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Je sens venir le combo gagnant cette année
https://reporterre.net/Une-secheress...urope-centrale https://www.lemonde.fr/climat/articl...8_1652612.html Le nouveau virus check la crise éco check la grande sécheresse bien parti pour être check et donc rendement agricole en chute libre. Allez une bonne petite canicule de 10 jours + de gros incendies, et l'année 2020 sera une année qui sort du lot.... |
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[wiki] [Ecologie] Changement climatique lié à l'effet de serre
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Alpha & Oméga
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Environ -8% d'émission CO2 cette année, d'après les prévisions de l'agence mondiale de l'énergie.
https://www.iea.org/reports/global-e...-2020#abstract |
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-Black-Shadow- |
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Rapatriement du débat sur le train sur ce sujet, puisque j'ai un sujet de débat lié au changement climatique.
Citation :
La LGV Rhin Rhone, jonction de 140km, a été construite il y a quelques années déjà et c'est l'un des rares exemples le seul exemple où un bilan complet a été réalisé. Synthèse : http://www.planete-tp.com/lgv-et-bil...one-a1897.html Détails : https://www.banquedesterritoires.fr/...Rh%C3%B4ne.pdf Purement concernant la construction, excluant donc matériels roulants et déplacements, on a donc un bilan carbone de : Citation :
La question que je me pose : sur combien d'années faut-il amortir ces émissions ? Les pouvoirs publics semblent avoir choisi le chiffre de 100 ans. Avec une fréquentation de 9.5 millions par an, on trouve un chiffre d'émissions au passager km de (7900*10^6/(9.5*10^6*100)) = (79/9.5) = 8.3geqCO2/passager.km Déjà, on remarque que la page wikipedia a soigneusement oublié ce chiffre, ce qui n'est pas très étonnant puisque le premier lien indique que le bilan carbone de la construction d'une LGV n'a été fait qu'une seule fois, on a donc émis des tas et des tas de CO2 pour construire le reste du réseau mais sans l'avoir mesuré. Ce chiffre peut quasiment doubler l'impact carbone de la ligne TGV... Mais ce n'est pas le sujet de mon message. Ce dont j'aimerais parler, c'est bien cette durée d'amortissement. Est-ce qu'une LGV est vraiment aussi écologique que ne le laisserait penser cette durée d'un siècle ? Amortir une LGV sur 100 ans ne me parait pas correct. Car le CO2 est émis tout de suite. On peut faire un parallèle avec les intérêts composés. Le CO2 émis tout de suite, c'est un capital qui va fructifier dans l'atmosphère et augmenter la température pendant les 100 années suivantes, et de manière largement supérieure à si on l'avait émis au fil de l'eau sur 100 ans. Tout comme on aura bien plus d'argent dans 100 ans si on place 1 millions sur un compte rémunéré à 2% garanti, plutôt que si on place 10 000 par an pendant 100 ans sur le même compte. De plus, dans 100 ans, moi et toutes les personnes qui me liront ce soir seront mortes. Nos enfants les plus jeunes seront au minimum à l'âge de la retraite. Cette ligne offre en gros 2000 millions de sièges km (réalisés 1330, mais j'arrondis au supérieur en supposant un meilleur remplissage) Un véhicule à moteur quelconque, émet de l'ordre de 60geqCO2/siège.km. Donc pour 2000 millions de sièges km on émet 2*10^9*55*10^-6 teqCO2 = 120 000 teqCO2 Autrement dit, rien que la construction de la ligne met environ 10 ans (un peu plus que 1108/120 car le TGV n'émet pas rien) à être rentabilisée du point de vue CO2. Vu que le réchauffement climatique a un délai de latence d'environ 20 ans, ça veut dire que construire une LGV n'a un impact positif sur le climat qu'au bout de 30 ans environ. Et surtout, faire ce raisonnement, c'est oublier que la voiture en 10 ans et pour l'après largement se transformer et devenir elle aussi plus écolo. La voiture électrique