Mais il à avec lui les lanciers de Lannes, des fous furieux, qui n'ont d'égal que les branques chasseurs montés sous ses ordres depuis bien longtemps. Avec Murat à leur tête, c'est une armée d'oiseaux de toutes les couleurs qui chevauchera vers la gloire... ou le suicide.
Plein face, en rangs serrés, les Autrichiens offrent déjà à la vue une immense armée que la poussière trahis sur la plaine.... paradis des chevaux..
Sans attendre, Murat envois le corps de lanciers sur la gauche, contourner les hommes en blanc, et supprimer au plus vite l'artillerie adverse.
De même ses chasseurs montés prennent eux le flanc droit, visant l'autre point d'artilleurs.
Les jeunes de ligne de Ney tremblent déjà devant l'armée d'en face, trois fois plus nombreuse en hommes de rang. Murat décide alors de rester avec eux, plutôt que de prendre la tête de ses chasseurs...
Les tueurs de Lannes sont déjà sur l'arrière, et suppriment si vite les hommes d'artillerie qu'il n'y en aura pas pour tout le monde.
Les hommes en vert, et rouge, et blanc, et jaune, et à plume, de Murat.., finissent eux aussi le travail sur la droite, annihilant les canons Autrichiens.
L'armée du Tyrol arrive à distance de tir sur les malheureux Français, il faut faire vite pour les cavaliers, rejoindre la bataille avant le chaos, avant que leur chef ne soit sans issue.
Murat encourage la ligne comme il peut, et aperçois au loin...par dessus la fumée blanche des mousquets, un nuage blanc, plus haut et compact, ses cavaliers arrivant au triple galop dans le dos de l'ennemi.
Les hommes de Lannes sont en formation de pénétration, le fameux diamant de la charge, et défoncent littéralement plusieurs unités Autrichiennes sur la première passe...
Les chasseurs de Murat sont en ligne, envoient une salve à distance de tir et bondissent sabre en main sur l'aile droite..
Pendant un bref instant, c'est la cacophonie générale sur le champ de bataille, les Autrichiens sont choqués,les cavaliers fous furieux, et les hommes de Ney, la peur au ventre, se disent que le soleil n'a pas eu raison de se lever en ce jour...
Mais aprés l'effet de surprise, dévastateur, les uniformes blanc se reprennent, ajustent leurs formations, et commence un travail de sape sur les cavaliers.
Les brutes de Lannes, entourés, savent qu'ils ne peuvent plus s'éloigner pour se reformer, tant qu'ils sont au corps à corps, ils peuvent espérer éviter les tirs, au moins quelques temps.Mais finalement submergés par les baïonnettes, succomberont sous la masse , peu d'entre eux réussiront à s'enfuir.
Les chasseurs multicolores de Murat ne sont pas mieux à l'affaire, et c'est sans surprise qu'ils voient leur chef se mêler à eux pour un combat de vaillants, aprés que celui-ci ai réussi à tuer le général Autrichien.
C'est finalement la débâcle au Tyrol, le Maréchal et ses troupes, d'un moral de fer et sans faille, remportent la bataille, avec de lourdes pertes.
Les survivants de Ney ont mérités leur premiers galons.
Les rescapés de Lannes seront affectés à la cavalerie de Murat
Et les chasseurs montés....vert, rouge, blanc, jaune... et à plumes, cherchent au repos de Vienne, une nouvelle couleur à ajouter à leurs vestes...
J'ai testé les 2 batailles navales Aboukir et Trafalgar et j'ai été assez surpris.

C'était la première fois que je combattais sur mer, et m'attendais à me faire défoncer surtout que niveau maniement j'ai vraiment eu du mal à mettre mes bateaux dans une quelconque formation, le temps d'essayer de les organiser le combat avait déjà débuter les 2 fois.

Ben au final Aboukir ça a duré 5mn, aucune perte, Trafalgar c'était plus serré et plus long. Je sais pas si c'est la difficulté en normal qui fait ça mais ça m'a donné l'impression qu'il suffit de se débrouiller pour avoir le maximum de lignes de tir et de focus autant que possible pour gagner, même si ça ressemble à un vieux chaos.

Un peu déçu pour le coup, pour Aboukir parce qu'un semblant d'organisation a suffi pour le massacre, et Trafalgar, par ce que jamais j'aurai dû gagner si l'IA avait un peu maîtrisé, j'avais un pâté de vaisseau d'un côté qui tirait comme il pouvait en se gênant et 3 autres qui se sont retrouvés au milieu des adversaires, pouvant certes tirer leurs deux bordées mais totalement vulnérables, et je parle pas des espagnols qui faisaient nimp. Au bout d'un moment On s'est retrouvé à 3 anglais contre 3 français avec un nb de canon largement en faveur de Nelson, et ils ont été incapable de m'en abattre un.

