Le système éducatif français est il plus anxiogène ?

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Publié par Prootch
je paraphrase certains de mes profs d'antan: c'est nul !
En l'occurrence, ça ne me choque pas ... Un travail rendu par un élève peut être d'une qualité tellement médiocre qu'il ne mérite pas mieux comme qualificatif. Et je ne vois pas en quoi un "c'est pas si mal, franchement, tu aurais pu faire pire" serait mieux dans ce cas là. Ce n'est pas suffisant, il faudrait développer (mais bon, quand il n'y a rien de bon, il n'y a pas grand chose à développer). Et ça n'a définitivement rien à voir avec un "tu es nul" qui serait là, bien évidemment, inacceptable.
Citation :
Publié par Attel Malagate
Ce que j'aime bien, c'est qu'une chose essentielle est escamotée dans les constats.
L'échec scolaire, le décrochage, est unisexe pour l'éducation nationale.

Tant qu'ils en seront là, qu'ils n'ouvriront pas les yeux, ça n'évoluera pas.
Je ne suis pas certaine de comprendre.

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Publié par maximeleFou
Le problème en France c'est qu'on tend à monter des systèmes qui sont adaptés à la minorité pleurnicharde, donc faut pas s'étonner des mauvais résultats,. On tire les gens vers le bas.
Le mieux c'est d'opter pour le système qui produit le maximum de résultats en s'adaptant à la majorité. Ceux qui ne s'adaptent pas et bien tant pis c'est des dommages collatéraux, il y en a toujours. La réussite de la nation demande aussi des sacrifices.
Sacrifie-toi. Et tes éventuels gamins. On te regarde.

Sinon, je rejoins la position comme quoi ce ne sont pas les notes qui sont un problème en soi, que notre rapport à elles et d'une manière plus générale aux erreurs ou au "je ne sais pas" - ce n'est pas une tare d'avoir des lacunes : on ne peut pas savoir tout sur tout et ce serait peut-être un moyen d'arrêter cette épidémie de pipeauteurs qui tentent systématiquement de passer au bluff et en sont fiers (on peut toujours rêver).

Je n'approuve pas les profs qui considèrent qu'ils ne mettront jamais plus de 15 à un élève "parce qu'à cet âge, on ne peut avoir plus" - il existe d'autres moyens de leur apprendre l'humilité ou de valoriser une copie "exceptionnelle" quand bien même il est valorisant, sur le moment, d'entendre un prof vous dire "Vous avec eu 16, c'est la meilleure note que j'ai mis dans toute ma carrière".

Je trouve les classements inutiles en dehors de la préparation aux concours. Exacerber l'esprit de compétition, si cela peut être positif pour la motivation de certains élèves (qui, généralement, l'ont de base et peuvent trouver d'autres "lieux" pour l'exprimer : certaines disciplines sportives ou artistiques, par exemple, au cours desquelles les concours sont présents), cela ne convient pas forcément à tout le monde et peut parfois même être contre-productif (stress, angoisse, méfiance...).
Message supprimé par son auteur.
Citation :
Publié par Vesper
Je n'approuve pas les profs qui considèrent qu'ils ne mettront jamais plus de 15 à un élève "parce qu'à cet âge, on ne peut avoir plus" - il existe d'autres moyens de leur apprendre l'humilité ou de valoriser une copie "exceptionnelle" quand bien même il est valorisant, sur le moment, d'entendre un prof vous dire "Vous avec eu 16, c'est la meilleure note que j'ai mis dans toute ma carrière".
Au passage, c'est contraire à toutes les instructions officielles. On note sur 20, de zéro à vingt. Si tu as répondu aux questions sans faire d'erreur, tu as 20, point. Quelque soit la matière.
J'ai toujours trouvé exaspérant le snobisme de certains collègues qui font un principe de ne jamais donner 20.
Citation :
Publié par Ronsard
J'ai eu un prof de latin qui retirait 1 point à chaque faute de traduction, et n'hésitait pas a donner des notes négatives.. paye ton -17
.. Un foutu connard
Ma prof de latin donnait pas de notes négatives, mais en français ça avait fait un peu de bruit dans l'établissement quand elle avait mis sur la copie d'un élève :
0, 34 fautes, en progrès.


