Les jeux de votre enfance

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Ma chére soeur et moi avions des lits superposés , quand je ne la torturais pas, nous utilisions ces lits ( vade retro Joliens libidineux ) pour en faire des vaisseaux spatiaux , on jouait a Albator ( avec la face b du 45 tours en fond sonore ), nous dégommions allégrement sylvidres et autres créatures étranges ...

sinon, jouer au docteur cékoidonc?
Moi j'etait en apart et a l'époque (comme toujours d'ailleur ) j'étais grand fan de Dragon Ball Z (ouai le Z parce que les autres j'ai pas vraiment accroché ^^).Alors je devais avoir 7 ans et mon ptit frere lui 5 ans et demi et on se prennai pour les héros de DBZ (san goku et compagnie...)on se battaient a coup de kameha pendant des après midi ,mais après quand la mere rentré dans la chambre je vous laisse imaginez le désastre lol.
Donc voila la bonne époque quoi...
Citation :
Publié par Monsieur Gerlati
se planquer dans les rayons des peignoirs dans la grde surface derrière chez moi pour y bouffer tranquille des chips, canettes etc

dans ces mêmes rayons se coucher par terre et repérer les femmes en jupe qui regardaient les articles pour discrètement mater leurs dessous

fabriquer des sarbacanes avec des tuyaux en plastoc et de l'adhésif de toutes les couleurs et tirer sur les passants des petites boules blanches récoltées sur de généreux buissons

faire descendre un petit panier avec des messages aux potes qui habitaient aux étages en -dessous du mien, et accessoirement leur balancer de la flotte quand ils passaient la tête un peu trop ...


C'était magnifique.
Ah l'enfance maudite de monsieur Gerlati !
Une mère célibataire qui trime plus que de raison toute la journée, tant qu'elle voit à peine le soleil lorsqu'elle se lève, se couche, travaille dans les vapeurs de son usine de conserve.
Un père absent, inconnu, fuyant la paternité par peur de décomposer sa cour et son brushing pas si impeccable. Une légende, un monstre, un égoïste.. UN SALAUD hurle encore ta mère derrière ton dos.
Le petit Gerlati, livré à lui même toute la journée, fuyant l'école. Autodidactisme urbain, mais de petite urbanité. La banlieue. Les filles. Les maquereaux. On fait de la résistance et l'on chaparde pour manger ce que la mère n'apporte plus.
Le supermarché du coin devient le QG général, une matrice, nouveau noyau de l'éducation nationale. Ta nation "Auchan" ton hymne "La vie la vraie". C'est survivre en mangeant des barres encore surgelées de poisson pas nés dans la rayon "chic madame".
Alors à 12 ans on termine en maison de correction.
A 40, par habitude et faute de mieux, la prison : nourriture à l'oeil-draps bouillis- sexualité- cigarettes.
On termine sa vie en envoyant des messages d'une cellule à l'autre. Des petits ballots qui passent de fenêtres en fenêtres.

Ah monsieur Gerlati, en bonne mère de famille que je suis je vous le dit tout net !
Par ma barbe vous êtes un gredin et votre mère une incomprise.
je faisais des "missions" avec un de mes amis, genre on notait tout dans un petit carnet kickers rouge qu'on a préservé comme une relique, c'était des missions du genre toucher quelque chose sans etre vu par les parents etc... Que de nostalgie on réouvrant ce petit callepin avec tous ces vieux dessins et ces fautes d'orthographe...
Moi quand j'étais petit heu... je jouais à balancer des boulettes de terre chez la vieille d'en face. Je jouais aussi dans les cimetières, je jouais dans les maisons abandonnées. J'allais aussi voir des musées avec mes parents irl.
Tout un tas d'activités intéressantes. J'ai eu une ness, mais bon, j'y jouais pas tout le temps, je préférais le contact de la nature, je grimpais dans les arbres, j'essayais de voir des madames toute nues dans les piscine municipales. En clair, je savais m'amuser.

[édit] : ah ouais, je dévalais les escalier sur des coussins pour transat, seul où avec des potes.
J'étais Robin Hood, je me baladais prêt du Lila et je voulais toujours me faire un arc, qui ne fonctionnait pas d'ailleurs. Après nous avions des jeux assez sévère que nous testions avec ma grande soeur avant d'y envoyer la plus jeune. Imaginez deux crapules sauter en se retenant au lierre morts de rire puis imaginez toujours les même chenapans remonter en courant aller chercher leur petite soeur. Bien sur, elle était loin d'avoir les même informations que nous Nous jouions à la marelle, au jeu de l'oie grandeur nature, aux prospecteurs aussi. Cela devait nous arriver de jouer à la guerre et nous avions même un camp des prisonniers avec une possibilité d'évasion, mais jamais nous n'avions perçu la dureté de notre jeu ( aujourd'hui je comprends pourquoi nos mères étaient furieuse ) Des jeux il y en a eut des tas et même si je ne fut pas très explicite, je vous remercie d'avoir initié ce thread, il m'a rappelé mon enfance.

J'oublie de préciser que ces jeux firent de ma soeur une personne très endurante et dure au mal.