alimentée au nucléaire il me semble que c'est pas mal en termes d'émissions marginales. On parle de 25 kWh/100km soit environ 8g CO2/passager km avec un mix énergétique nucléaire et un remplissage moyen, on pourrait aussi réduire leur taille et augmenter l'aérodynamisme pour réduire drastiquement leurs émissions. Personnellement, je considère que le réchauffement climatique est un problème à horizon 2060, quand je voudrai passer ma retraite dans ma terre natale (le sud est) et qu'elle aura pris +3° dans la tête (donc peut-être +6° à l'échelle locale) et que ce sera invivable. Pour être gentil, je vais dire 50 à 60 ans, soit mon espérance de vie restante. Sauf qu'avec ce délai de 20 ans, la durée qui m'intéresse moi directement, c'est 30 à 40 ans. Disons 33 pour avoir un chiffre rond. L'impact CO2 au passager km de la construction de la LGV vient de passer de 8g à 24g, et le TGV nucléaire pollue maintenant presque la moitié d'un véhicule thermique. Ca aurait donné 40g si j'avais pris pour critère ma retraite dorée sur la côte d'azur (20 ans d'amortissement). Et si on reprend le calcul des émissions directes avec un mix énergétique européen ("sortez du nucléaire", qu'ils disaient), on arrive à un niveau franchement comparable aux voitures et avions actuels, voire supérieur si on tient compte de mon critère égoïste de retraite en 2060. NB : ceci n'est valable que si on compare la construction d'une nouvelle LGV avec l'utilisation d'une autoroute ou d'aéroports existants. Bref, encore une fois on fait dire aux chiffres ce qu'on veut. Evidemment quand on amortit une construction sur 100 ans, ça donne des valeurs très faibles, et il y a des arguments pour ça (ne serait-ce que le fait qu'on espère que la ligne durera 100 ans, cependant on peut se demander s'il y aura encore des TGV en 2120 pour aller de Strasbourg à Marseille, vu la température qu'il fera à Marseille..) Mais il y a également des arguments contre le fait d'amortir sur une durée si longue : le CO2 n'est pas un concept financier qu'on peut amortir, c'est une quantité physique qu'on émet maintenant, et qui commence à produire des effets physiques maintenant. Si on veut limiter les effets physiques que nous verrons de notre vivant (ce qui nous intéresse nous tous directement) il conviendrait d'amortir sur une durée beaucoup plus courte (20 à 40 ans maximum). On peut d'ailleurs facilement résoudre le paradoxe consistant à être égoïste et vouloir un meilleur climat pour soi, au détriment de ses enfants : ne pas avoir d'enfants. C'est aussi l'acte le plus écologique qui soit. Je n'en tire aucune conclusion parce que vous savez tous les biais que j'ai en faveur de la mobilité individuelle librement choisie, mais je trouvais intéressant de chercher et exposer quelques faits. Dernière modification par Eden Paradise ; 05/05/2020 à 03h40. |
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Citation :
J'ai trouvé une source pour un projet d'autoroute : Page 28 (ou 30) : la liaison Gye-Dieulouard. 105000 teqCO2 pour 31.5 km, au final on tombe sur des valeurs entre 3000 et 5000 teqCO2/km, soit en gros la moitié d'une LGV. https://cpdp.debatpublic.fr/cpdp-a31...l_de_nancy.pdf Pour un trafic qui peut être largement supérieur à une LGV (surtout aux alentours des villes mais également si on tient compte de la longueur totale) Et surtout, le maillage autoroutier est déjà largement plus complet que le maillage LGV. Donc l'essentiel des couts carbone ont déjà été payés. On peut faire Bayonne Monaco en direct par l'autoroute, de même que Bordeaux Lyon.. Mais si on voulait une LGV ça serait extrêmement cher. Citation :
Si on comprend, ou si par la force des choses, d'ici 30 ans, il faut adopter un mode de vie ne laissant plus sa place aux déplacements longue distance, ou alors avec une fréquence très faible, fera-t-on le calcul rétrospectivement pour se dire que finalement l'empreinte carbone indiquée par la SNCF lors de la vente du billet était sous estimée d'un facteur 2 ? Citation :
