[Immobilier] Louer ou acheter ?

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Publié par Sadd Black
Pour moi c'est pas une question de rentabilité, je suis conscient du fait que la valeur de l'immobilier en station va baisser de manière constante.
Si c'est pour avoir une résidence secondaire et louer un peu l'appart pour payer les charges à l'année, il n'y a effectivement pas vraiment de question de rentabilité.

Le seul truc c'est de ne pas avoir de mauvaise surprise avec des travaux lourds en discussion depuis des années mais jamais votés et qui risqueraient de sortir parce que plus possible de faire autrement.
Tu n'as quand même pas beaucoup de gens qui sont prêts à investir dans des biens dont la valeur va baisser sur les 20 ans à venir.
Dans les plus hautes des stations, les prix risquent de flamber car seuls un petit nombre de logements auront accès à un parc de neige hivernal dans 15 ou 20 ans et ces stations seront trop petites pour tout les skieurs actuels.

Il y aura sélection par le fric, c'est certains.
On doit trouver des vélos plus chers qu'une Dacia.
Dès que tu y vas avec toute la famille c'est ruineux, quand t'es seul ou jeune reste les trucs genre clubmed ou UCPA. Mais avec ta femme et 3 gosses c'est inaccessible à la plupart des gens.

https://www.lemonde.fr/les-decodeurs...4_4355770.html

On est loin du "cher comme un vélo"
Oui c'est cher (objectivement), mais comparativement à d'autres destinations vacances, ça reste abordable.

C'est moins cher que des vacances chez mickey, c'est moins cher que d'aller visiter X pays lointain, c'est moins cher qu'une croisière à la con...

Après, c'est aussi une question d'organisation, perso je préfère faire des compromis sur d'autres loisirs.
Un article dans le monde sur ce sujet

Il est plus intéressant financièrement de louer un logement que d’acheter dans de nombreuses villes, mais les calculs mathématiques ne prennent pas en compte la précarité du statut de locataire et la pénurie de logements.

Citation :
Avec des prix de l’immobilier orientés à la baisse, les locataires vont pouvoir se poser de nouveau la question d’acheter un logement plutôt que de louer. Pour y répondre, il faut tenir compte des prix au mètre carré et du montant des loyers, mais aussi du crédit immobilier qu’il est possible d’obtenir.

Deux études publiées récemment, l’une par le site d’annonces et d’estimation Meilleurs Agents et l’autre par le courtier en crédit Meilleurtaux, montrent qu’il faut beaucoup plus longtemps que précédemment pour rentabiliser le coût d’un achat par rapport à celui d’une location. « Certes, les prix de l’immobilier baissent, mais pas partout et, de toute façon, ils baissent peu, alors que les taux d’intérêt, eux, ont fortement augmenté ces derniers mois »
Les taux d’intérêt pour un prêt se situent actuellement aux alentours de 4 % et ils devraient continuer à monter




15 ans et 6 mois
Citation :
C’est la durée nécessaire en moyenne aujourd’hui pour rentabiliser l’achat d’un bien immobilier de 70 mètres carrés par rapport à la location d’un bien équivalent. C’est deux ans de plus qu’en 2022 et dix ans de plus qu’en 2021. En 2019, il fallait moins de deux ans pour rentabiliser l’achat. Dans certaines villes, comme Paris, il faut trente ans pour rentabiliser un achat.
Bis : Il y a dix ans, il fallait environ quatre ans pour rentabiliser l’opération.


Mais les logements à louer se font rares partout sur le territoire, et notamment dans les grandes villes.



https://www.lemonde.fr/argent/articl...6_1657007.html

Dernière modification par znog ; 06/10/2023 à 09h46.
Citation :
Publié par Ryu Seiken
Il n'y a pas que les monuments classés qui ne peuvent pas être isolés par l'extérieur.
il y a les politiques de conservation urbaines ou communales. Par quartier ou souvent, par communauté d'agglomération.
Et quand, parfois les autorités te donnent une dérogation, tu devras prévoir des plaques de parement décoratives par dessus, pour alourdir encore plus la note. Les plaques de parement, matériau et mise en œuvre, c'est entre 70% et 500% le prix d'un m² de mur maçonné. Soit, à minima, 40€/m² en plus de l'ITE.

