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[Cyclisme] Saison 2015
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Je suis totalement d'accord. Lui et Sagan sont des mecs qui dérident le cyclisme, et ça fait du bien.
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Citation :
http://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-r...evision/575449 Et ca m'etonnerait pas, c'est un peu le far-west sur la route des fois (souvent/tout le temps) quand meme... C'est par moment autant une course auto/moto que de velo, tout le monde sur la meme piste. |
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Citation :
![]() La structure juridique des équipes est liée à une licence UCI. Celle-ci est généralement détenue soit par le manager général de l’équipe (Jean-René Bernaudeau, Eusébio Unzué ou Vincent Lavenu, par exemple), qui la met ensuite à disposition de sponsors (respectivement Europcar, Movistar et AG2R), soit par le sponsor principal lui-même (Astana, Katusha ou Sky, notamment). La différence peut sembler négligeable, mais cela signifie que dans certains cas, l’équipe est intégralement contrôlée par le sponsor, qui effectue également le recrutement, alors que dans la première situation c’est le manager général qui a les pleins pouvoirs (même s’il agit évidemment en accord avec le sponsor). Il existe également des solutions mixtes, comme pour l’équipe Etixx – Quick Step (Patrick Lefevere possède 10% des droits de l’équipe, le solde étant réparti entre plusieurs sponsors). Néanmoins, dans un cas comme dans l’autre, ce sont les sponsors qui constituent 95% du budget, en effet. La raison est simple : les revenus annexes sont extrêmement réduits. Le merchandising est presque inexistant, les spectateurs ne paient pas pour aller voir les coureurs sur le bord des routes (sauf aux JO, mais c’est une autre histoire) et les équipes ne touchent rien de la part de l’UCI ou des organisateurs de courses cyclistes. Pour compenser cela, les sponsors ont une place prépondérante dans le domaine du vélo. Ce sont eux qui détermine le nom de l’équipe (comme en voile, mais ce serait inimaginable en football, en rugby ou dans un autre sport du même type), ce qui leur offre une visibilité très importante. Lorsque Manchester United joue, le logo de Chevrolet est affiché sur leur maillot, mais la publicité demeure passive. À l’inverse, quand l’équipe Sky gagne le Tour de France, c’est le nom du sponsor qui est répété partout à longueur de journée. L’apport est beaucoup plus important (une étude commandée par l’équipe AG2R avait montré que leur investissement – environ 15M d’euros – rapportait 95M d’euros de revenus indirects), mais il dépend fortement de l’aléa sportif et il peut être mis en péril par la mauvaise image générale du cyclisme. Il faut aussi préciser que si une équipe peut avoir jusqu’à deux sponsors titre (comme Garmin et Cannondale pour l’équipe Cannondale – Garmin, par exemple), il compte au total de nombreux sponsors. La Sky, par exemple, en liste au total… 17, chacun disposant d’avantages divers (sponsor principal, sponsor secondaire, fournisseur de vélos, fournisseur de voitures, fournisseur de pédales, etc.) et investissant donc des sommes variables. Le budget annuel d’une équipe (très majoritairement fourni par les sponsors, donc) sert à payer les salaires des coureurs, mais aussi celui du staff (de plus en plus pléthorique) et, surtout, tous les frais engendrés par l’équipe : déplacements, stages en altitude, etc. C’est à ce moment que l’on entre dans la partie la plus problématique du système : le lien entre le World Tour et les équipes. Pour faire simple, le World Tour est la première division professionnelle, qui assure aux équipes qui en font partie de disputer toutes les plus grandes courses du calendrier (les trois grands tours, les classiques importantes et plusieurs courses par étapes d’une semaine) et offre donc une visibilité maximale au sponsor et des garanties sportives aux coureurs. Le problème, c’est que le World Tour donne aussi l’obligation aux équipes de participer à toutes les courses de son calendrier. Or, si les organisateurs sont responsables de fournir le gîte et le couvert aux coureurs, tous les autres frais sont imputés à l’équipe. Pour le Tour Down Under, par exemple, cela signifie que les équipes doivent financer le transport de tout leur équipement (une vingtaine de personnes, coureurs compris, le bus de l’équipe, deux ou trois voitures, une vingtaine de vélos, etc.) jusque là-bas, ce qui coûte cher. Tous les frais de ce type pèsent lourdement sur les sponsors et peuvent avoir des conséquences dramatiques : si l’un des sponsors d’une équipe s’en va, celle-ci risque de ne plus avoir les moyens d’effectuer ces dépenses, quand bien même elle parviendrait malgré tout à conserver ses coureurs. En football, si un club de première division perdait un sponsor principal, il devrait limiter ses dépenses (masse salariale et transferts, principalement), mais il pourrait toujours participer à son championnat. En cyclisme, une équipe dont le budget passe subitement de 8 à 6M d’euros n’a plus la possibilité de participer aux courses et risque donc au mieux la rétrogradation (c’est ce qui est arrivé à Europcar) et au pire la disparition pure et simple (comme pour l’équipe Saur-Sojasun. Sojasun était prêt à rester, mais ce co-sponsor ne suffisait pas). Actuellement, le World Tour compte 17 équipes, alors qu’il devrait théoriquement y en avoir 18. Si c’est le cas, c’est parce qu’il n’y a que 17 équipes qui ont le désir et les moyens d’évoluer à cet échelon, malgré l’intérêt qu’il suscite. Cela signifie que si les 17 sponsors principaux se retiraient subitement demain et n’étaient pas remplacés, le World Tour disparaîtrait. Le cyclisme est un sport au modèle économique très malsain, car les sponsors