Kafka :
Dans l'ordre :
- Ce sont l'école élémentaire et le collège qui répondent à cette exigence, juste avant de bifurquer en voie professionnelle/technologique/générale. Mais vue ta réponse, je n'ai pas du comprendre je présume.
- Rien. Ce n'est pas à l'éducation nationale de s'adapter à chacun. Le meilleur moyen, dans une éducation "pour tous" est de prodiguer un enseignement le plus générique possible. Quitte à ce que cela ne convienne pas à quelques uns, mais c'est obligatoire compte tenu du nombre.
- Quels problèmes l'interdiction de l'abaya soulève-t-elle ? Outre le fait de titiller quelques intégristes religieux ?
Edit :
Les parcours sont beaucoup plus individualisés, beaucoup moins d'évaluation stricte type notes (plus du tout ?), les blocs de savoir sont conçus pour être acquis de façon non linéaire et à travers de multiples petites séances, très peu de leçons "magistrales" ... bref ça évolue.
Le premier point est une bonne chose, dans la mesure du possible (faisable en primaire, mais pas avec 30 élèves)
Difficile ensuite, vu qu'on n'a les élèves que quelques heures dans la semaine. Il faut bien 2 mois pour connaître un minimum tous les élèves et il y en a certain qu'on ne cernera jamais vraiment, pour la simple et bonne raison qu'ils ne se cernent pas eux-mêmes
J'ai eu l'an dernier le fait de ne pas mettre de notes. Les élèves m'ont tous demandé tout de suite d'avoir des notes en plus des acquis en compétence. En même temps, les compétences en maths, ça n'a que peu de sens.
Je pense qu'il y a besoin de leçons "magistrales", histoire que tout le monde ait une base, commune, à partir de laquelle bosser.
Dernière modification par Compte #449857 ; 29/08/2023 à 18h34.
|