Je dois être un animal désespère, quand je bosse pas je déprime. Surtout après le gros rush final de fin de projet, j'en chie de plus rien avoir à foutre de pas avoir de montée d'adré quand j'apprends 2 semaines avant le rendu final que machin aura encore du retard, ou que truc n'a trouvé personne pour faire le bidule.
Bref le stress me manque.
Mais au bout d'un moment je m'y habitues, même s'il me faut 2 mois pour me réhabituer à dormir toutes les nuits et manger 3 fois par jour, et évidemment je parle de la difficulté que me procure le fait de ressortir de chez moi.
Toutefois une fois réhabitué à une vie normale, je kiffes glander au soleil, lire, mater des séries, bref me comporter en ado attardé et dès fois je "visite" la France profonde genre je vais en dehors de la grande courronne la ou le net n'existe que depuis 1 an ou 2. D'ailleurs ma période de glande de cette année m'aura permis de découvrir la joie des comics (entre autres) et une ville de michtonneuse (Aix en Provence).
Si j'avais le courage et que j'étais moins blasé (qui a dit parisien) je ferais surement d'autres trucs qui impliqueraient des relations sociales poussées j'aurais une trépidante vie parisienne creuse, de vernissage en avant première sirrotant un whisky perrier (ha bon c'est has been depuis deux ans), et puis j'aurais une hyper grande bande de potes avec qui faire la bringue (syndrome friends).
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