Les marchands de sommeils, il y en aura toujours. Mais avec l'expérience, les autorités devraient les repérer plus facilement et travailler plus sur le signalement plutôt que de taper tous azimuts et mettre des freins partout.
A un moment, au fur et à mesure de la multiplication des normes, ils ont oublié que le confort dans une boîte à chaussure, c'est pas aussi agréable que devoir ajouter une couverture dans un lit où on peut dormir sans se recroqueviller.
Sur le reddit de ma grande ville, je rigole pas quand parfois un post sur 2 ou 3 c'est des appels à l'aide pour trouver une location.

Si tu as les moyens, il vaut mieux acheter simplement parce que tu as beaucoup moins de concurrents pour acheter que pour louer.

Par contre, le fait qu'il y ait moins d'acheteurs, ça rabat aussi sur les locations ceux qui avant étaient primo-accédants :/
Depuis 2-3 ans, les banques sont beaucoup plus frileuses.
Pas forcément vrai dans toutes les régions, mais c'est moins cher et plus avantageux d'acheter dans l'ancien et de refaire l'isolation que d'acheter du neuf.
La plupart des logements neufs bénéficient d'une dérogation pour rester en RT2012 alors qu'un particulier qui fait construire autre chose qu'une maison "clé en main" type Maison Phénix et la clique, ce sera RT202, bien plus cher.
Il y a 10-15 ans, sous couvert de mixité sociale, un particulier ne peu plus réaménager sa maison en appartements pour relouer. Le redécoupage impose à minima mise aux normes PMR sur lesquelles pas mal d'administrations elles-mêmes s'asseoient allègrement. Ce sont souvent les petites administrations qui font le plus d'efforts. Plus l'obligation de proposer au moins 1 T1, 1 T2 et 1 T3. En comptant les dégagements communs nécessaires, si t'as pas une vraiment grosse maison au départ, c'est mort.
D'où la multiplication des offres en co-location.

Moins d'acheteurs parce que plus de dossiers de crédits rejetés.
Flambée des prix des logements rénovés.
Moins de logements anciens viables, dans le sens de logements où l'enveloppe travaux et rénovation énergétique reste raisonnable, permettant au coût final de rester nettement en-dessous du neuf.

Les containers transformés en logements, c'était une bonne idée et ça résorbait la crise du logement en attendant les nouvelles constructions.
Venue des US, en passant par les Pays Bas. L'idée est malheureusement passée dans les mains du businessman à la française.
On passe de logements décents, rapidement disponibles et pas cher à une merde à peine mieux qu'un logement insalubre au prix d'un logement de standing.

Après la crise Covid, on peut même plus revenir en arrière à cause d'une flambée des demandes de containers de transport.

L'immobilier, c'est un vaste sujet plein de paradoxe. On ne veut plus de logements de grande hauteur, mais on ne veut pas que les gens occupent trop de place horizontale. Résultat : dans les années 2000, les lofts devenaient tendance avec des surfaces dignes des grands lofts américains et pas à des prix fumés. Maintenant, tu trouves des annonces "loft" de 60-70 m² à des tarifs démentiels.

Bref, il faudra un jour mettre à plat les normes, les nécessités et les besoins. Et revenir à des logements avec des surfaces habitables dignes de ce nom et à des tarifs raisonnés.
Attention cela dit: 7 propriétaires sur 10 ont fini de payer leur crédit et n'ont donc plus que l'entretien et la taxe foncière à assurer. Ce sont eux qui sont le moteur principal du NIMBY, notamment parce que si le maire signe des permis de construire, non seulement ils seront contestés en justice mais en plus il prend des risques pour sa réélection.
Dit autrement, l'immobilier ne va pas mal pour tout le monde. Il va mal pour les pauvres et les intermédiaires rémunérés à la commission. Manque de bol, peu de membres du corps législatif font partie de cette catégorie. Il n'aura échappé à personne que ce sont les municipalités qui doivent agir contre airbnb, l'état ne faisant rien.
Citation :
Publié par Touful Khan
Il n'aura échappé à personne que ce sont les municipalités qui doivent agir contre airbnb, l'état ne faisant rien.
Le rôle de l'Etat est justement de laisser la main aux autorités locales. Il faut rappeler que Airbnb hors des zones en crise du logement, c'est tout à fait positif

