J'en sors.
Putain.
La baffe.
Rapport détaillé quand j'aurai repris mon souffle.
Edit, donc :
Pour poser la base, j'ai pas grandi avec Mad Max, loin de là, je connaissais l'univers (j'avais des Metal Hurlant dans les mains en grandissant, et sans les avoir vus, j'avais connaissance de ce qu'ils étaient), quand j'ai atteint l'âge de raison, j'avais vaguement testé leur visionnage mais j'avais pas accroché (le premier a vieilli, quand même, mine de rien

).
À l'annonce du retour de la saga j'étais trèèèèèèèèèès mitigé, ça puait le navet cheap qui joue sur la nostalgie (non, je suis pas un grand cinéphile, vous m'excuserez, je ne vénérais pas encore George Miller)...
Comme toujours, je n'avais pas regardé les bandes annonces, parce que j'aime être surpris de bout en bout.
J'avais quand même aperçu quelques images en me disant "ouah, c'est bô". Puis les retours dithyrambiques du monde entier ont commencé à arriver.
Donc bon, j'avais de toute façon des places de cinéma à griller (je les achète par 10 et elles ont une date d'expiration

), donc bah voilà, j'y suis allé.
Et bah pfouah. Putain cette baaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaffe.
En bref, si vous aimez les belles photographies et que vous tenez 2h en apnée, aucune hésitation, putain.
Comme je le dis souvent sur le salon, l'élément primordial des jeux vidéo pour moi, c'est la direction artistique.
Bah là c'était bizance pour moi, putain, la photographie, l'ambiance, l'univers, tout est là, on se pose jamais une question, tout se passe naturellement, ça coule.
Je pense que c'est ma plus grosse baffe au cinéma depuis... euh... le Metropolis de Rintaro, peut être, et encore je suis pas sûr.
Non mais putain, le passage dans la tempête m'a fait pleurer. C'était absolument magni putain de fique.
D'autres le diront certainement bien mieux que moi avec un vocabulaire comme il faut, mais voilà, totalement soufflé. Wow.