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Publié par Lorr
J'ai fini Hypérion de dan Simmons.

Un livre sensationnel, avec bouleversements et surprises jusqu'à la fin.
Des personnages mystiques, avec chacun leurs propres secrets.

Un film glauque avec des déceptions au niveau des Fash-Black sur les personnages. je trouve que chaque histoire est bien trop longue. Cependant, elles sont primordiales pour découvrir le sens caché de leurs destin.

Je commence tout juste à lire la suite : La chute de l'Hypérion.
Et après, tu as encore Endymion et l'Eveil d'Endymion !

Perso, j'ai arrêté dès la fin du premier tome. Trop long.
Mais mon père, en grand fana de Sci-Fi qu'il est, me rabâche constamment que "c'est la meilleure série de science-fiction à son goût", que c'est "un chef d'oeuvre" et que, bon, les tomes suivants sont moins long.

Je retenterais peut-être un jour, mais pour l'instant, chez moi... Hypérion = Long à venir.
C'est marrant j'ai dévoré Hyperion, la chute d'hyperion et les deux tomes sur le berger (endymion). Et franchement c'était l'extase, j'ai pas trouvé çà long mais prenant du début à la fin. Les seul truc un peu barbant étant peut être les réference à Keats et les passages sur l'ancienne Terre.
J'ai d'ailleur acheté la vo, et c'est un peu chaud, mais au moins le Gritche retrouve un nom puissant. The Shrike, çà déchire un peu plus quand même.
Je voudrais savoir sur les deux autres livres ( Endymion ).

C'est la suite de la chute d'Hypérion ou une autre histoire avec l'ancien consul ?

C'est vrai qu'Hypérion est très long. Mais je trouve que Dan Simmons n'aurait pas du faire cent pages pour chaque histoire d'un personnage.

C'est peut être les grand Flash-Balck qui t'a amener à arrêter la suite d'Hypérion.
Je ne dirai pas une suite, mais ça se passe apres hyperion et simmons approfondi l'univers qu'il a mis en place dans le cycle d'hyperion.

En plus, ça permet de comprendre pas mal de choses, un peu confuses, qui sont evoquees dans hyperion.

C'est, à mon avis, un poil en dessous d'hyperion mais c'est de la tres bonne sf.
En ce moment "Les monarchies divines" de Paul Kearney. Tres sympa a lire.
Et des que je finis, j'attaque enfin mon tome 10 du trône de fer *bave*
La horde du contrevent écrit par Alain Damasio. Prix de l'imaginaire 2006

Un style, un scénario, un genre, plein d'originalités.
Je le pluss-que-recommande.
Tous les Robert McLiam-Wilson
http://www.prix-chronos.org/auteurs/photos/mcliam_wilson.jpg


Cet auteur a des soucis à se faire dans sa vie. Il a une tare rare et miraculeuse : un sens de l'empathie exacerbé. Il fait du bien à ses lecteurs, agit comme un baume-au-moral, mais saccage aussi notre âme. Nous fait rire à voix haute dans le métro comme peut nous glacer le sang.
Lorsqu'il fait parler ses personnages, on oublie celui qui tient la plume, la connexion est directe avec l'histoire, l'hypnose est parfaite. Son style, ses phrases brillamment tournées, toutes en poésie et force, ses choix d'anecdotes pour apporter de la profondeur à ses héros ne sont pas laissés au hasard (des gens paumés généralement) ; ils ont un écho familier. Cet auteur a non seulement l'art du récit, mais il a un coeur, l'oeil et l'esprit affûté.
De plus, son égo ne vient pas bousiller le récit - comme pour ces nombreux auteurs vaniteux qui écrivent pour prouver des choses au monde et à leur pauvre destinée.

Je ne saurais vous raconter les amorces de ses romans - ils sont tous à recommander - mais honnêtement, ça faisait un bail que je n'avais lu un auteur contemporain aussi généreux. En bon amoureux des gens et de sa ville - Belfast - il vous plongera dans des fictions au goût satirique, où l'humour sauve ce qui reste d'espoir. La vie de là bas. Les gens de partout.
Puis faut dire que la traduction est réussie - il a un style qui coule tout seul - pas surchargé, pas non plus minimaliste - qui sert admirablement ses histoires.

