T'es sérieux ? C'est un viol juste parce qu'elle dit qu'elle veut arrêter et qu'il refuse.
Que le préservatif craque ou pas on s'en fou. Si il avait pas craqué ce serait exactement pareil.
Vue que la pénétration n'a pas été forcé, sous la contrainte ou la menace est-ce un viol ou une partie de jambes en l'air qui vire à l'agression sexuelle.
Le problème n'est pas de qualifier émotionnellement le fait mais juridiquement. C'est le problème avec le cas PPDA, tout aussi narcissique qu'il puisse être ca ne justifie pas de le qualifier de violeur parce qu'il eut un comportement répréhensible avec plusieurs femmes. Si ce qu'il a fait n'est pas du viol alors c'est un prédateur sexuel, agresseur sexuel mais pas violeur. On pourrait se demander ce que ca change au final, oui qu'est-ce que ca change de qualifier son agresseur de violeur plutôt que agresseur sexuel?
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