Publié par K-Lagan
Avant de commencer, les aigris du mariages (concubiné, pacser, divorcé ou autre) peuvent passer leur route \o/
Aigri non, mais la lecture de ce fil vient de me flinguer ma mâtinée
Et vous bandes de geek en rut, comment voyez vous votre mariage ?
Dans un cyber café ? une grosse lan ? un truc en petit comité ? Ou faire un credit sur 5 generations pour une soirée ? A vous !
Ben en fait, si jamais je devais avoir les moyens (dans tous les sens du terme) d'arriver à ce stade, celà dépendrait avant tout de notre désir mutuel. Le mariage n'est pas une obligation, pas une étape nécessaire pour se dire "
je t'aime". C'est quelque chose de très fort, un signe évident de "
en cet instant, depuis un moment, je sais que je veux vivre ma vie avec toi", c'est indéniable. Alors dans cette optique réciproque ok. Mais se marier pour le mariage, se marier parce que "
bon chéri/e ça fait <random years> qu'on est ensemble, faudrait penser à se marier, non ? Parce que <random excuse "ça fait jaser dans ma famille" "ma mère dit que sinon ça ne durera pas" "ça donnera l'occasion de renouer avec Oncle Max, mon riche tonton d'Amérique" "si on ne se marie pas avant ses 40 ans on ira forcément au clash, regarde mes parents">", non.
Ensuite comment je vois ça ? Aucune idée, vu que ça dépendra de notre vie à ce moment-là.
Si je devais me marier aujourd'hui (ahahahahahahahahahahahahahahahaha(...)hahahahahaha) de mon côté, ça serait effectivement blindé niveau famille, oui. Niveau amis, ça irait vite, j'aurai juste de quoi fournir les témoins
Mariage sans la famille en fait j'ai peur que ça ne soit très mal vu de mon côté parental. On pourrait se passer de l'Eglise (suis pas baptisé d'façon) mais mairie et grosse bouffe, à cette heure-ci, c'est inévitable. Je pourrais arguer du fait véritable que j'ai à peine de quoi payer le McDo pour 15, mais ça n'arrêterait pas ma parenté qui se chargerait probablement alors des frais

Enfin, à voir. Dans l'absolu, pas besoin de mariage. Un amour fixe, éprouvé, réel et partagé serait déjà bien. A partir de là, le reste n'est qu'accessoires, plus pour le reste de la société bien-pensante que pour nous-mêmes.