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Une injure est par exemple définie par l'intention de blesser, d’offenser. Or on est pas dans la tête de Meurice ou nous n'avons pas de témoins de la création de ce sketch qui pourrait nous dire qu'avant d'écrire sa blague il a dit vouloir se faire les juifs. T'as pas ces preuves le fait n'est pas suffisamment caractérisé ... |
07/05/2024, 20h23 |
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La presse et les médias en France
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Donc non, le parquet a décidé que sa blague n'était pas antisémite, que ce soit sur une question de forme ou de fond. |
07/05/2024, 20h30 |
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07/05/2024, 20h37 |
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07/05/2024, 21h21 |
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Après comme indiqué plusieurs fois, c'était essentiellement pour indiquer le classement sans suite des plaintes à son audience, ce n'était pas "gratuit". Et surtout à aucun moment il dit ou sous-entends que ce sont les juifs qui sont une sorte de nazi, il parle spécifiquement de Nétanyahou, à moins que le critiquer revient à critiquer les juifs, ce qui voudrait dire qu'on aurait plus le droit de critiquer/tourner en dérision les chefs d'États des différents pays du monde parce que ce serait assimilé à critiquer leur habitants. |
07/05/2024, 22h36 |
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08/05/2024, 09h40 |
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Elle est extrêmement vague et ne comporte quasiment aucun argument et ne désigne en aucun moment la blague comme étant antisémite. Grosso modo elle se contente de dire "bon au vu du contexte gaffe un peu" Voici ici ce qu'en pense Thomas Perroud, professeur de droit public à Assas : https://www.nouvelobs.com/idees/2024...ce-public.html "Cette affaire révèle aussi un cas de mauvaise administration de la part de l’Arcom qui a choisi une mise en garde pour rappeler Radio France à ses obligations, mise en garde qui est d’une rare pauvreté de motivation – elle ne comporte aucune argumentation juridique. Guillaume Meurice ne peut pas la contester en justice (puisque le Conseil d’Etat a jugé que les mises en garde ne sont pas attaquables) alors même qu’elle lui fait certainement grief puisqu’elle constitue un argument à l’appui de sa sanction. Comment l’Arcom a-t-elle pu procéder ainsi, en sachant que l’acte qu’elle prend pourrait être produit à l’appui d’une procédure disciplinaire, et le faire, qui plus est, sans motiver sa décision ?" (tout l'article est d'ailleurs intéressant) |
08/05/2024, 12h22 |
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Le licencier parce qu'il aurait cité une décision de justice allant dans son sens, cela me semble très faible juridiquement. On verra ce qu'en diront les Prud'hommes. Mais malheureusement, même si Meurice gagne finalement, ce sera trop tard. Citation :
Motiver une décision, c'est quand même la base. Là j'ai l'impression que l'ARCOM a réagi sous la pression politique et a sorti quelque chose pour qu'on ne lui reproche pas de n'avoir rien fait. |
08/05/2024, 13h22 |
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Et le passage dont on parle, même s'il représente un très court passage (à peine 30 secondes) de toute son intervention, n'est pas qu’une citation de la décision de justice. |
08/05/2024, 14h06 |
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08/05/2024, 14h36 |
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