[My Life] A l'abordage!

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Le post de magnagna arrêté par la Police des Mythos me fait rebondir gaiement sur un My Life bien frais.

Aujourd'hui j'étais dans le RER comme tous les jours, je lisais mon bouquin tranquille (Dans le torrent des siècles de Clifford D. Simak, la SF old school ça roxe) et là montent deux ados comme on n'en fait plus, maigrelets et acnéiques. je les entends parler de leur super DS de maths qu'ils on roxé et de ces connards de camarades qui pompent. Et puis j'ai cru entendre: "Ce serait pas Siamoize de JoL?" "Possible" ... Et puis ils sont repartis sur leurs problèmes sociaux.

Alors soit j'ai mal entendu et mon cerveau a transformé une information random en n'importe quoi (ouais il m'arrive de paranoïder et de croire que les gens parlent de moi alors qu'en fait non) , ou alors il y avait ce matin deux joliens dans le RER A qui n'ont pas eu les balls de me parler.

Et toi Jolien, oses-tu aborder? Blaguer, provoquer ton prochain? Ou te terres-tu dans un anonymat total et déprimant?
Tu lis des livres bien, c'est bien.
Et pour les quelques fois où j'ai à aborder ,je n'hésite pas. Il faut dire que je n'ai aucune honte, donc bon, ça me gêne vraiment pas. Quand à provoquer, j'adore ça.
Et quand aux virgules je sais jamais si il faut mettre l'espace avant ou après, même si je pense que c'est après.
Citation :
Publié par Siamoize
Ou te terres-tu dans un anonymat total et déprimant?
Voilà, parce que de toute façon les autres m'emmerdent.


Citation :
Publié par Attel Malagate
Ou alors ils ont en eu rien à foutre de toi au bout du compte, et de savoir ou non si c'était bien toi.
Je pluzone-ise, avec un vague plaisir, car je trouve l'auteuresse assez condescendante, hein, quand même ? Allons bon
Citation :
Publié par Siamoize
ou alors il y avait ce matin deux joliens dans le RER A qui n'ont pas eu les balls de me parler.
Ou alors ils ont en eu rien à foutre de toi au bout du compte, et de savoir ou non si c'était bien toi.
Tu t'ais pris un méchant blanc là.
Citation :
Publié par Dunta
Ptet que c'était Aeros et Glandulf en fait laul. Truth will be our.
Genre on est maigrelets, acnéïques, en plein puberté et sans corones...

A cause de toi,je vais me jeter sur mon, lit et pleurnicher le visage enfoui dans les draps en couinant. Sale vilain.

C'eut été un plaisir de croiser Siamoize et de l'aborder sabre au clair (à défaut de pouvoir la décroiser).
Citation :
Publié par Siamoize
Et toi Jolien, oses-tu aborder? Blaguer, provoquer ton prochain?
Bah euh, oui, et tout le temps en fait.

Exemple tout a l'heure a la sortie d'la fac.

J'vois des gens habillés strange et avec des papiers dans les mains en sortant du campus. Roh putain non encore des pubs a la con ! Et puis en fait, bah c'étaient des pubs a la con, genre viendez chez un certain opérateur alors que je suis déjà chez cet opérateur. De rage, je dépiaute leur papier en mille morceaux, que je jette dans une poubelle, normal quoi, je jette pas par terre comme un dégueulasse.

Nana avec un t shirt du dit opérateur a ma gauche, et devant son regard interrogateur sur ce que j'allais faire du papier -devenu des papiers par une opération de déchiquetage- qu'un de ses collègues venait de me filer. J'balance Vos papiers méritent une sépulture décente : / Ca me fait de la peine tous ces cadavres qui jonchent le sol.

Vanne de merde, fin de journée quoi. Et puis au lieu de passer pour un con j'accroche un sourire et une réponse. Finalement je l'ai aidée a ramasser les papiers qui traînaient, on a papoté un bon 20mn, j'irais sans doute a un festival ou elle fait partie du staff, la prog a l'air cool, et spa cher.

Et puis, elle est mignonne, et elle est de mission demain soir encore. Cool.
Citation :
Publié par Siamoize
ou alors il y avait ce matin deux joliens dans le RER A qui n'ont pas eu les balls de me parler.
Evidement, tu es bien trop intimidante. Tu lisais lifford D. Simak, l'air pénétré, tes petites lèvres aux réputations libertines bougeant imperceptiblement. Tu n'as eu pour eux qu'un vague regard de dédain lorsqu'ils sont entrés dans la rame, joyeux et débonnaires, leur rappelant soudain l'acné terrible dont chaque jour ils essayent d'oublier la présence humiliante, les retranchant en un battement de cils dans leur condition pénible d'adolescent, plein de rêve et conscients du handicap d'un intellect pas encore mûr, d'un esprit encore pataud, d'un physique ingrat dénué de charisme animal, de bête. Toi qui, l'esprit si fin, le corps habité de prédispositions artistiques, le sexe nacré et libre comme la brise, devait porter une de ses petites robes légères et de ses hauts talons de femme, la sueur entre les seins dans la moiteur du RER rendant le décolleté transparent, une goûte de sueur telle une perle de nacre roulant sur ta tempe et venant s'écraser mollement sur ton épaule nue.

Alors, oui, les pauvres, ils ont du capituler alors même qu'ils prononçait ton nom, dans un mélange éclair de foutre et d'urine au fond du pantalon.
Citation :
Publié par Siamoize
...
Citation :
Publié par Siamoize
Et IRL je suis entourée exclusivement de geeks, donc peu de chance d'être incomprise.
Faut pas t'étonner qu'on ait peur de t'aborder.
Citation :
Publié par Plugg
Et quand aux virgules je sais jamais si il faut mettre l'espace avant ou après, même si je pense que c'est après.
Il se met, après.
Citation :
Publié par Sponsachtige
Evidement, tu es bien trop intimidante. Tu lisais lifford D. Simak, l'air pénétré, tes petites lèvres aux réputations libertines bougeant imperceptiblement. Tu n'as eu pour eux qu'un vague regard de dédain lorsqu'ils sont entrés dans la rame, joyeux et débonnaires, leur rappelant soudain l'acné terrible dont chaque jour ils essayent d'oublier la présence humiliante, les retranchant en un battement de cils dans leur condition pénible d'adolescent, plein de rêve et conscients du handicap d'un intellect pas encore mûr, d'un esprit encore pataud, d'un physique ingrat dénué de charisme animal, de bête. Toi qui, l'esprit si fin, le corps habité de prédispositions artistiques, le sexe nacré et libre comme la brise, devait porter une de ses petites robes légères et de ses hauts talons de femme, la sueur entre les seins dans la moiteur du RER rendant le décolleté transparent, une goûte de sueur telle une perle de nacre roulant sur ta tempe et venant s'écraser mollement sur ton épaule nue.

Alors, oui, les pauvres, ils ont du capituler alors même qu'ils prononçait ton nom, dans un mélange éclair de foutre et d'urine au fond du pantalon.
omg collector
J'avais écris qqs paragraphes, mais fausse manoeuvre et pu rien!

Je dirai donc simplement que j'attend toujours de tomber sur Glandulf qui vit si près de chez moi!
Ca me rappelle ma rencontre avec Athamo, aucune photo ou signalement, planté comme des cons face à l'autre ,dans l'entrée d'un magasin de jeux vidéos, et là il me sort : le bar ?

Enfin bon peu de chances qu'ils viennent s'expliquer ici.
Non, c'était pas moi .Et les olol dofus , je les emmerde.
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