C'est bien gentil mais tu veux qu'elle dise quoi, dans un contexte professionnel ? Mon mec ? Mon copain ?
Hihihi 
.
En même temps on peut dire "Mon copain..." sans rigoler ni rougir comme une bécasse (même remarque pour Nephtouille), donc quitte à faire un QCM, faites le de façon moins partiale. Sinon dans un contexte professionnel tu peux tout simplement dire "Mon conjoint..." ou "
Mon ami..." voire "Mon fiancé..." ou "Mon mari..." le cas échéant.
Pour revenir au sujet j'ai une fâcheuse tendance à vouloir absolument relever des défis que je me fixe, généralement tout seul dans ma petite tête mais parfois suite à de stupides surenchères entres coqs, le plus souvent arbitrées par des nanas. Des défis souvent sportifs (Sauter par dessus une barrière, un ruisseau, une table de ping-pong ; plonger de la falaise la plus haute que je pourrais trouver ; escalader un mur, une maison, un pont ; sauter dehors en partant du rez-de-chaussée, du premier, du second ? -pas sur- ; courir une ou plusieurs heures sans m'arrêter, débiter un arbre, etc.), mais pas toujours (Trouver un moyen pour rencontrer, discuter et séduire une jeune femme que je ne connais pas encore ; m'interdire de travailler sur un projet -anciennement devoirs- que je dois rendre jusqu'à quelques jours, ou quelques heures selon, avant la date butoir ; arrêter de fumer du jour au lendemain ; lire un livre d'une traite ; écrire un truc -biographie, étude de texte etc.- sur un type/livre que je ne connais pas et n'ai jamais lu etc.).
J'ai commencé ce genre de trucs avec des potes, et il m'arrive régulièrement de continuer tout seul en surenchérissant le plus possible jusqu'à ce que je sois satisfait de la suffisante
épinosité du défi. Arrivés à ce point vous vous demandez sans doute pourquoi je vous raconte ma vie, pas très surprenant. Moi même j'avoue que j'étais en train de me poser la question, heureusement* à deux doigts (enfin, un pour être précis appuyé délicatement sur la touche [Retour Arrière], prêt à faire son office) d'effacer tout ce texte je me souviens enfin de l'intérêt de cette courte (bien que trop longue pour ce repaire de soudards) introduction, le paragraphe précédent est sauvé, Ô 'riculaire suspends ton vol.
Le lien avec le sujet, le voici : Je ne compte plus tous les défis foirés qui m'ont porté, chacun à leur niveau, divers préjudices physiques, sociaux ou moraux, ni ceux, réussis mais foireux, que seul le fait d'avoir voulu les relever suffit encore aujourd'hui à me rendre nauséeux. Je prendrais bien soin d'éviter ici tous les [ML]'s que je pourrais utiliser pour appuyer mes dires ils ne sont pas vraiment utiles, vous pouvez me faire confiance quand je vous dit que
"je n'aurais pas du", c'était stupide, soyez-en sur.
Je ne pense pas être le seul à subir ce genre de montée d'adrénaline, j'arrive maintenant à en contenir la plupart (notamment les plus pécuniaires et le plus dangereuse -physiquement s'entend- d'entre elles, heureusement pour moi) et j'utilise justement cette sensation
post-challengesque de dégoût à mon avantage en analysant
a priori si je risque de m'en vouloir d'avoir essayé malgré tout en me posant des questions simples et empiriques (Si je me vautre, est-ce que je risque de perdre la face ? Un(e) ami(e) ? Un boulot ? Une jambe ? La vie ? Pire ?) si jamais la réponse à ces question contient un ou plusieurs oui, généralement j'abandonne comme un lâche et je m'en vais vider mon trop plein d'énergie et d'adrénaline, dans une copine ou sur un mouchoir, voire l'inverse.
* Je vous vois venir, malotrus.