C'est marrant parce que je trouve cette saison beaucoup moins naze que les autres, on en revient beaucoup à de l'exploration et de la survie plutôt qu'un lieu, et une défense contre un méchant à moustache.
Là tu dénonces l'itération d'un schéma dans l'univers TWD à savoir (un point de chute à défendre contre le méchant du coin). C'est vrai que c'est relou à force, mais les phases exploration survie sont un schéma qui se répète aussi.
Là comme par hasard à quelques pas de la fin de saison voilà que super Rick et super Michone tombent sur une cache pleine à la fois d'armes et de bouffe (pourquoi se faire chier à rassembler tout ça au fil de l'aventure quand il suffit de tout trouver en même temps hein).
Ce qui me dérange c'est le couple Michone et Rick, je n'arrive pas à y croire à cette histoire d'amour ou de baise, je comprends qu'il fallait introduire une romance avant la mort de Glenn, mais tant qu'à faire, ils auraient du garder la femme du toubib et son gamin vivants.
J'ai toujours vu Michone bien plus jeune, même si je sais qu'elle était maman avant tout ça (peut-être à cause des comics)
qui la casent avec Ezekiel, c'est pire
et dans le regard des deux interprètes, je ne vois rien.
Quel gâchis d'avoir changé et éliminé le personnage de Andréa.
La biche c'est une chose, c'est sur j'ai tiqué mais ça dure quelques secondes et au pire ça fait sourire. On sait ce que ça coûte en budget le maquillage des zombis, même pour les figurants. Mais ce qui me saoule le plus c'est la redondance des décors extérieurs et ces parties de campagne incessantes qu'on se paye depuis la saison 2: Sérieux j'ai l'impression de regarder la petite maison dans la prairie chez les zombis, c'est toujours le même climat, toujours les mêmes arbres, toujours les mêmes voisinages. On était censés être pas loin de Washington DC il me semble avec Alexandria c'est pas ça ? En fait on est toujours en Georgie.
Au début d'une saison, je sais plus laquelle, peut-être la 4, ils nous avaient balancé un épisode presque sans paroles où on les voyait galérer dans la foret, sales et affamés. J'en ai la nostalgie.