Rejoignez le monde rugueux (mais pas entièrement dépourvu d'optimisme, hein) de Robert Mc Liam- Wilson ; ce petit push est bien pauvre en comparaison des bons moments qu'il m'a offert tout au long de mes lectures avec lui, et je ne doute pas que vous méritiez ce conseil de lecture.

Ripley Bogle
Des gens en parlent

La souffrance de Manfred
Ici aussi

Eureka Street
Un fan en parle


Et pour les plus courageux, un essai à deux mains, avec photographies de Donovan Wylie, sur les sans abris. Les dépossédés.
Article



N'hésitez pas à vous taper la tête contre la réalité, de temps à autre.
Robert McLiam-Wilson vous le permet tout en étant un poète réaliste. La solitude n'aura plus tout à fait le même goût, pour vous, après ses histoires qui sonnent comme des récits autobiographiques.
Je lis la trilogie des dieux de Bernard Werber.
Normalement je suis plus sur de la fantasy mais bon comme je commence le livre je vais aussi le finir.
C'est plus un livre pour se faire une idée différente de l'univers, des dieux selon werber, des religions et de la nature humaine.
Sympa à lire.
Dictionnaire de la gauche écrit sous la direction d'Hélène Hatzfeld,Julian Mischi et Henri Rey

C'est un livre très intéressant,écrit par une cohorte de spécialistes de la vie politique française,qui a travers des dossiers,portraits,descriptifs d'organisations et de partis et des chronologies traites des principale interrogations que connait l'ensemble de la gauche française aujourd'hui.

A lire.

PS:On trouve dans la même collection,un dictionnaire de la droite,de l'extrême-gauche et de l'extrême-droite.
__________________
Ecoute, j'ai été enfant de choeur, militant socialiste, et bistrot. C'est dire si j'en ai entendu des conneries...


Michel Audiard

Dernièrement j'ai lu Les mains du miracle de Joseph Kessel, c'est un livre qui raconte l'histoire incroyable d'un masseur finlandais, Felix Kersten, qui soigne le puissant Nazi Heinrich Himmler et parvient à sauver des milliers de vies en contrepartie, durant la seconde guerre mondiale.
Très intéressant, d'autant que c'est une histoire vraie. J'y ai appris pas mal de choses, je le conseille vraiment.


J'ai aussi lu Je suis une légende de Richard Matheson :
Dans un futur proche, il raconte le destin tragique du dernier homme vivant, seul être humain à ne pas avoir subi les affres d'une pandémie qui transforme inexorablement les êtres humains infectés en vampires. Monotonie de l'horreur, Richard Matheson axe son récit autour de cette situation incongrue où chaque geste anodin est en fait le dernier soubresaut de l'humanité pour se protéger de son autre dégénéré. (Tiré du wiki sur ce livre). A noter qu'il a été adapté déjà trois fois au cinéma, en 1964, 1971 et 2007 (en cours de production, avec Will Smith).
Dernierement j'ai lu "les piliers de la terre" de ken follet ;un roman historique une fois de plus mais cette fois ci au moyen-âge (je sais pas si on en a déjà parler dans le topic) ,ça peux semble un pave mais ça se lit vraiment tout seul ,des rebondissement ,une histoire qui semble réelle et les héros sont pour la plupart on ne peux plus humain !

un autre que j'ai lu il y'a peu et qui m'as marque plus pas son caractère authentique et la manière de faire vivre de l'intérieur et de façon troublante sa vie (c'est un début d'autobiographie) c'est black boy de Richard Wright, vraiment poignant et un style littéraire bien a lui (et une bonne dose d'humour malgré une enfance difficile ) .

En ce moment je me fait un classique avec elric de moorcock qui semble prometteur !
sinon je me relis les robert jordan en même temps histoire d'attaquer les deux nouveau tome sorties cette été
Cet été j'ai lu plein de livres (khâgneux oblige) mais celui qui m'a le plus marque L'élégance du hérisson
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Ce livre est écrit dans un style époustouflant. Les personnages sont attachants et émouvants. Le foisonnement de références est tout bonnement enivrant.