@kermo : j'aime
Citation :
Publié par Ronsard
J'ai eu un prof de latin qui retirait 1 point à chaque faute de traduction, et n'hésitait pas a donner des notes négatives.. paye ton -17
.. Un foutu connard
Ben non c'est important de savoir que quand tu as un 0, c'est vachement mieux que le -17 de la fois d'avant .'
Message supprimé par son auteur.
Citation :
Publié par Prootch
Je lui donne pas trois ans pour se barrer à Londres quand il aura compris à quel point cette mentalité de looser élitiste infuse écoles et business en france.
Mais qu'est ce que tu racontes, personne ne quitte la France enfin.
Citation :
Publié par Aloïsius
Au passage, c'est contraire à toutes les instructions officielles. On note sur 20, de zéro à vingt. Si tu as répondu aux questions sans faire d'erreur, tu as 20, point. Quelque soit la matière.
J'ai toujours trouvé exaspérant le snobisme de certains collègues qui font un principe de ne jamais donner 20.
Bah mon oncle, en tant que prof de Français avait tendance, en rédaction, à donner facilement des 18 devant de bonnes copies et des 2 devant des mauvaises copies, et parait que c'était pas super bien vu par la hiérarchie quand il corrigeait le bac.
Citation :
Publié par Borh
Bah mon oncle, en tant que prof de Français avait tendance, en rédaction, à donner facilement des 18 devant de bonnes copies et des 2 devant des mauvaises copies, et parait que c'était pas super bien vu par la hiérarchie quand il corrigeait le bac.
Ah, le bac, c'est autre chose, on attend à ce que personne n'ai moins de 7 ou 8... Si tu balances des 2, des 3 et des 4, ça devient difficile de bricoler pour arriver aux 80% de Jack Lang.
Ca me rassure de savoir que je ne suis pas la seule à avoir eu des -15 en orthographe au collège. A côté de ça, la même prof me bottait le cul pour que je participe à des concours de rédaction régionaux, parce qu'elle estimait que j'écrivais bien malgré mon ortho pourri. C'est grâce à ça que j'ai commencé à faire moins de fautes, d'ailleurs.

Je tombe toujours des nues quand même quand j'apprend que certains élèves de sixième savent à peine lire, écrire et pas toutes les opérations. Surtout quand je vois que ma grand mère, sortie du système scolaire à 12 ans sait toujours écrire, lire, compter et ses opérations à 86 ans passé (ok, elle écrit snoborn pour Snowboard et gumbaille pour Gameboy, mais quand même). Pourtant j'ai été mise devant le fait accompli par un copain prof qui m'a montré quelques copies de ses élèves de 6ème : l'un d'entre eux notamment, ne connaissait pas la ponctuation, et encore, je parle d'un prof en banlieue aisée.
Certains parlent de ne "jamais mettre leurs enfants dans le public" mais personnellement je n'ai vu aucune différence entre public et privé. Jusqu'en première j'étais dans une établissement privée et quand j'ai redoublé cette classe dans un lycée public, je n'ai vu aucune différence, mais vraiment rien. La quantité de travail, le suivit des élèves, ... tout était identique.

Je penses que le premier problème viens d'un certains nombres de professeurs qui ne savent tout simplement pas captiver une classe. Ce n'est pas vraiment leur faute, rien ne les prépare à ça, mais il n'y a rien de pire que les prof soporifique et l'on en trouve malheureusement à tout les niveau.

Pour ce qui est des contrôles, nécessaire ça j'en convient, je n'ai jamais compris l'intérêt de créer des périodes d'examen. Pour moi il n'y a rien de plus contre productif que d'enchaîner les épreuves, plusieurs par jour durant une ou plusieurs semaines. Ça met les élèves dans des situations de stress importante, implique une masse de travail considérable et créé un système ou l'on va favoriser certaines matières à d'autres, notamment en fonction des coefficients.
De plus, une partie énorme des interrogations sont sans commentaires détaillés, sans correction, ect... Au final de part mon expérience, j'ai remarqué qu'il était assez dur pour un élève de comprendre ses erreurs et d'assimiler leurs corrections.