Screenshot_20231007_080537_Le Monde.jpg

Citation :
Selon Airbnb, en mars, 35 % de ses annonces en France étaient dans le monde rural, 8 points de plus qu’en 2017. Sa définition est large : est rural ce qui est situé ni dans une aire urbaine, ni sur le littoral, ni à la montagne. Les nuitées réservées dans ces territoires ont crû de 80 % au premier trimestre par rapport à 2019. Elles approchent les taux d’occupation d’autres territoires, et une réservation sur cinq vient de l’étranger. Une carte de France d’Airbnb établie en 2021 montre un territoire presque intégralement recouvert, à l’exception d’une partie des Landes, de la Beauce, et de la Marne ou des Ardennes.
Citation :
« Il y a un Airbnb des champs, qui atteint des zones peu ou pas concernées par le phénomène touristique auparavant »,
Citation :
Tandis que l’offre stagne, voire régresse dans les villes où la régulation se fait plus intense, elle croît franchement dans les villes moyennes, le rural ou le littoral peu touristique. Les données transmises par le site AirDNA donnent la mesure de l’explosion de l’offre, sur Abritel et Airbnb, dans les petites communes, entre 2017 et 2019, puis en 2022. Une analyse détaillée montre la création de marchés de report à proximité de lieux saturés d’hébergements, ou proches de grands équipements touristiques, comme les parcs d’attractions ou zoologiques, situés en zone rurale.


C’est sans doute dans ces coins désertés de France que renaît l’idée originelle de la start-up : arrondir les fins de mois, assurer l’entretien de la maison en louant la chambre du petit qui a voulu voir plus grand. Quel investisseur immobilier pourrait juger rentable de racheter des maisons à Salins-les-Bains, petite cité thermale du Jura (de 30 à 77 annonces entre juin 2019 et 2022), ou à Saint-Geniès (Dordogne), village historique du Périgord noir où l’offre a doublé en trois ans ? A la campagne, Airbnb retrouve ses hôtes idéaux
https://www.lemonde.fr/economie/arti...4244_3234.html


On arrête les charters et c'est notre style de vacances désormais : la France rurale en dehors des zones touristiques : simple, beau, authentique, pas cher, durable...
Citation :
Publié par Ingor
35% c'est "quasiment personne" ?
Je pense que c'est 35% des utilisateurs AirBnB.

L'autre effet pervers de AirBnB, c'est comme Uber. Une déstabilisation du marché de la location.
Mais encore une fois, c'est le résultat d'e lois et normes à la con voulue par les gouvernements précédents et dont la faute est rejetée par les successeurs, tout en profitant.

En dehors de la concurrence déloyale dans les zones et communes touristiques.
Je suis tout à fait d'accord que AirBnB contribue assez largement à la re-dynamisation ou la revitalisation des zones délaissées ou désertées.
Il faudra encadrer l'activité pour limiter les effets pervers sans détruire les effets positifs.

Comme les normes de constructions, votées par des acteurs nationaux ou sociaux, pour bloquer la concurrence extérieure, mais qui ne bloquent que les contributeurs puisqu'ils ne peuvent même pas respecter leurs propres critères. Les passes droits, ça marche que quand on contrôle les processus de normalisation et d'agrément.

35% du marché AirBnB en rural, c'est significatif de l'évolution du tourisme. Tu vas voir la Tour Eiffel 1 ou 2 fois, tu fais les circuits œnologiques ou gastronomiques de temps en temps. Après, ça devient monotone.
On glisse doucement des vacances actives, qui sont plus crevantes en déplacement et activités, vers des vacances de repos et épicuriens.
C'est un choix, mais j'ai jamais compris le plaisir qu'il peux y avoir à faire 2 jours de vol/transit, 1 jour de rush touristique et 2 jour de vol/transit retour que tant de monde racontait dans les souvenirs de voyage. J'ai toujours pensé que les vacances, et je le pense toujours, c'est prendre le temps de vivre, ou faire ce que tu veux. Mais pas 50 000 km en avion. ou alors réserve 1 mois sur Air Force One.