Il faudra que je teste en argent, mais je me demande si pour avoir des lignes qui ressemblent à quelque chose il ne faut pas carrément s'éloigner des adversaires pour s'organiser avant de revenir en formation.

Sinon en fan des aventures de Jack Aubrey (de Patrick O'Brian) pour ceux qui connaissent, j'ai quand même bien aimé le principe mais j'en attendait peut-être un peu trop.
Hiver 1806...La Guerre des nerfs...

L'Autriche en guerre se fait envahissante. La Bavière brûle , et le Wurtemberg est déjà foulé par les espions de Vienne et les escouades rapides de Franz 1er.
Le vieux renard Koutousof, profitant du traité éternel avec les grands de Vienne à été vue en Bohême par Jomini http://uppix.net/7/c/4/47005afce4e9176b7e2b2e1017505.jpg ,ami du maréchal Ney,et en conseiller stratégique hors pair, glisse à l'oreille de Napoléon les intentions du général Russe. Mettre en place une longue ligne de ravitaillement de Moscou jusqu'à Stuttgart.
A Hanovre , Jean-Baptiste Bernadotte est dans une position inconfortable entre le gros de l'armée Prussienne à Berlin, et l'avant poste de Cléves.
Nelson http://uppix.net/4/a/5/cba468ea427abcb1586ba3585286c.jpg aux portes d'Amsterdam avec sa flotte, peut à tout moment faire débarquer des troupes Anglaises en Hollande ou en Flandre, et prendre de vitesse l'armée Française sur Paris...

-Paris!! conseille-tons à Napoléon - Il faut protéger Paris!!
-C'est Vienne qu'il faut attaquer!! enlever tout espoir aux Autrichiens! et le plus vite possible! dit-ont, au deuxième rang des officiers
Ney et Davout se mettent d'accord. - Il faut aller à la rencontre de Koutousof, il n'a aucun ennemi sur ces terres à par nous, et s'il réuni son armée en Bohème, il tiendra l'Est de l'Europe pour les dix années à venir!!!

Regardant Jomini du coin de l'œil,et esquissant un sourire complice et précieux, Napoléon, alors focalisé sur ses cartes d'état major, le buste fortement appuyé sur ses deux mains, se redresse avec vigueur et se tourne vers ses généraux.
Sont sourire laisse alors place à un visage sévère, et ses deux mains maintenant dans le dos, entame quelques pas francs en direction de la fenêtre ouverte, malgré le froid et la neige.
Il contemple le ciel , et dit..
-N'interrompez jamais un ennemi qui est en train de faire une erreur!
C'est à ces mots et sur les visages blêmes des généraux que Jomini esquisse alors le même sourire que l'Empereur.

-Avec de l'audace, ont peut tout entreprendre! dit napoléon.-Ont peut tout entreprendre , mais ont ne peut tout faire! ajoute t'il.
-Pourquoi déclarer la guerre avec ceux qui le sont déjà?! - Ils nous attendent!? -Et bien qu'ils attendent!
-C'est l'hiver, et Koutousof le sait mieux que quiconque, attaquer sous la neige quand ont à le choix de l'embuscade, de la date, et de la force, serait folie! qu'il gèle à son gré ce vieux renard! et il n'est qu'un lapin tant que son armée n'est pas constituée! Il le sait... Je le sait...
-Les Autrichiens sont les plus dangereux, mais ils doivent mettre pied au Piémont et en Bavière! -Les éclaireurs sont déjà là, et leurs espions travaillent, mais ils n'ont pas leurs cartes, ni le gros des troupes!
-Paris brûle t'il? non! - et Nelson peut rager tant qu'il lui plaît, ce n'est pas lui qui posera son cul sur un cheval pour entrer dans la ville! - Moore! ce pleutre!, ne traversera pas la Manche! , et Wellesley n'aime que les bastions, les tranchées, les forts, le thé brûlant et les lits chauds, loin de l'hiver d'où nous somment!
-Hanovre messieurs!!
-Nous déclarons la guerre à la Prusse!, nous ouvrons un passage à Bernadotte, je ne peut me passer de lui, et Clèves tient Hanovre en tenaille! Nous sortons du lit ce Blücher http://uppix.net/e/6/b/efcdfc34f62dedfcdbb02846e040b.jpg et marchons sur Berlin!
-Mais nous somment en paix avec la Prusse!?
dit Talleyrand
-En paix?! rétorque Napoléon -Qu'est donc que la paix!? sinon la préparation à la guerre!? et bien préparons nous!....Hanovre messieurs! et puisque nous somment en paix! allons sans courir! Murat! Davout! partez dé maintenant pour Clèves, nous attaquerons la ville par le sud!
Je part avec Brune http://uppix.net/c/4/e/612af9e6c2c89230e70ed74675112.jpg par Hessel pour vous couvrir! rendez-vous à Hanovre!
Maréchal Ney! vous restez à Strasbourg, je fait accélérer la fabrication d'armes et de canons dans cette ville! vous serez le mur de l'Est!...
-Jomini!!... non rien! restez avec Ney!...