Un dernier point, non pas des moindres, l'emploie du temps. Enchaîner 2h de maths après 2h de physique, en collège lycée, c'est trop. Grosso modo, à 11h du matin, la majorité aura totalement décroché. Mais le pire c'est en étude supérieure.
J'ai 20h de cours par semaine. Aujourd'hui je fais 9h30-10h30 et 18h-20h. Comment tu veux avoir la tête au travail avec ce genre de connerie ? Surtout que du coup je dois faire le trajet deux fois, soit 2h de trajet dans la journée...
Demain, Jeudi, 8h30-12h30 et 14-20h, 10h de cours dans la journée, j'ai envie de dire, wtf ? La moitié des heures de cours de la semaine en une journée alors que le mardi je vais faire 8h30-10h30 seulement. Mon emploie du temps est complètement contre productif cette année et ça se ressent clairement dans ma classe.
Citation :
Publié par Aloïsius
Ah, le bac, c'est autre chose, on attend à ce que personne n'ai moins de 7 ou 8... Si tu balances des 2, des 3 et des 4, ça devient difficile de bricoler pour arriver aux 80% de Jack Lang.
Je me suis pris 4 à l'écrit de Français en 2003 . Jamais très bien compris comment ni pourquoi d'ailleurs. Ca collait pas vraiment avec ma moyenne :/.
Citation :
Publié par Saurdholion
Certains parlent de ne "jamais mettre leurs enfants dans le public" mais personnellement je n'ai vu aucune différence entre public et privé. Jusqu'en première j'étais dans une établissement privée et quand j'ai redoublé cette classe dans un lycée public, je n'ai vu aucune différence, mais vraiment rien. La quantité de travail, le suivit des élèves, ... tout était identique.
La différence principale dans le privé, c'est que les parents des élèves attachent suffisamment d'importance à l'école et l'apprentissage pour être prêts à payer. Du coup tu évites le plus gros des boulets qui te pourrissent une classe/un établissement.
Cela dit ça marche aussi dans le public : habiter une zone de centre-ville où le m² est bien cher, prendre des options grec ancien-russe-chinois, ou mieux intégrer une section internationale...
Citation :
Publié par Attel Malagate
Ce que j'aime bien, c'est qu'une chose essentielle est escamotée dans les constats.
L'échec scolaire, le décrochage, est unisexe pour l'éducation nationale.

Tant qu'ils en seront là, qu'ils n'ouvriront pas les yeux, ça n'évoluera pas.
Qu'est ce que tu veux dire par la?
Citation :
Publié par Prootch
Ca peut être marrant, je suis pas sur que ce soit maîtrisable dans toutes les classes. Mais j'aime bien l'idée de la démonstration par les autres élèves.
Une ex faisait ça avec des 6e, ça fonctionnait très bien au désespoir de ses collègues psychorigides et elle avait quasiment anéanti l'absentéisme dans son cours.
Citation :
Publié par maximeleFou
Le problème en France c'est qu'on tend à monter des systèmes qui sont adaptés à la minorité pleurnicharde, donc faut pas s'étonner des mauvais résultats,. On tire les gens vers le bas.
Le mieux c'est d'opter pour le système qui produit le maximum de résultats en s'adaptant à la majorité. Ceux qui ne s'adaptent pas et bien tant pis c'est des dommages collatéraux, il y en a toujours. La réussite de la nation demande aussi des sacrifices.
Not sure if serious.
Citation :
Publié par Saurdholion
Je penses que le premier problème viens d'un certains nombres de professeurs qui ne savent tout simplement pas captiver une classe. Ce n'est pas vraiment leur faute, rien ne les prépare à ça, mais il n'y a rien de pire que les prof soporifique et l'on en trouve malheureusement à tout les niveau.
.
Non, le problème ne vient pas de là. Des profs chiants, j'en ai eu des tonnes, ce n'est pas ça qui t'empêche d'apprendre. Le principal problème, c'est la langue et sa maîtrise. Et ça vient de ce qui se passe à la maison, pas à l'école. Un enfant "favorisé" entends trois fois plus de mots nouveau par jour qu'un enfant "défavorisé" lors de ses premières années. Arrivé à l'école, ce fossé facilite l'apprentissage des premiers (qui n'ont qu'un effort minime à fournir et peuvent apprendre bien plus de choses) et plombe les seconds (qui doivent mobiliser de très gros efforts pour décrypter ce dont on leur parle). Du coup, l'écart se creuse sans cesse.