C'est l'histoire d'une concierge et d'une jeune fille toutes deux très intelligentes. La première essaie à tout prix de rester conforme au stéréotype de la profession alors que la deuxième pose un regard acerbe sur son mileu. Ces deux personnes vivent dans le même immeuble.

"Je m'appelle Renée, j'ai cinquante-quatre ans et je suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un immeuble bourgeois. Je suis veuve, petite, laide, grassouillette, j'ai des oignons aux pieds et, à en croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Mais surtout, je suis si conforme à l'image que l'on se fait des concierges qu'il ne viendrait à l'idée de personne que je suis plus lettrée que tous ces riches suffisants. Je m'appelle Paloma, j'ai douze ans, j'habite au 7 rue de Grenelle dans un appartement de riches. Mais depuis très longtemps, je sais que la destination finale, c'est le bocal à poissons, la vacuité et l'ineptie de l'existence adulte. Comment est-ce que je le sais? Il se trouve que je suis très intelligente. Exceptionnellement intelligente, même. C'est pour ça que j'ai pris ma décision : à la fin de cette année scolaire, le jour de mes treize ans, je me suiciderai. "

Ce livre se classe dans le panthéon des meilleurs romains que j'ai lu.



Lisez-le!
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Publié par White Spirit
Ce livre se classe dans le panthéon des meilleurs romains que j'ai lu.
Tiens j'croyais que c'était un terme grec ?
umh pardon

Je ne sais pas quoi penser des bouquins de Tournier. Si quelqu'un a développé une idée là dessus... Le roi des aulnes m'avait beaucoup plus, l'ambiance était fuligineuse, sauvage - et les émotions déboulaient aussi sec. Le suspens, l'amour-mépris pour le héros, la pitié-haine... En revanche son bouquin "les météores" m'a semblé être tapé entre deux rendez-vous, il est en dent de scie, tant au niveau scénaristique, qu'au niveau stylistismürtz. On peut s'ennuyer ferme pendant quinze lignes, et s'éclater juste après, ce qui a fait que je n'ai pu jeter l'ouvrage sur la pile de sortie. Quelque fois, il me fait songer à Borgès, d'autres fois à "Venus, Mars". Ah ,einh ? C'est étonnant comme contraste non ?
Je ne sais plus si je déteste ses personnages ou l'auteur derrière le bouquin.
Qui parle ? A-t-il réussi à s'oublier au point qu'on en arrive à imaginer les crétins qu'il écrit, parler à sa place ?
Thumbs up
Les Brigands - Schiller
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Les Brigands de Friedrich von Schiller - Ecrite en 1781, c'est la première pièce de théâtre de Schiller, considérée encore aujourd'hui comme un classique de la littérature allemande. Elle met en scène la déchéance d'un jeune noble de Franconie.

Au début de la pièce, celui-ci est prêt à faire pénitence auprès de son père pour les menues rapines qu'il a pu commettre, mais par l'entremise de son frère, jaloux du fils prodigue tant gâté par la nature, le pardon du géniteur lui sera refusé, le faisant irrémédiablement sombrer dans une criminalité désespérée...

Voilà un drame poignant ! Où les deux protagonistes principaux sont liés par le sang : Karl Moor l'aîné , charmant et talentueux et son cadet, Franz Moor, laid et perfide. Tout semble opposer ces deux hommes et c'est cette apparente différence qui les conduira à leurs pertes. Mais à y regarder de plus près, les similitudes apparaissent et effacent le manichéisme primaire. Et si Karl ne devait sa fin qu'a la paresse dont il a fait preuve en ne se présentant pas en personne devant le Comte Moor? Et si Franz n'était que la victime d'une injuste négligence qui le poussera à haïr son frère? Sans jamais se rencontrer, ils arriveront à la même conclusion: il n'existe pas de retour possible, et aucune rédemption ne viendra sauver leurs âmes. Franz ne pourra au dernier moment, se soustraire à l'enfer par une soudaine ferveur religieuse et Karl n'arrivera jamais à retrouver la vie dont il rêvait, c'est la démence qui les emportera.

