Voila deux étude scientifique qui datent un peu et qui concluent que même si ça ne semble pas accéléré pas le vieillissement de la centrale ça entraîne une augmentation des frais des maintenances en raison d'une usure plus importante de certaines pièces (ça donne l'exemple des vannes).
Plus récemment il y a Olivier Dubois commissaire à l'ASNR qui explique que :
J'ai un article des Echo qui semble en parler mais sous paywall mais j'ai sortie la citation d'un site que je connais et qui donne pas le contexte de la phrase de Mr DUBOIS.
Il y a d'autres trucs mais vu que c'est une argument qui est très utilisé par les détracteurs du nucléaires et les détracteurs du renouvelable c'est un bordel de faire le tri dans ce qui est fiable et ce qui est totalement exagérer et / ou détourner et j'ai pas trop le temps ce soir.
Je peux essayer de m'y coller pour retrouver une ou deux autres sources fiable à l'occasion.
le complément des echos:
"Caractéristique française, la présence d'oxygène dans l'eau de refroidissement du circuit primaire des réacteurs est l'une des origines possibles de ces anomalies, selon l'ASNR. Or, la teneur en oxygène peut augmenter dans les tuyaux lors des variations de régime d'un réacteur.
« La modulation pourrait être un des facteurs expliquant la corrosion sous contrainte via l'effet des appoints en eau qui, sur le parc français, ne sont pas tous désaérés, explique Olivier Dubois, commissaire à l'ASNR. Il peut y avoir des appoints d'eau avec une concentration en oxygène un peu plus importante ».
Pour autant, si le phénomène est « identifié comme un suspect de la corrosion sous contrainte », « la culpabilité de ce suspect n'est pas avérée aujourd'hui », prévient le commissaire. L'ASNR a identifié plusieurs causes possibles, comme des phénomènes thermo-hydrauliques et des effets liés à la réparation des soudures.
Si la responsabilité de la modulation du parc était avérée, ce serait un défi de taille pour EDF. L'énergéticien publicpilote en effet davantage la production de ses réacteurs que dans le passé, pour s'ajuster à la production intermittente des énergies renouvelables qui pèsent de plus en plus dans le mix électrique français.
Cette variation de production liée au soleil et au vent fait grincer des dents chez l'énergéticien public, particulièrement critique envers le fort développement du photovoltaïque.
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