Tentative d'opinion équilibrée sur OL - Nice
Ce qui est honteux sur le deuxième but lyonnais, ce sont les commentateurs de Canal+.
Ils se sont mis à crier à l'injustice juste après le but: "hors jeu ! hors jeu !". Le réalisateur passe le ralenti, on voit qu'il n'y a pas hors-jeu. Et au lieu de faire amende honorable, ces irresponsables invoquent une pseudo faute de l'arbitre de touche. De toutes façons, Letizi a reconnu qu'il n'avait pas regardé l'arbitre de touche, donc ça ne changeait rien.
L'égalisation a lieu sur un but incontestable, chanceux mais incontestable.
Je n'aime pas Lyon, j'avais envie que Nice gagne, mais au moins je ne suis pas de mauvaise foi.
Et j'avoue que lorsque j'ai vu le ralenti, j'étais déçu de voir que le but était valable. Cela me faisait perdre un argument pour critiquer l'OL.
Donc je ne vais pas poster sur Jol un truc que je sais faux, à la différence de beaucoup ici.
Le deuxième but lyonnais était le plus valable des trois.
Les joueurs niçois sont venus râler auprès de l'arbitre parce qu'ils étaient dégoûtés de se faire rejoindre sur une action qui ressemblait à un hors jeu.
Le premier but c'est un beau coup franc suite à une faute imaginaire comme on en siffle à chaque match et pour toutes les équipes. C'est pareil que les buts sur corner alors qu'il y avait six mètres, ça arrive tout le temps.
L'arbitre de touche n'a pas, amha, sa place en Ligue 1.
Ce que je crois, c'est qu'il a attendu un prétexte pour faire payer au joueurs niçois les paroles qu'ils lui avaient adressées sur le deuxième but lyonnais. Une façon de rétablir son autorité en commettant une vrai faute professionnelle.
Soyons beaux joueurs.
Bravo à l'OL d'avoir continué à pousser après s'être fait mener 0-2. Ce n'est pas parce qu'on aime pas une équipe qu'il faut lui enlever ses qualités, notamment de possession de balle, d'attaques placées et de patience.
Bravo aux supporters de Gerland, que j'ai entendu pousser des chants très fort pour encourager leur équipe, après le deuxième but niçois. Tous les publics ne font pas ça, et c'est tout à l'honneur de celui de Gerland.
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