Hé Umbrella et Tabou, vous sentez pas obligé d'êtres relou sur un sujet marrant, léger et bien écrit.
Sayn, pense à ça jeune bourgeois : sa vulve était pleine quelques minutes encore avant de te retrouver.
Au-delà de ça, je pense que ce qui te met surtout mal à l'aise et t'amène à ne plus la revoir, c'est que pour toi, en-bas, c'était la bérézina. La débandade au sens propre. La fuite la plus totale et la plus absolue.
Et que quand elle t'as consolé du genre "c'est pas grave, ça arrive, ...", tu as eu l'impression de n'être plus un homme, d'être amputé de ta virilité triomphante.
Et cet échec (car ç'en est un, ne crois pas les psys et les femmes), il va bien falloir l'assumer pour passer à la suite, et pour na pas rentrer dans un traumatisme.
Autrement, imagine un peu l'effet "réflexe de Pavlov CTB" : à chaque fois qu'une femme lâchera un petit pet de fouffe ( et ça t'arrivera encore), t'auras l'érection qui se barrera en courant, en te laissant en plan comme un con avec une saucisse molle et inutilisable, à devoir affronter le regard dépité de ta partenaire, en devinant les mots qui arrivent : "c'est pas grave, ça arrive,...".
T'as pas envie de ça quand même jeune kid ?
Alors repars à l'attaque, plante ton mât triomphant et marque ton territoire, preuve de l'absolue courage de l'homme à triompher des difficultés.
|