Si j'étais Sarkozy ou un de ses ministres, j'instillerai une petite phrase, une déclaration inutile certes, mais qui dirait ceci:
"La France refusera par principe le retour sur son sol de DSK tant que la procédure américaine durera."
Afin d'appuyer là où ça fait mal.
D'un autre côté, tout le monde s'essaiera à interroger DSK. S'il répond, il peut se mettre en difficulté en faisant des déclarations exploitable par ses accusateurs.
L'ironie dans tout cela, est qu'il ne pouvait pas s'exprimer tant qu'il était au FMI sur la vie politique française, et que désormais il ne peut plus s'exprimer non plus - sauf à prendre un risque considérable -. Il aura été l'homme politique le plus présent à ne s'être jamais exprimé.
Une sorte d'incongruité, en fait.
Caniveau Royal.
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