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Les manifestants anti-CPE nétaient pas violents.
Sinon, pourquoi lle FN est il contraire à la forme Républicaine ?
Il est 1) contre la DDHC de 1789
2) pour le droit de vote multiple
3) liberticide
4) un léviathan
5) instaure la censure culturelle d'état
Publié par Revue de l'actualité juridique française
Dans son programme de 2002, le F.N. annonce qu'il entend limiter le rôle du Conseil constitutionnel « au contrôle de la conformité des lois à la lettre des articles de la Constitution ». Il ne pourra donc plus se référer au préambule de la Constitution, qui fait aujourd'hui partie de la Constitution, et dans lequel « le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l'homme et aux principes de la souveraineté nationale tels qu'ils ont été définis par la déclaration de 1789, confirmée et complétée par le préambule de la Constitution de 1946 ». Les droits de l'homme étant affirmés dans le préambule de la Constitution et non pas dans les articles de la Constitution, si l'on interdit au juge constitutionnel de se référer à ce préambule, on supprime toute possibilité pour lui de protéger les droits de l'homme.
(...)
M. Le Pen affirme, de plus, dans sa profession de foi distribuée aux français à la veille du 1er tour des élections, qu'il faut « réinscriree » un principe de préférence nationale. Un tel principe n'a jamais figuré dans aucune constitution française républicaine. Notre tradition constitutionnelle républicaine consacre, à l'inverse, le principe essentiel selon lequel « les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit » (article 1 de la déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789). « Tout être humain, sans distinction de race, de religion ni de croyance, possède des droits inaliénables et sacrés » (préambule de la Constitution de 1946). Le principe d'égalité s'applique à tous les hommes et non pas seulement aux citoyens français. Le nier, c'est ouvrir la porte à toutes les discriminations. Cette volonté d'exclure « les étrangers » ne doit pas tromper : les Français ne sont pas moins menacés que les étrangers. En effet, selon le programme du F.N., n'est pas français qui croit l'être. Ce programme prévoit « l'attribution de la nationalité exclusivement à ceux qui en sont dignes ». Dans cette logique, M. le Pen ayant une conception très spéciale de la « dignité », il n'est guère de français qui ne pourrait se voir, un jour ou l'autre, retirer sa nationalité. Faudra-t-il démontrer une appartenance à la « race » française, alors même que ce concept de race, revendiqué par M. Le Pen, est totalement dépourvu de signification ? La nationalité sera-t-elle restreinte à ceux qui respectent le droit ? Mais alors, c'est M. Le Pen lui-même, si souvent condamné pour violation de la loi par le passé, qui devrait être déchu de sa nationalité.
Publié par Programme du FN
Le Front National porte des valeurs qui transcendent les époques et les modes. La gauche, négative par essence, dont le maître mot sera toujours la destruction, est par définition incapable de fonder un ordre social durable. La droite “libérale”, crispée sur un individualisme égoïste aussi négateur que le socialisme, a montré, avec la fin des années de forte croissance économique, les très courtes limites de ses talents de “gestionnaire”.(...) Héritier des traditions de la civilisation française, notre mouvement remet l’homme dans les liens naturels qui sont les siens, famille, attaches locales, profession, Nation. Il met l’intérêt du peuple français au premier rang des devoirs du politique : c’est le sens profond du principe de préférence nationale.
Aucune référence aux Droits de l'Homme dans la rubrique "société" du FN, juste des "valeurs traditionnelles".
Publié par Citation du programme du FN
Toute décision politique doit, par conséquent, trouver son inspiration dans les valeurs nationales pour y trouver, non un modèle tout fait, mais une ligne directrice ferme et claire : “Tous les peuples connus ont été heureux et puissants à mesure qu’ils ont obéi plus fidèlement à cette raison nationale qui n’est autre chose que l’anéantissement des dogmes individuels et le règne absolu et général des dogmes nationaux, c’est-à-dire des préjugés utiles.” (Joseph de Maistre, Considérations sur la France, 1797).
Grosso modo, les droits individuels doivent s'effacer devant un droit national. Et puis en citant de Maistre, on comprend où l'inspiration est puisée...
Publié par Programme du FN
Cette_disposition, cela va de soi, ne se conçoit qu’au profit des familles françaises et après qu’ait été résolue la question de l’immigration. La place des familles au sein de la communauté nationale doit être revalorisée. Les familles de trois enfants, qui représentent 8% de la population du pays et assurent à elles seules près du tiers du renouvellement des générations, ne constituent que 5% des votants. L’équité voudrait donc que les parents, tuteurs naturels et légaux de leurs enfants, puissent exercer en leur lieu et place, durant le temps de la minorité de ceux-ci, non seulement leurs droits civils, mais aussi leurs droits civiques. C’est la loi qui préciserait les conditions d’exercice de ces droits. Le suffrage universel intégral ainsi rétabli, les familles et leurs enfants pèseraient enfin de leur juste poids dans les décisions collectives.
Publié par Florilège FN
Les toxicomanes se verront donc imposer, sans tergiversation ni retard, une cure de désintoxication dans des établissements de réadaptation spécifique.
Et fin des programmes de suivi, ainsi que des produits de substitution...
Publié par Florilège FN
Rap et techno, qui ne sont pas des expressions musicales, seront évidemment privés de tout soutien public.
Publié par Florilège FN
Dans le cadre de sa souveraineté, la France définira librement, hors des “conseils” de l’UNESCO, des déclarations de l’ONU ou de la commission de Bruxelles, sa politique d’enseignement.
Publié par Florilège FN
L’idéologie des droits de l’homme, ultime paradigme d’une intelligence en péril de mort, en l’enfermant sur lui-même, en a fait un être “unidimensionnel” (titre du principal ouvrage du sociologue gauchiste américain des années Soixante, Herbert Marcuse).
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