Bref, on s'éloigne du sujet.
Tout ce qui peut freiner la désertification et l'exode rural, quelle que soit l'ampleur de l'impact, est positif.
Les communautés d'agglomération, c'est aussi une des cause des surcoûts de l'immobilier.
la multiplication des niveaux de collecte et de redistribution a un coût qui sera toujours imputé à l'usager/acheteur.
Citation :
Publié par Ryu Seiken
Les communautés d'agglomération, c'est aussi une des cause des surcoûts de l'immobilier.
la multiplication des niveaux de collecte et de redistribution a un coût qui sera toujours imputé à l'usager/acheteur.
Je t'invite à regarder ce que tu verses en taxe foncière à ta communauté d'agglomération. Chez moi, pour une Communauté Urbaine, c'est un pourcentage d'un peu moins d'1%, contre 51% à la commune. Les EPCI (c'est le nom des regroupements de communes), c'est un moyen pour les communes, bien trop nombreuses en France, de mettre en commun des services publics qui seraient redondants et justement trop coûteux si dupliqués partout.

On peut regretter l'organisation des services publics en France (intérêt du département en 2023...), mais blâmer les EPCI, bof.
Citation :
Publié par Ingor
Je t'invite à regarder ce que tu verses en taxe foncière à ta communauté d'agglomération. Chez moi, pour une Communauté Urbaine, c'est un pourcentage d'un peu moins d'1%, contre 51% à la commune. Les EPCI (c'est le nom des regroupements de communes), c'est un moyen pour les communes, bien trop nombreuses en France, de mettre en commun des services publics qui seraient redondants et justement trop coûteux si dupliqués partout.

On peut regretter l'organisation des services publics en France (intérêt du département en 2023...), mais blâmer les EPCI, bof.
Les Communautés urbaines, c'est bien pour les petites et moyennes communes.
Quand je parle des frais de collecte et de redistribution, je parle des frais financiers induits.
Service public ou pas, les banques ne font pas de quartier.

Dans la gestion catastrophique des fonds publics, l'Etat est le pire gestionnaire, viennent ensuite les Communautés Urbaines de grandes métropoles.
Les mouvements d'argents devraient être limités, pour limiter les frais de transfert. Quant les budgets sont faits, ils connaissent les besoins approximatifs et les surcoût non prévus que ça peut entraîner. Théoriquement.

C'est un peu comme les appels d'offres. Les entreprises ont le droit et devraient réactualiser leurs prix quand les hausses sont nettement plus importantes que les index BT ou qu'il y a une annonce en ce sens dans le BALO/JAL. Dans la pratique, les acheteurs, mêmes publics qui sont sensés se soumettre aux code des marchés publics ne s'y soumettent pas et rejettent les sociétés qui respectent la loi, commercialement parlant.
les offres anormalement basses sont sensées être rejetées, mais le sont rarement. Ce qui finit souvent par des chantiers difficilement livrables parce que reprendre et corriger des travaux coûte forcément plus cher et que l'intermédiaire s'y refuse.
Essentiellement pour des raisons de rétro-commissions qui n'existent pas légalement.

Bref, là n'est pas la question.
Ce que je n'admets pas, c'est les transferts A/R qui génèrent des frais qui n'on pas lieu d'être en raison des besoins financiers déjà définis.

Ah et ce qu'il faut regarder, ce sont les transactions entre la commune et la communauté urbaine.
1% sur 1 000€, ça sera toujours sans commune mesure avec 1% de 1 ou 10 millions.
Malgré des frais négociés, ce sera toujours des dépenses inutiles et facilement évitables.
Bonjour à tous,

On souhaite acheter avec ma conjointe maintenant qu'on a fini nos études respectives et qu'on en a un peu marre de lâcher 800€ de loyer par mois pour un service vraiment moyen.
Actuellement on tourne autour de 4k2/mois au total ce qui nous fait un maximum d'emprunt autour de 1400€.
L'objectif c'était rester un peu en dessous et on pouvait emprunter facilement 300-320k avec des taux à 1.2% mais aujourd'hui on est plutôt sur du 220-230k j'ai l'impression.