ont pouvoir de vie et de mort sur une équipe. L’enjeu est toujours de retrouver un nouveau sponsor et certaines équipes n’y arrivent pas, laissant de nombreuses personnes (coureurs et membres du staff) sur le carreau. L’idéal serait donc que, comme en F1, les équipes soient rétribuées et que cet argent leur permette d’assurer leurs coûts de fonctionnement (les revenus de sponsoring ne seraient alors qu’un bonus). Ce serait l’idéal, mais il faut aussi voir l’envers du décor : pour les organisateurs, la situation n’est pas si facile non plus. De nombreuses courses ont disparu ces dernières années à cause d’un financement insuffisant. D’autres courses, appartenant pourtant au World Tour, sont menacées (principalement les courses espagnoles : Tour de Catalogne, Tour du Pays Basque et Clasica San Sebastian). Enfin, la majorité des courses (World Tour ou non) sont à peine à l’équilibre, en raison des importants frais engendrés par l’organisation : privatisation de routes, service de sécurité, infrastructures d’arrivée et de départ, etc. Tout cela coûte cher et limite la marge de manœuvre des organisateurs. Ceux-ci reversent des primes aux coureurs (pour une victoire, le port d’un maillot distinctif, le passage en tête au sommet d’un col ou d’un sprint intermédiaire, etc.), mais cet argent est ensuite réparti entre les équipiers et le staff de l’équipe du coureur concerné ; l’équipe en elle-même (sa structure juridique et financière) ne touche pas un seul centime de l’organisateur. La logique voudrait que les équipes soient rémunérées, mais ce n’est pas si simple que ça. Pour le Tour de Romandie (course World Tour d’une semaine), par exemple, le budget est faible (environ 5M d’euros par édition) et les droits télés dérisoires. Plus précisément, la RTS est responsable de la réalisation (qui coûte beaucoup plus que dans d’autres sports, en raison du fait que le cyclisme se déroule dans un environnement ouvert) et rétribue par ce service l’organisateur, qui ne peut donc rien donner aux équipes puisqu’il ne touche rien. Il existe néanmoins une exception : ASO (Amaury Sport Organisation, organisateur du Tour de France, de la Vuelta, du Dauphiné, de Paris-Nice et de plusieurs classiques World Tour, juste pour le cyclisme). ASO dégage des bénéfices chaque année grâce au Tour de France (les autres évènements sont soit déficitaires soit peu lucratifs) et pourrait sans peine rétribuer les équipes pour leur participation. Toutefois, il serait absurde de demander à un seul organisateur de payer les équipes et l’imposer à tout le monde condamnerait à l’arrêt plusieurs courses historiques… La situation n’est pas simple. La meilleure solution serait d’adopter un modèle similaire à celui de la Premier League de football. Les équipes du World Tour seraient actionnaires d’une société commerciale responsable de gérer les droits et l’organisation du cyclisme. Cette société organiserait les courses de l’élite (en collaboration avec des prestataires externes si nécessaire), vendrait les droits télés et reverserait aux équipes un financement leur permettant de subsister sans l’aide de sponsors. Seulement, ce système serait très compliqué à mettre en place et les intérêts des uns et des autres complique beaucoup le processus. Citation :
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Elle en est ou l'équipe que devait créer Fernando Alonso ?
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Nulle part. Elle ne se créera jamais.
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http://www.leparisien.fr/sports/cycl...14-3911889.php
Je viens de tomber sur ça, j'avais pas entendu parler de l'histoire mais ça m'a fait rire pour le coup ![]() ![]() |
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Porte qui lâche d'entrée dès que la Tinkoff accélère. Et Froome qui n'a plus qu'un seul coéquipier. L'équipe Sky semble moins forte qu'en début de tour.
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Sagan dans la descente c'est vraiment impressionnant.
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Sagan qui fait la descente à fond ! Allez Peter !
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Dommage, il rattrapera pas Molina.
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Merde, encore loupé...
J'allais éteindre ma télé mais j'avais oublié que les autres étaient 20 min derrière. ![]() |
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#363838
Invité
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Allez Froome fais nous une Beloki
Ces crevards qui veulent garder leur 7ème ou 5ème place -_- |
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#363838 |
#3913
Invité
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Message supprimé par son auteur.
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#3913 |
Alpha & Oméga
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Violent comme Thomas s'est fait éjecter tête première sur le poteau
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Gesink qui roule pour la 7e place
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#363838
Invité
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Wouter Poels avait commencé à lâcher, puis après il est revenu comme un malade dans le groupe des leaders.
Normaaaaal |
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#363838 |
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Sont tarés les supporters de se mettre en chaise devant un tournant dans la descente ... vraiment une belle bande de fous
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Citation :
D'ailleurs, ils sont revenus combien de fois dans le groupe maillot jaune pendant la montée? Au moins 2? Il me semble que quand Nibali (ou Contador) fait rouler ses hommes, Froome avait un seul coéquipier. |
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