On va me juger une nouvelle fois sévèrement, mais je maintiens que la traque (cf. carte de la traque) a pris au dépourvu nos gendarmes et militaires à de trop nombreuses reprises.
C'est simple : il a fallu qu'ils aient eu des parchoufs de téléportation et des bottes de sept lieues pour aller d'un endroit à un autre au fil des alertes qu'ils recevaient qui leurs disaient qu'ils n'étaient pas du tout au bon endroit et que les terroristes étaient entrain de commettre une exaction ailleurs.
Et Montrouge avec le gars qui appartient à leur réseau !!! Il y a donc une deuxième source de terroristes en activité à cet instant et qui agit déjà en parallèle (parce que le gars qu'à eu l'accident de voiture, avec son gilet et son arme, il allait pas acheter des clopes) ?! Et les services secrets ? Aux fraises.
Quand les terroristes auront été capturés, s'ils ne se suicident pas en tuant leur otage ou ne s'enfuient pas une nouvelle fois, moi je pense que la traque va être jugée très sévèrement, et que déjà ça doit pas bien plaire dans les ministères.
Attendez, si on a pas deux groupes distincts de terroristes qui se réveillent à cet instant mais cinq alors qu'on en voit qu'un, puis un deuxième inopinément (EDIT : trois !!!), c'est vraiment ce déploiement que l'on voit là qui va en venir à bout ?
Ils ne me rassurent pas. Et l'argument : " métier difficile et traque difficile parce que les autres c'est des professionnels" dit juste : on n'est pas capable de faire face aux professionnels. Voilà. Une action militaire adverse ? On est par terre.
Et même à l'instant : on est débordés.
|