(après ce résumé, inutile de préciser que j'ai aimé, même si habituellement, je ne suis pas friand de théâtre)
Les Piliers de la Terre, par Ken Follett
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Synopsis de l'éditeur :

Dans l'Angleterre du XIIème siècle ravagée par la guerre et la famine, des êtres luttent chacun à leur manière pour s'assurer le pouvoir, la gloire, la sainteté, l'amour, ou simplement de quoi survivre. Les batailles sont féroces, les hasards prodigieux, la nature cruelle. Les fresques se peignent à coups d'épée, les destins se taillent à coups de hache et les cathédrales se bâtissent à coups de miracles... et de saintes ruses. La haine règne, mais l'amour aussi, malmené constamment, blessé parfois, mais vainqueur enfin quand un Dieu, à la vérité souvent trop distrait, consent à se laisser toucher par la foi des hommes.

Ken Follet, le maître du suspense, nous livre une ouvre monumentale dont l'intrigue, aux rebonds incessants, s'appuie sur un extraordinaire travail d'historien.

Mon avis :

Difficile de dire autre chose que "j'ai-a-do-ré" !!!

1050 pages de pur bonheur. Comme si on avait un excellent vin qu'on pouvait déguster pendant des jours, et des jours et des jours ! Un travail d'historien extraordinaire (bien qu'on ne puisse pas aller vérifier, of course ) mais surtout une saga à couper le souffle. 35 ans dans la vie d'hommes, de femmes, d'enfants et d'une cathédrale, celle de Kingsbridge, dont la construction s'accompagnera de son lot d'amours, d'espoirs, de déceptions, de morts, de rebondissements, de luttes d'influence... Des gens partis de rien feront fortune pour ensuite perdre tout et s'évaporer dans le néant ou reprendre pied et repartir de plus belle. Vous devrez dire adieu à certains personnages, vous vibrerez avec d'autres, vous verrez certains protagonistes, insignifiants au départ, rayonner de charisme au fil de leur vie ; vous serez étonné, ému, bouleversé, indigné, mais à mon avis : jamais indifférent...


Tom le bâtisseur construit une maison, mais le jeune seigneur arrive au galop pour annoncer que son mariage est annulé et que la maison ne doit plus être construite. Tom se retrouve donc sans travail, avec une femme enceinte en 1130. Son rêve est de bâtir une cathédrale.

Aliéna est la fille d’un riche comte mais cette vie de château ne va pas durer bien longtemps.

William fait partie d’une riche famille et couve des instincts meurtriers qui ne demandent qu’à éclore.

Philip est un orphelin devenu prieur d’un monastère.

Ellen est une femme sensuelle et fière, qui vit dans les bois avec son fils Richard.

Les destins de tous ces personnages – et de bien d’autres – se croisent, s’entremêlent, s’influencent sans qu’on s’ennuie une minute, de la première à la dernière page ! Je vous conseille, si vous aimez les beaux livres, d'acheter directement le double roman broché au lieu du poche, car ce livre le vaut bien.
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J'étais un peu sceptique sur les Piliers de la Terre avant de l'avoir lu, mais je ne peux que soutenir Watch!ngU, c'est vraiment un très bon Ken Follett.

Je lis rarement des livres dans ce genre (campagne, cathédrale, moine tout ça ^^) et je l'ai lu parce que je m'ennuyais et que j'avais que ça sous la main mais il vaut le coup. Ca vaut largement les policiers classiques de Follett et malgré la longueur, on ne s'ennuie franchement pas.


Pour moi en ce moment, c'est du très classique : Lovecraft. Pour ceux qui ne connaîtraient pas, c'est un maître de la science-fiction et de l'horreur.