J'ai vu que les conditions du PTZ c'était sur N-2 et comme elle était alternante, ses revenus n'étaient pas imposables.
Est-ce que certains d'entre vous ont déjà utilisé ce dispositif? Si oui c'est pas trop galère?
On a un premier RDV à la banque histoire d'avoir une première idée cette semaine mais j'ai l'impression que ce soit pas trop proposé....
j'ai bénéficié du PTZ sur un achat neuf sur plan, en 2018, c'est franchement pas compliqué pour l'obtenir, déjà c'est largement pris en compte par les promoteurs, ils doivent vendre à 90% soit du pinel, soit du primo accédant. de mes souvenirs, à par fournir les documents, c'est la banque qui gère, vue que c'est pris en compte avec les autres crédits pour le lissage des mensualités. et pour y accéder, les critères sont quand même assez élevé, environ 37k max de revenue imposables, en n-2 pour une personne seule, je n'ai plus le barèmes en tête pour 2 personnes, mais c'est très accessibles.

Dans mon cas c'était en Zone A, je ne sais pas si ça joue sur les tranches, ou uniquement sur le montant accordé.
Citation :
Publié par Lrgn
j'ai bénéficié du PTZ sur un achat neuf sur plan, en 2018, c'est franchement pas compliqué pour l'obtenir, déjà c'est largement pris en compte par les promoteurs, ils doivent vendre à 90% soit du pinel, soit du primo accédant. de mes souvenirs, à par fournir les documents, c'est la banque qui gère, vue que c'est pris en compte avec les autres crédits pour le lissage des mensualités. et pour y accéder, les critères sont quand même assez élevé, environ 37k max de revenue imposables, en n-2 pour une personne seule, je n'ai plus le barèmes en tête pour 2 personnes, mais c'est très accessibles.

Dans mon cas c'était en Zone A, je ne sais pas si ça joue sur les tranches, ou uniquement sur le montant accordé.
Ca joue énormément sur les tranches. Après vu qu'ils comptent le N-2 ça va passer plus facilement mais quand on regarde le tableau (https://www.service-public.fr/partic...arent=F10871#2) c'est pas aussi simple que ça d'y avoir accès.

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Citation :
Publié par kadde
Bonjour à tous,

On souhaite acheter avec ma conjointe maintenant qu'on a fini nos études respectives et qu'on en a un peu marre de lâcher 800€ de loyer par mois pour un service vraiment moyen.
Actuellement on tourne autour de 4k2/mois au total ce qui nous fait un maximum d'emprunt autour de 1400€.
L'objectif c'était rester un peu en dessous et on pouvait emprunter facilement 300-320k avec des taux à 1.2% mais aujourd'hui on est plutôt sur du 220-230k j'ai l'impression.

J'ai vu que les conditions du PTZ c'était sur N-2 et comme elle était alternante, ses revenus n'étaient pas imposables.
Est-ce que certains d'entre vous ont déjà utilisé ce dispositif? Si oui c'est pas trop galère?
On a un premier RDV à la banque histoire d'avoir une première idée cette semaine mais j'ai l'impression que ce soit pas trop proposé....
Il y a quelques évolutions importantes sur le PTZ en 2024. Il n'est plus possible de l'utiliser pour une construction individuelle par contre les plafonds ont été augmentés et des tranches ont été ajoutées de sortes à ce que plus de monde peut en bénéficier. Tu trouveras facilement des infos sur internet la dessus. Vu comment c'est la jungle en ce moment les crédits, tu devrais prendre contact avec un courtier.
Merci pour vos retours!

Concernant le PTZ vu qu'on déclarait que mes revenus il y a deux ans, ça devrait pas poser de problème.
Pour le moment, on va avoir un premier échange avec notre banque histoire d'avoir déjà une première tendance mais je me tâte vraiment à passer par un courtier.
Dans tous les cas j'ai l'impression que ça va être une galère vu les prix et les taux
En plus des évolutions sur le PTZ, la fiscalité de la location va évoluer avec un gros changement apporté à la LMNP déclarée au réel. L'amortissement sera pris en compte dans la plus value générée en cas de revente du bien.

Le régime micro-bic va également évoluer puisqu'il passe d'un abattement de 50% à un :
- Abattement de 30% si vous louez meublé pour une courte durée avec 15 000 € maximums par an.
- Abattement de 40% pour un bien loué plus de 9 mois avec un seuil de 46 000 € pour le meublé. (taux aussi valable pour le vide que nous évoquerons après).
- Abattement de 60% pour les gites de tourisme 3 étoiles ou chambre d'hôtes.

Le site "corrige ton impôt" détaille bien les modifications qui vont probablement être validées par le Senat.
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