Je sais pas si tu te rend compte mais tout ce que tu dis l'employé a des moyens pour faire pression contre le patron et le mettre dans la merde.
Tu as plusieurs problèmes dans ce que tu dis, c'est déjà que la plupart des employés ne connaissent pas du tout leurs droits, et que même ceux qui les connaissent, se dégonflent vite car si ils doivent rentrer dans une procédure, ça prendra 5 ans, des frais d'avocat et des frais de prud'hommes.
Par contre le contraire est faux, un employé qui veut pourrir la vie à son patron ne pourra quasiment pas ce faire emmerder.
cf au dessus, un employé dans ce cas, il recevra une première lettre d'avertissement, puis un licenciement pour faute avec même des fautes à 2 balles. Seul moyen de revenir là dessus, c'est de se lancer dans la procédure aux Prud'hommes mais quel % le fera ? 10 % ?
Actuellement, pour insister sur le fait que les employés ne sont pas en position de force, la dernière fois, chez mes parents, on a vu un docu sur la rupture conventionnelle. Il apparait que 60% des ruptures conventionnelles sont à l'initiative de l'employeur et sont, ni vu ni connu, des licenciements déguisés. J'ai vu faire autour de moi et effectivement, ce n'est pas dur. Tu fous la pression et après, tu offres la RC. La pression peut être de tout type, harcèlement moral (dont mise au placard et autres), chômage partiel, etc....
ou ce mettre en congés maladie pour un pseudo truc grave ou le mec va rester quasi 1 an en arrêt maladie, mais ne veut pas démissionner.
Un employeur peut demander de faire passer une visite médicale pour faire une contre expertise auprès de la CPAM. Et je parle d'une vrai visite médicale, pas une administrative lors de laquelle ils veulent juste savoir si tu es chez toi pendant les heures obligatoires.
|