Pour avoir joué des deux côtés, je peux dire que tant les flambys que les sorcières font des dégâts abominables, et avec un minimum de support, font des massacres.
Ils ne sont pas invincibles, loin de là.
Mon plus gros grief porterait sur le puit et son équivalent chez le flamby, qui sont à la fois beaucoup trop faciles à utiliser, ne nécessitent pas de ligne de vue (absolument abhérent), s'utilisent à distance, en AE et font des dégats démesurés. S'en est devenu la solution ultime et unique à toutes les situations pour pas mal de sorcières (et probablement pas mal de flambys, bien que moins tournés vers cette voie pour ceux que je connais). En attaque/défense de fort ça atteint des sommets du déséquilibre de jeu, à mon avis.
Le prochain patch devrait corriger en partie cela, heureusement (pour moi en tout cas).
Le combo de morale + compétence que vous évoquez me semble assez puissant, mais certainement pas ultime. Il implique une organisation non négligeable, une prise de risque au corps à corps, et ne peut être spammé à cause du CD de la morale.
Certes, avec une autre classe dans le groupe pouvant faire des incapacités de zone (un chevalier, j'en vois pas 100); le flamby peut assurer en presque continu la chose, mais pas mieux que la destru avec ses maraudeurs et élus avec leurs KD de zone et une sorcière au puit à 100 pas de distance, le cul au chaud, et sans le drain de PV.
Autrement, je trouve le flamby et la sorcière relativement équivalents , et puit mis à part, pas forcément si évidents à jouer. Entre autres, leur DPs est relativement inconstant, et les retours potentiellement mortels. Le fait est que l'on voit souvent leurs meilleures phases, quand tout colle bien (magie noire/combustion à fond, pas de retour, pas de dissipation, critique, soigneurs derrière, tanks devants...), et que les critiques font ressortir les gros chiffres qui tuent. Ca marque les esprits (le miens en particulier) et mène à penser que c'est "trop overchité dla mort", alors que ce ne sont que deux classes de l'extrême. Extrêmement puissantes, mais extrêmement susceptibles aux circonstances d'engagement.
Quoi qu'il en soit, je les hais autant en adversaire qu'à les jouer moi-même