Certains sont bien rapides pour cracher sur tel ou tel comportement qu'ils jugent anti-écologique, mais appliquent-ils leur logique à eux-mêmes ? Est-ce qu'ils ont arrêté de manger de la viande, et est-ce qu'ils ont entièrement repensé leurs modes d'achats de nourriture vers une production locale ET écolo ? (Sachant qu'une production locale peut être plus émettrice de CO2 qu'une production très lointaine, le transport ne représentant pas forcément l'essentiel des émissions) Est-ce qu'ils ont déménagé pour un logement 3 fois plus petit et ont dépensé une fortune pour l'isoler thermiquement ? Est-ce qu'ils ont revendu leur voiture classique, soit pour faire sans, soit pour un modèle beaucoup moins polluant (un twizzy par exemple) ? Est-ce qu'ils limitent leurs achats de de biens manufacturés au maximum ? Est-ce qu'ils portent leurs vêtements jusqu'à les user jusqu'à la corde, les rapiécer, et user également ces rapiéçages ? Je ne connais personne qui ait fait ça. |
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Ce que j'ai vu, c'est baisse de 8% des émissions de CO2 du secteur de l'énergie : https://www.lefigaro.fr/flash-eco/co...ergie-20200430
Mais "seulement" 5% au niveau des émissions globale (j'ai plus la source), donc en-dessous des objectifs de l'accord de Paris… Citation :
Les transports et les logements c'est plus compliqué puisqu'ils dépendent de beaucoup d'autres choses, et malgré tout, regarde ne serait-ce que le phénomène des "tiny house". Le problème de la voiture, c'est que c'est un choix long terme. En alimentation, tu peux manger végétarien voire vegan (et te faire très plaisir gustativement) et ça n'empêche pas de se faire une entrecôte de temps en temps. Par contre si tu adores les grosses cylindrées et que tu achètes une twizzy, c'est fini la grosse bagnole. Et même sous un angle moins superficiel, au niveau pratique. Par exemple mon beau-père a plusieurs activités. L'une d'elles peut l'amener ponctuellement à devoir s'aventurer en voiture sur des terrains difficiles. Peut-être une vingtaine de fois par ans, sans pouvoir savoir exactement quand. Pour cette raison, sa voiture est un gros pickup 4x4. Il ferait comment, sans ? Alors ouais à côté de ça le tonton qui hurle quand il voit un plastique dans la mer parce qu'il est "hyper sérieux sur la protection de la mer" mais qu'à côté de ça il a un bon gros bateau à moteur et un SUV qu'il n'utilise que pour des trajets routiers classiques, on connaît tous. Mais faut pas non plus voir que ça. Citation :
Mais sinon, s'il n'y avait que les ultra riches (les 1% des 1%) qui pouvaient prendre l'avion ce ne serait pas un sujet écologique. Le problème c'est justement le tourisme de masse, accessible à tous. (Enfin, je parle de la population occidentale et des pays asatiques développés, déjà largement favorisée par rapport au reste du monde, donc.) De toute façon, ce qu'on peut constater en lisant des choses aussi variées que "Effondrement" de Jared Diamond ou… merde, je sais plus quelle était mon second exemple, mais bref : faut une volonté politique de régulation par en haut. Ce qui ne veut pas dire que les gestes individuels sont inutiles, mais c'est clairement pas le bout par lequel il faut prendre le problème. |
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Sur le débat Avion/TGV, un fil tweeter assez intéressant, qui part des même données que Eden (la construction de la ligne LGV Rhin-Rhône), mais qui arrive globalement à une conclusion radicalement différente : en gros, même en prenant TOUT en compte (construction et exploitation), en 12 ans le bilan écologique de la LGV devient intéressant
![]() https://threadreaderapp.com/thread/1...724552192.html ( avec un point intéressant sur la subtilité des vols domestiques FR, qui prennent en compte les vols vers l'outre-mer, qui seront de toutes manières difficilement remplacés par une LGV eux ![]() |