Napoléon prend la route avec le maréchal Brune, direction Francfort ou il négociera un laisser-passer pour ses troupes. Tandis que Davout et Murat marchent sur Clèves..

Murat, toujours fougueux, veut prendre d'assaut la ville sur un jour, mais Davout l'en dissuade, et préfère installer un siège. Ainsi la guerre déclarer à la Prusse, les armées alentours se focaliseront sur Davout, qui n'aura pas encore engagé le combat, et Murat peut alors fondre sur les formations éparses des Prussiens surpris par l'évènement.
Sans attendre, les rixes se succèdent tour à tour, et tour à tour les petites formations tombent dans le piège et se prennent Murat par les flancs. Les oiseaux multicolores créent la débandade, les sabres des cavaliers sont comme des soleils brûlant dans ce décors enneigé, que leurs chevaux, rapides et endurants, portent d'attaques en attaques, au rythmes soutenus des mises en formations rapides, ou excellent la cavalerie du grand aigle de la légion d'honneur.
Davout décide au matin du deuxième jour d'entrer dans la ville, les soldats y sont trop peu nombreux pour lui résister, et la milice locale faillie vite à la garde.
Avant midi la ville est Française, Metz envoi un ravitaillement en hommes malgré le peu de perte dans l'armée de Davout, et Murat... toujours fougueux... est déjà parti pour Hanovre avec ses troupes...
Trop enclin à faire bien , il fait vite...et au détour d'une foret qui s'évanouie , le Prince Impérial tombe nez à nez sur Blücher et Clausewitz.
L'armée Prussienne n'est pas à son plein, mais à sa tête les deux plus grands stratèges du pays...
Blücher , le vieux lion, à déjà combattu Murat, et connais la valeur de ses chevaux, la hargne de ses hommes, la folie du Grand Duc, et mesure dé alors la position à tenir face à ces chevaucheurs flamboyants.
Von Clausewitz http://uppix.net/b/4/4/f3b1abf6868e0dbef55055174744b.jpg tout aussi haineux des français que son acolyte, prend aujourd'hui le commandement de l'armée.
Dans la plaine et la neige haute, les chevaux se fatigues, et les sabres volants de Murat se trouvent de suite face aux hussards noir et or de Mecklembourg de Von Clausewitz.
Le choc est frontal, et bien que moins nombreux, les hussards , plus disciplinés, mettent en déroute les sabreurs de Murat, dont chaque escouade manque de cavaliers due aux combats sur Clèves.
Les lignards des deux camps se trouvent vite face à face, le moral des troupes fera la différence à la longue, et ni Blücher ni Von Clausewitz ne lâchent un pousse de terrain, leurs présence dans la bataille interdira la fuite, et c'est finalement Murat qui ordonne au clairon de sonner la retraite.
Par chance, la fatigue des Prussiens permettra aux troupes du Grand Aigle de se replier sur Clèves, et son chef prendra un savon bien mérité par Davout, un tant soi peu plus pragmatique, et qui avait l'ordre de faire avancer son armée en bonne forme jusqu'à la cohésion à Hanovre.

De son coté, Napoléon suivi de près par le Maréchal Brune, ayant obtenu le laisser-passer à Cassel, se retrouve à la fois sur les troupes descendantes de Bernadotte, qui depuis la déclaration de guerre deux jours plus tôt se trouva fort mal en point au cœur de l'empire Prussien, et sur Von Clausewitz, non loin de l'endroit ou ce dernier livra bataille à Murat.
Ne disposant que d'un corps de garde, une batterie d'artillerie, et une formation de chasseurs, Bernadotte, repéré par Von Clausewitz, se voit instantanément agressé par l'armée de Brandebourg. Le Maréchal Médiocre n'a d'autre choix que la fuite, qui bien heureusement sera couverte par l'arrivée escomptée de l'Empereur, encore une fois génialissime dans sa gestion du temps, et qui fort de son armée au grand complet, et de ses 24 canons, décimera les troupes du meilleurs stratège de Prusse, et renverra Blücher à ses bouillottes berlinoises...