Tous ses livres sont basés sur l'idée que toutes les manifestations surnaturelles des humains, tous les cultes blasphématoires, tout ce qui constitue le folklore humain (de l'Atlantide aux sorcières) n'est que l'expression d'un unique culte, celui des Grands Anciens. Ces Grands Anciens sont une race déchue qui a règné sur le monde avant l'arrivée des hommes et qui essaye aujourd'hui de reprendre sa place.

J'ai commencé l'intégrale (rien de moins) et lu tous les livres et nouvelles se rapportant directement aux mythes de Cthulhu (selon l'éditeur). Pour ceux qui rechercheraient à se procurer l'intégrale, c'est dans la collection "Bouquins" en trois volumes.

Les livres et nouvelles sont vraiment passionnants, même si certaines nouvelles sont fort courtes à mon goût (parfois 2/3 pages, c'est un peu frustrant). Si vous souhaitez tester des livres plus courts avant d'acheter la totale, je vous conseille Les Montagnes Hallucinées, L'Abomination de Dunwich ou L'Affaire Charles Dexter Ward par exemple.

Clairement un des plus grands auteurs que j'ai lu en tout cas, avec un style très recherché en plus d'une imagination débordante.
Je viens de finir Le Chant du Bourreau (The Executioner's Song) de Norman Mailer, qui a reçu le prix Pulitzer en 1980. L'ouvrage se départage en deux volumes, le tout faisant près de 1 500 pages...

Rapidement, c'est l'histoire vraie (et basée sur des centaines de témoignages) d'un homme nommé Gary Mark Gilmore de sa sortie du pénitencier d'Oregon jusqu'à son exécution en janvier 1977, symbole de la reprise des exécutions aux USA (jusqu'alors, il y avait eu un moratoire). Au-delà de cette histoire, c'est une frasque sur l'Amérique profonde des années 70, une histoire d'amour qui confine à la folie, le courage ou la folie d'un homme qui accepte sa mort. C'est parfois sordide, glauque, scabreux et inquiétant ; mais au milieu de tout ça, on perçoit la nature humaine dans ce qu'elle a de plus beau et il y a des pointes d'humour cyniques ou/et rabelaisiennes... C'est écrit avec maestria, un style simple, fluide tout en étant percutant.

Je le conseille vivement !

@ maleducata : tu m'as aguiché avec avec Robert McLiam-Wilson... Mais tu n'as vraiment pas un roman à conseiller pour un méconnaisseur de l'écrivain comme moi, s'il te plaît ?
Ah, moi, tant qu'il s'agit de livre, je ne joue plus à la sainte pas touche
Citation :
Publié par Enthy
@ maleducata : tu m'as aguiché avec avec Robert McLiam-Wilson... Mais tu n'as vraiment pas un roman à conseiller pour un méconnaisseur de l'écrivain comme moi, s'il te plaît ?
Encore un qui me traite d'allumeuse ? Hé. Va donc jusqu'au bout et dégotte-toi Eureka Street, c'est parfait pour un début en sa compagnie. N'hésite pas, tu va rire, peut-être t'enrichir, trouver une bonne raison de t'enticher des irlandais, et un des chapitre je pense, te bouleversera à vie. Disons que tu ne verra plus les actualités, lors d'attentats, de la même manière...
Actuellement sur le cycle de la Stratégie de l'Ombre de Orson Scott Card, tome 2 L'Ombre de l'Hégémon.
Une série que j'apprécie, pas tant que les personnages soient époustouflants ou que le style se démarque (il est même classico classique), mais l'histoire est intéressante, et met en avant les conflits dans un avenirs lointain sur Terre.

A lire si vous cherchez un bon petit cycle de SF.
Citation :
Publié par maleducata
Encore un qui me traite d'allumeuse ? Hé. Va donc jusqu'au bout et dégotte-toi Eureka Street, c'est parfait pour un début en sa compagnie. N'hésite pas, tu va rire, peut-être t'enrichir, trouver une bonne raison de t'enticher des irlandais, et un des chapitre je pense, te bouleversera à vie. Disons que tu ne verra plus les actualités, lors d'attentats, de la même manière...
Adjugé, allumé ( ), vendu, je vais le chercher ce soir ou le commander.
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