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https://www.lemonde.fr/blog/huet/202...-de-co2-evite/
Le CO2 évité du fait du covid, en direct. ![]() C'est au Brésil que ça a le plus baissé... ![]() |
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Citation :
J’avais le même schéma en tête, sauf qu’au lieu de m’intéresser au point d’équivalence, je me suis intéressé à une durée qui m’intéressait moi. 33 ans, soit presque la durée de ton graphe. Citation :
1.8/3.9 = 46%. Nos calculs sont donc entièrement cohérents, la seule chose qui change c’est l’interprétation que l’on en fait. Pas la conclusion, l’interprétation. Ensuite, si on prend ton graphe d’un côté, de l’autre le préjugé selon lequel l’avion (ou la voiture) serait le grand méchant loup, vu que sur une durée de zéro à 30 ans les deux sont comparables (=dans le même ordre de grandeur), le train n’est effectivement pas un grand méchant loup, mais juste un méchant loup. Le dernier élément à prendre en compte, serait le pouvoir de réchauffement du carbone en fonction de sa date d’émission. Ce qui devrait remonter légèrement l’impact du TGV. La grosse, grosse différence, c’est l’impact marginal, c’est-à-dire celui directement imputable au voyageur individuel. Psychologiquement, un voyageur en train peut se dire que son impact est très faible, et se donner ainsi bonne conscience, et ce raisonnement est rationnellement correct. En matière ferroviaire, une partie majeure de la pollution est délocalisée sur un décideur politique. C’est donc effectivement plus facile de culpabiliser le voyageur en avion ou en voiture, puisque celui-ci a l’entière main sur le niveau de pollution qu’il émet. |
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Citation :
En tout cas dans le même temps y a ça https://www.futura-sciences.com/plan...ccelere-79535/ Bref ça continue de plus belle. Je ne sais plus qui le suggérait, mais on devrait effectivement créer le crime contre l’humanité d'écocide. Et Bolsonaro serait le candidat idéal pour passer devant le tribunal. |
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Cette image rapportée par Sekyo est une excellente base, pour moi, puisqu'elle confirme mes calculs sur les émissions de CO2 (le fait que l'avion ne pollue qu'environ 50-60g de CO2/passager*km par exemple, que les émissions de construction de LGV sont énormes, etc..)
Elle nous permet donc de valider la première étape de la bataille de chiffre, sur les émissions de CO2. Mais ce n'était que la première étape. Ce qui nous intéresse réellement, ce n'est pas le CO2, il ne pose pas pour l'instant et ne posera pas avant longtemps de problème en lui-même. Le problème, c'est le réchauffement climatique. Ce réchauffement climatique c'est une accumulation de puissance radiative (en W), qui donne au fil des secondes, ou plutôt des années, des Joules. Des quantités assez astronomiques de Joules car la joule est une petite unité... On a l'approximation U (énergie interne en Joules) = C (capacité calorifique) * T (en Kelvin), avec C constante, donc en gros parler de Joules et parler de température c'est quasi proportionnel. Pour un système compliqué comme la terre évidemment ce n'est pas tout à fait vrai, mais en première approximation c'est intéressant de parler de joules reçues. Et en tout cas on pourra s'accorder pour dire que si on veut limiter le RC, on va limiter la quantité de joules reçues par la terre. Une quantité de CO2 dans l'atmosphère à l'instant t donne une puissance en W. Mais ce qui nous intéresse c'est combien de J la terre a-t-elle reçu ? Si j'émets une tonne par an de maintenant à 2060 (je perds pas le nord, ma retraite), ou 40 tonnes d'un coup en 2020, ou en 2060, quel est le pire, par rapport au climat de 2060, 2070, 2080.. ? En première approche, aux horizons qui nous intéressent (30-40 ans), on peut dire que le CO2 offre un pouvoir de réchauffement global quasi constant (à 30-40% près) https://jancovici.com/wp-content/upl...gaz_graph7.png