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Qu'est-ce que le handicap au quotidien ?
Mobilité, accessibilité des lieux (bâtiments, loisirs...), Mais aussi : suivi et orientation avec les Maisons Départementales des Personnes Handicapées (MDPH) ou les associations qui apportent une bonne assistance. Les logements dédiés ou aménagés après coup, L'adaptation du poste de travail, Les aides reçues... Vous avez peut être à témoigner de ce que vous avez observé. Attention toutefois : Pas de conseil médical ! Vous le savez déjà... Soyez prudents si vous relatez votre situation personnelle Les données de santé sont sensibles, et nous sommes sur Internet où nous ne savons pas qui les lit. Il est bon de rappeler que quelles que soient les apparences, les joliens ne sont pas vos amis. Sauf quelques-uns d'entre-eux dont vous êtes sûrs, mais JoL a des milliers de lecteurs... Notez que s'il l'advenait que l'un use d'un handicap que avez dévoilé ici dans un troll malveillant, ce ne sera pas un POGNAX qu'il prendra. Mais un BEIGNAX. Je remuerai la terre pour une sanction de plusieurs mois. Mais tout cela pour vous dire : gare à trop dévoiler de vous ! Soyez très circonspects. Dites plutôt que c'est un membre de votre famille, un ami, qui est affecté... c'est une question de sécurité, de confidentialité avec laquelle il faut réfléchir, sur Internet. Et je vous invite à bien y penser avant de rapporter votre situation personnelle. Donc, revenons au sujet, et vos observations. Voici, pour commencer, un étonnement de Des travaux d'Intérêt Général (TIG) pour les condamnés handicapés, que je résume ci-dessous : Condamnés TIG, ils écoulent leur peine dans le médico-social L'Association pour adultes et jeunes handicapés (Apajh), l'Agence du travail d'intérêt général et de l'insertion professionnelle (Atigip) et le Garde des Sceaux signent un accord pour faciliter la réinsertion professionnelle des détenus en situation de handicap, « surreprésentés dans la population carcérale », et « favoriser le développement du travail d'intérêt général (TIG) et des actions de prévention, de lutte contre la récidive et de sortie de délinquance ». Avec ce partenariat, les personnes condamnées pourront désormais être accueillies dans l'un des 700 établissements affiliés à la Fédération Apajh, auprès de personnes en situation de handicap intellectuel, psychique ou sensoriel. Non rémunérée, cette action de solidarité s'effectue dans une logique éducative. Les missions proposées sont variées, de la maçonnerie à la logistique, en passant par le médical ou l'enseignement. Au total, 74 métiers sont représentés. Leur présente rappelle aussi aux résidents de ces établissements que « le handicap n'empêche pas d'être condamné ». Gorius trouvait cette initiative déplacée, mais l'on pourrait lui opposer que ce qui ramène à une vie au plus proche d'un non porteur de handicap est bienvenu. Il y a matière à penser. |
31/07/2022, 07h26 |
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Caniveau Royal |
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