Citation :
Qu'est ce que tu veux dire par la?
Il fait référence à l'échec des garçons, plus important que celui des filles. Mais, d'expérience, c'est surtout un problème culturel : il y a un vieux fond machiste en France, parfois boosté over 9000 chez certaines familles d'origine maghrébine ou turque mais parfaitement identifiable aussi chez plein de petits Kévin blonds aux yeux bleus, qui crée une dissonance cognitive massive chez plein de petit futurs connards : "comment se fait-il que moi, le roi de la création, obtienne de moins bons résultats que des gonzesses sans valeurs ? C'est certainement parce que les profs ne m'aiment pas. La preuve, ils ne me laissent pas faire tout ce que je veux et osent me répondre quand je les envoie chier légitimement".
Sérieusement, essayez d'imaginer une sorte de Eric Zémmour, avec les idées d'Eric Zémmour, mais en culotte courte et dans une école mixte, et avec un cerveau nettement plus moyen que l'original. Le mec, sans être forcément très mauvais, il est juste moyen, ce qui signifie que plus de la moitié des filles de sa classe sont meilleures que lui. En plus, la maîtresse ose lui donner des ordres, à lui, alors que sa mère lui répète sans cesse qu'il est beau, fort et intelligent, tout du moins en l'absence de son père qui lui interdit de parler à voix haute.
Forcément, il se révolte contre cette injustice manifeste, il joue la provoque, il ne bosse plus et il s'enfonce.
A l'inverse, sa petite sœur qu'il méprise et qu'il considère comme appartenant à sa famille n'est jamais grondé par ses instits. Ou si elle l'est, elle a l'habitude et le réflexe logique de bosser comme on lui demande pour éviter les baffes.
Douze ans plus tard, elle sera à la fac tandis que lui aura échoué à entrer en CAP à cause d'un dossier pourri. Il ne lui restera plus qu'à prendre sa carte au FN s'il s'appelle Kévin et pense que les gonzesses devraient retourner à la cuisine, ou à aller zoner entre une cage d'escalier et une mosquée s'il s'appelle Tarek.

Est-ce qu'il faut pour autant placer Tarek et Kévin dans des écoles pour garçon only ? Bof... Je ne suis pas certain qu'on ait besoin de chercher à tout prix un moyen d'organiser la préservation sociale de certaines espèces menacées. Je pense plutôt qu'une éducation à destination des parents serait bien plus efficace, moins coûteuse et moins réactionnaire.

Dernière modification par Aloïsius ; 04/12/2013 à 16h47.
Bon je crois qu'on a bien compris qu'un des gros problèmes c'est l'accompagnement des élèves à la maison.

La société étant ce qu'elle est, les élèves issus des milieux défavorisés sont de plus en plus en difficulté.

Donc qu'est-ce qu'on fait ?

Est-ce que l'école doit prendre le relai des parents ?
si oui, comment ?
Sinon qui s'en charge ?
Citation :
Publié par Aloïsius
Il fait référence à l'échec des garçons, plus important que celui des filles.
Je n'en doute pas un instant. Maintenant, il semblait penser qu'une grande vérité se cachait là, j'aimerais savoir laquelle.