Provenant de : https://jancovici.com/changement-cli...ffet-de-serre/ Ce qui compte, finalement, ce n'est pas la quantité totale émise à la date de 2060 (ou autre date qui nous intéresse politiquement), c'est la quantité totale de joules supplémentaires absorbés par la terre Dit autrement, si je veux chauffer ma piscine pour m'y baigner à 16h, si je déroule la serre de ma piscine à 15h59, ça ne sert à rien, l'eau n'aura pas eu le temps de chauffer. Il faut la mettre dès le matin, car c'est bien l'accumulation de temps passé sous serre qui va réellement créer l'effet de réchauffement par effet de serre, qui pour le coup est recherché dans l'analogie de la piscine. Si j'émets 40 tonnes d'un coup en 2020, puis plus rien jusqu'en 2060, mes 40 tonnes en 2060 sont encore présentes en bonne partie (sur 40 ans, à 30% près) Et ces 40 tonnes ont créé un réchauffement (mesuré en W/m²) proportionnel à leur densité pendant ces 40 ans. Ce qui nous intéresse, c'est l'intégrale de ces W, pour trouver des J. Donc malheureusement il faut faire une intégrale supplémentaire, sur le très beau graphe donné par Sekyo. Ce que j'ai donc fait dans ce nouvel excel. J'ai pris une modélisation très basique de la décroissance du CO2 mais qui colle en gros à ce que je mesure sur le graphe en échelle log : l'année n+1, il reste 99.3% de la quantité de l'année n. Vu que ce taux est très proche de 1, les résultats en faisant un calcul beaucoup simple (négliger la décroissance du CO2) sont très proches. J'ai également pris une durée de construction de 5 ans, en me basant sur l'exemple d'une LGV qui a remplacé en grande partie et va remplacer complètement la ligne aérienne : LGV sud ouest. Début des travaux 2012, mise en service 2017, sachant que ça n'inclut même pas la totalité du tronçon (mais seulement 60% du tronçon). Voilà le résultat : ![]() Sur le CO2 de l'avion, celui-ci ayant été émis plus tard, il a eu moins de temps pour réchauffer la terre. Donc il fournit à l'instant t 2.2 fois plus de Watts, mais il a fourni au total 1.2 fois plus de joules seulement... Et encore, ça c'est avec un train nucléaire. Si on prend un train diesel ou un train électrique made in charbon (ou tout simplement made in mix moyen européen, puisqu'on parle de faire du train longue distance sur l'europe), la courbe bleue du CO du train peut ne jamais repasser sous celle de l'avion, ou très tard, ce qui inverse l'ordre final. Les conclusions : 1- L'avion est effectivement polluant, mais le train aussi, et plus on creuse, plus on constate que les préjugés à base de "ça pollue 100 fois plus" sont entièrement faux. 2- Plus l'horizon de temps qui nous intéresse est court, moins l'avantage du train est grand. 3- Faire du train longue distance en Europe en remplacement des lignes aériennes actuelles (créer easy-track, ryan-rail et trans-train) ce serait une catastrophe écologique, aux horizons de temps qui concernent les personnes vivantes aujourd'hui. L'avion on peut réduire son utilisation de 10-20-30% et limiter les émissions d'autant. Si on décide de passer au tout ferroviaire-nucléaire, et que 15 ans après avoir construit une LGV on décide qu'on doit arrêter de polluer.. on ne peut pas, la pollution a déjà été émise lors de la construction, 15 ans auparavant, et a réchauffé la terre tout ce temps. 4- Les écolos cherchent à berner tout le monde sur ce sujet. Ce n'est pas surprenant, ils l'ont déjà fait sur le sujet du nucléaire. Il faut "sortir du nucléaire". Au point que le gouvernement a dit officiellement "fermer la centrale de Fessenheim pour réaliser une étape de la transition énergétique", et qu'une bonne partie des gens finissent par croire que le nucléaire émet du CO2 en quantité significatives. Dernière modification par Eden Paradise ; 12/05/2020 à 12h29. |
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C'est l’énergie grise qu'il faut comparer.
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