-Content de vous voir Jean-Baptiste! dit Napoléon à Bernadotte, feignant de comprendre la fuite de ce dernier.-Vous avez eu vent de mes intentions par mon messager!? fort bien, nous somment dans les temps et à l'endroit choisi! j'ai une mission pour vous...Une mission hier dangereuse, mais au combien confortable aujourd'hui!! s'esclaffant de la berlue qu'il lui tend.
-Une mission prestigieuse, dont je sais déjà que vous en avez l'expérience....Prendre et tenir...Prendre avec nous, et tenir pour la France! - Un endroit stratégique d'une grande importance, une mission digne de votre rang! la plaque tournante de notre matériel et de nos armées!...Hanovre!!!
Riant aux éclats de cette bouffonnerie, laissant Bernadotte hagard, Napoléon fait commander son cuisinier pour lui préparer un de ses plats préférés, des pommes de terre frittes et une oignonade...

La guerre contre la Prusse à commencée. Blücher sera trés tôt sur pied et sa colère n'est pas prête de s'apaiser envers les Français et son petit Empereur.
Hanovre sera la place forte ou Bernadotte , bien vite rentré du froid hivernal et toujours stupéfié du tour que Napoléon lui a joué.
Murat et Davout, à peine réconciliés, seront le front d'armée face à Berlin.
Napoléon et Brune retournent à Strasbourg, le chef de la grande armée à feint de se désinterresser de Koutousof devant ses généraux, et va préparer une contre offensive immédiate sur l'armée Russe, et dans le même temps bloquer l'avancée bien trop dangereuse des Autrichiens en Bavière...

-La vrai sagesse des nations est l'expérience! dira Napoléon à Brune, le soir du repas.
-Nous avons été sage, en faisant la paix aux Prussiens! - Nous avons été sage en leur déclarant la guerre! Sage de ne pas attendre, qu'il nous la prépare!....
J'ai tester vite fait (dl en anglais puis delete), et j'avoue que le jeux est vraiment pas mal. Après Napoléon et Empire c'est pas trop mon truc, me tarde le prochain Rome ou le prochain Médiéval TW<3

Edit: super récit dis donc ça donne envie de play !
Citation :
super récit dis donc ça donne envie de play !
Citation :
Excellent ton récit, on s'y croirait.
merci, c'est zenti..

Je me suis calé sur ma partie campagne du jeu. Je trouve d'ailleurs que NTW invite plus facilement au roleplay que ETW.
Citation :
Publié par Legeibeth
Je ne sais pas si ça a déjà été dit dans le post, mais on peut avoir Napoleon total war pour environ 25€ fdp inclus sur amazon.co.uk
Ca devient ridicule... 40€ sur steam 25€ version boite avec les frais de transport depuis l'UK, steam abuse.
Citation :
Publié par Milkman
Ca devient ridicule... 40€ sur steam 25€ version boite avec les frais de transport depuis l'UK, steam abuse.

Meme dans mon magasin il est a 35€ ...

C'est pour ça que je n'achète jamais sur steam, c'est ce foutre de la gueule du monde...
Ben c'est le prix d'un jeu neuf dans la grande distribution en France, c'est pas le problème de Steam. C'est l'Europe en général, et la France en particulier qui sont des vaches à lait.
Citation :
Publié par Enthy
Clairement, NTW excite beaucoup plus l'imagination que ETW, sans doute parce que ça se rattache à des événements précis à la limite de la légende.
L'avantage des portraits d'époque et le fait que les généraux nous suivent durant toute la campagne
J'ai même pas fait gaffe à ça. Mais en fait ce n'est pas trés important, l'Italie et l'Égypte sont trés courtes, ont à tout le temps de monter son expérience dans la grande campagne, ou ont a beaucoup de maréchaux et d'amiraux disponibles.
D'ailleurs les factions alliées commencent à 0 dans leurs campagnes.(mais les grands généraux sont déjà bien chargés en buffs)
Bonjour compagnons de la stratégie !
Je viens vous montrer un beau Machinima réalisé par Tenjp ( qui gèrent la communauté Japonaise de N:TW et accessoirement un de mes amis dans la guilde WTFM ).

J'ai vraiment adoré cette vidéo, c'est un bel hommage épique, voilà :

Bon jeu à tous !
J'hésite vraiment a me l'acheter.

Ya u des problèmes, dans le jeux,si on l'achete Via steam?

Empire était une horreur pour sa, deco a la fin d'une bataille etc etc...

Ya le même problème sur cette opus ?
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