Edit : pour ma part, j'y vois la résultante d'une différence culturelle d'éducation qui incite les filles à être "gentilles et sages" et qui valorise les garçons "énergiques". Que les première soient plus attentives et donc plus aptes à écouter en classe ne me surprend guère et j'ai du mal à voir ce que l'EN a à y voir. J'admets pouvoir me tromper.

Dernière modification par Vesper ; 04/12/2013 à 16h50.
Citation :
Publié par Aloïsius
Non, le problème ne vient pas de là. Des profs chiants, j'en ai eu des tonnes, ce n'est pas ça qui t'empêche d'apprendre. Le principal problème, c'est la langue et sa maîtrise. Et ça vient de ce qui se passe à la maison, pas à l'école. Un enfant "favorisé" entends trois fois plus de mots nouveau par jour qu'un enfant "défavorisé" lors de ses premières années. Arrivé à l'école, ce fossé facilite l'apprentissage des premiers (qui n'ont qu'un effort minime à fournir et peuvent apprendre bien plus de choses) et plombe les seconds (qui doivent mobiliser de très gros efforts pour décrypter ce dont on leur parle). Du coup, l'écart se creuse sans cesse.
Je me faisais une réflexion similaire en sortant de la bibliothèque un samedi matin, mon fils gambadant joyeusement une histoire de panpan le lapin sous le bras, quand on a croisé un gosse du même âge gambadant joyeusement une réplique de kalachnikov en plastique sous le bras. Marseille power !
Citation :
Publié par Tzioup
Qu'est ce que tu veux dire par la?
Citation :
Publié par Galirann
Bon je crois qu'on a bien compris qu'un des gros problèmes c'est l'accompagnement des élèves à la maison.

La société étant ce qu'elle est, les élèves issus des milieux défavorisés sont de plus en plus en difficulté.

Donc qu'est-ce qu'on fait ?

Est-ce que l'école doit prendre le relai des parents ?
si oui, comment ?
Sinon qui s'en charge ?
Solution simple, pas chère, facile : l'école s'occupe des parents AUSSI. De toute manière, vu le nombre d'entre eux qui ont du temps libre contre leur grès, assister à une réunion en petit comité par semaine, ça ne devrait pas être un problème...


Citation :
Edit : pour ma part, j'y vois la résultante d'une différence culturelle d'éducation qui incite les filles à être "gentilles et sages" et qui valorise les garçons "énergiques". Que les première soient plus attentives et donc plus aptes à écouter en classe ne me surprend guère et j'ai du mal à voir ce que l'EN a à y voir. J'admets pouvoir me tromper.
Tu dis la même chose que moi. Sauf que tu parles du cas moyen et occulte les cas "extrêmes". Qui n'ont pas grand chose d'extrême, statistiquement parlant, si tu laisses traîner tes oreilles en cours de récréation ou si tu bosses avec une infirmière scolaire. Internet et le porno dès 9 ans n'aident pas, accessoirement.
Perso, je pense qu'on ferai des progrès déjà en rendant les profs de collèges/lycées accessible aux élèves en dehors des cours...
A la fac t'as un problème, une question, un besoin d'aide pour un truc que tu comprend pas trop, hop tu va dans son bureau, au pire tu lui envoie un mail et t'as une réponse/aide. Dans le lycée/collège, tu lui demande en classe, s'il a le temps, il te répondra/aidera, s'il ne l'a pas, ben, c'est pas son soucis... Si tu veux le trouver en dehors des cours c'est juste pas faisable, car la majorité des profs ne veulent pas voir d'élève dans la salle des prof (déjà essayer, si t'arrive à voir un prof durant la récré, t'es chanceux)...
Citation :
Publié par Aloïsius
Solution simple, pas chère, facile : l'école s'occupe des parents AUSSI. De toute manière, vu le nombre d'entre eux qui ont du temps libre contre leur grès, assister à une réunion en petit comité par semaine, ça ne devrait pas être un problème...
Il est d'accord avec toi:
http://www.lemonde.fr/societe/articl...4373_3224.html
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