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Fusion de deux discussions.
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21/10/2016, 17h58 |
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[Wiki][POGNAX] Egalité Homme-Femme ? Le Sexisme dans notre société
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Arrête ton char, Ben-Hur. Je me suis fait abordée poliment trois fois dans les six derniers mois. Voilà comment ça s'est passé : — À la sortie du métro : "Bonjour, vous êtes d'ici ?" / "Euh non, désolée. Au revoir, bonne journée." Le mec m'a suivie jusque dans le bus et a essayé de me peloter. J'ai dû gueuler, deux fois, pour qu'il arrête d'essayer de foutre ses mains sous mon pull. J'ai envoyé un SMS à mon fiancé pour qu'il vienne m'attendre à l'arrêt, parce que si je descends et qu'il me suit encore, je fais quoi ? — En attendant le tram : "Salut, t'aurais un mouchoir s'il te plaît ?" / "Euh oui, tenez." / "Alors, tu fais quoi dans la vie ?" / "Désolée, je suis un peu crevée, j'ai pas trop envie de discuter là." Le mec explose et commence à se rapprocher, "Moi je suis maçon, tu crois que je suis pas fatigué ?!". Un de ses potes arrive et le distrait. Je me demande comment ça aurait pu tourner. — Dans le métro : Je suis posée, tranquille, avec mes écouteurs. Je vois un vieux monsieur qui essaye d'attirer mon attention. Je me dis que ça doit être un papy qui a besoin d'aide, du coup je les enlève : il me dit bonjour et me propose de le suivre chez lui pour faire des dégueulasseries. Je remets mes écouteurs, il continue d'essayer à me parler : je descends à l'arrêt qui arrive, il me suit. Je vois une agent TCL, je vais la voir, je lui explique, elle ne me croit pas. Heureusement, une femme qui attendait sur le quai a remarqué le manège, et attend avec moi jusqu'à ce qu'il lâche l'affaire. Ça c'est pour les "polis." Du coup, vu que me faire victimiser c'est pas trop mon délire, maintenant c'est écouteurs en permanence, je trace ma route et si un mec veut parler, et bah il appellera SOS Amitié. Je ne vais pas risquer de me faire agresser, insulter, suivre, harceler par 29 tordus sous prétexte que si ça se trouve, le 30ème est à peu près normal, simple question d'instinct de préservation. Pour toi, à te lire, la pire chose qui puisse arriver, c'est être ignoré. Pour moi — pour nous — c'est différent. De fait, les tentatives de détournement / retournement et autres faux grands discours à deux balles qui n'ont que pour seul objet de minimiser et rationaliser des comportements de merde, j'en dirais bien ce que j'en pense mais ce serait dommage de devoir me modérer moi-même. Dernière modification par MelkyWay ; 21/10/2016 à 18h27. |
21/10/2016, 18h12 |
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Dieu / Déesse souverain(e)
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Citation :
Si tu lis mon discours, je demande pas de faire un effort envers ceux qui te harcèle mais de ne pas condamner tout le monde pour leur comportement. C'est presque flippant d'avoir l'impression d'être le seul homme qui lorsqu'on lui dit "non" comprend que c'est un refus clair et non négociable. |
21/10/2016, 18h20 |
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21/10/2016, 18h25 |
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#393901
Invité
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Message supprimé par son auteur.
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21/10/2016, 18h31 |
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#393901 |
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Vive l'endogamie. Que personne ne côtoie quelqu'un autre part que dans son milieu.
On pourrait avoir de la mixité sociale. |
21/10/2016, 18h47 |
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#177225
Invité
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Message supprimé par son auteur.
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21/10/2016, 19h17 |
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#177225 |
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[Modéré par Episkey :] Dernière modification par Episkey ; 23/10/2016 à 09h26. |
21/10/2016, 19h29 |
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Citation :
À un moment faut lui foutre un peu la paix à la rue et admettre que le problème c'est le comportement et pas le lieu. La majorité des agressions commencent par "T'aurais du feu/une clope/deux euros" et c'est le refus qui sert d'excuse à la suite. |
21/10/2016, 19h30 |
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Je ne pense pas. Les connards sont les mêmes partout.
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21/10/2016, 19h52 |
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#177225
Invité
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Message supprimé par son auteur.
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21/10/2016, 19h54 |
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#177225 |
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Citation :
Et de toute façon, de base, je ne me suis fait que très peu agressé tout court, ça se compte sur les doigts d'une main, pour toute l'étendu de ma vie. - un mec qui m'a craché sur les chaussures quand je passais devant lui - un soir de fête dans la rue, un mec qui me met un coup de poing dans l'épaule (c'était un guet-apens, si j'y avais répondu, il avait 4 ou 5 potes à lui qui attendait pas loin) - une bande de types qui m'ont racketté un soir un je rentrais, ivre, chez moi. - deux types se foutant de ma gueule qui ont blagué sur ma coupe de cheveux en passant devant moi voila. C'est tout ce qui m'est arrivé dans la rue de la part d'inconnus d'aussi loin que je me souvienne. On peut pas dire que je me sois fait emmerder au point de craindre mon prochain. Comme je ne me suis jamais fait siffler dans la rue, insulter quand je n'y répondais pas, comme je n'ai jamais subis de contrôle d'identité, ne me suis fait suivre par un vigile, comme on ne s'est jamais trompé de genre en s'adressant à moi, comme on n'a jamais cherché à m'agresser sexuellement dans la rue, comme on ne m'a jamais suivi, etc. Quand les communautés militantes parlent de privilèges, elles ne le sortent pas de leur chapeau. Dernière modification par Azraëll ; 21/10/2016 à 20h23. |
21/10/2016, 20h15 |
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21/10/2016, 20h23 |
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Berthina GUITTHOMP |
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