Un jeu qui me revient : LE MOTO SPEED !!!!!!! RIIIIBAAAAAAA

Ce jeu est très simple huhu : Un matelas ou un polochon avec quelques oreillers, trouvez un escalier composé de bois et vous rirez au éclat pendant des heures. Aie je besoin de préciser que le but du jeu est d'enfourcher sa MOTO SPEED pour dévaler à toute vitesse le dit escalier ... un peu de la luge mais en mieux ^^
Je me fabriquais des M-16 en bois et je jouais au soldat... J'ai arrêté le jour où la police m'a ramené chez moi car je faisais exploser des petits pétards, caché derrière le buisson dans le parc (les passant frôlaient la crise cardiaque olol)

Après j'ai passé par Doom, sur le vieux pc de mon père dans la cave (je me pissais dessus à chaque fois qu'il y avait un monstre brun, épineux et laid qui me balancait des fireballs! )
Je me rappelle avec mes amis on passait nos récréation à s'inventer des aventures. On se donnait plein de rôle différents et on inventait un monde puis il nous arrivait plein de truc, on se battait contre des méchants etc...
C'était bien.
Au docteur
..


Ok. Ca c'est fait : je coche.

Sinon, on s'inventait souvent des aventures en maternelles , a se prendre pour indiana jones ( quoi que a c'tépoque ? ) ou a Mickey dans Mickey's Adventures
Ensuite Primaire c'etait le trip Boys Band avec les coupaings a écrire des chansons .. qui avec le recul sont vraiment ridicules mais qui a l"époque nous suffisait amplement
Puis apres pas grand chose: entrée au college on perd la magie de la jeunesse et on fait de la merde : on marche comme des paumés autour de la cours de récré en parlant parrait que ca fait "in".
Et le Lycée on reprend les délires Mais on s'écarte du sujet.
Mais jamais eu cette période " deux pierres , un bout de bois " dont me parlaient ( d'ailleurs ils me bassinent tjs ) mes parents.

moi je jouai a dragon ball ou je faisai du vélo , foot avec des potes ou on inventai des truc trop dément un fois on a trouvé un ptit cuistax comme ca on la attaché avec une corde a un vélo qui nous tirait super vite et on faisai des méga dérapage mais une fois je me suis retourné et j'ai fait un tonneau lol ct excellent ou sinon le plus souvent c t cache cache paske j'habite derrière une école donc on squattai souvent le week-end puis y'a eu les flingues a billes ca c t moins marrant ca faisai trop mal puis j'ai joué au ping pong paske y'avai une table dans l'école voila koi
Citation :
Publié par Itne
Je me rappelle avec mes amis on passait nos récréation à s'inventer des aventures. On se donnait plein de rôle différents et on inventait un monde puis il nous arrivait plein de truc, on se battait contre des méchants etc...
C'était bien.
Ouais comme tout le monde hein, ça a rien d'original ce genre de truc à la con Bordel de bite.




Mais c'est vrai que c'était bien.
Moi je jouais aussi au docteur.

D'ailleurs je trouve que ce serait drôle de retrouver d'anciennes joueuses, pour une partie x années après, ou juste discuter, si intéressées m'envoyer un mp.
Avec mes cousines, nous allions dans la forêt près de là où ma grand mère habitait. Y'avait un endroit un peu en pente avec un ruisseau en bas, et les arbres étaient plus parsemés tout en conservant un agréable plafond de feuillage. On avait alors entrepris d'y faire un petit village avec 4 ou 5 huttes, mais finalement on n'en a fait qu'une

Des fois on jouait au tir à l'arc aussi. L'un des jeux avec ça était de tirer en l'air pile au dessus de soi, le plus haut possible, et de pas bouger quand la flèche retombait. Avec une chance non négligeable de s'auto-oneshot, ça roxxait les jeux de la jeunesse : )
Je jouais au proctologue, un jeu bien moins connu que celui du docteur mais tout aussi amusant, fun et bigarré.
Citation :
Publié par Xievsarg
Moi je jouais aussi au docteur.

D'ailleurs je trouve que ce serait drôle de retrouver d'anciennes joueuses, pour une partie x années après, ou juste discuter, si intéressées m'envoyer un mp.

Je passe outre la blague salace, et je me dis que décidément je regrette de ne pas avoir joué au docteur étant gosse. J'ai eu une vie sexuelle enfantine terriblement pauvre
Citation :
Publié par Lerrant
Je passe outre la blague salace, et je me dis que décidément je regrette de ne pas avoir joué au docteur étant gosse. J'ai eu une vie sexuelle enfantine terriblement pauvre
ce fut pareil pour moi et ce n'est pas forcément un regret.
Et puis c'est une blague comme une autre:]
Avant mes 7 ans (ça date ) nous vivions dans la ferme de mon grand-père et là je dois dire que je jouais qu'avec des jeux de garçons, "au cow-boys et aux indiens" ou aux "gendarmes et aux voleurs" on se faisait des cabanes.

Il y avait une place folle pour jouer, se cacher, j'étais la seule fille, les enfants des ouvriers agricoles étaient tous des garçons... On m'achetait je jolies poupons, j'avais un magnifique landau des tonnes de dînette, mais je n'ai jamais joué avec...

Mon bonheur était me cacher dans les bottes de paille à brandir une épée de fortune, un arc fait maison et à lutter contre mes ennemis, on s'amusait comme des fous.

Je regrette ce temps là.

Ensuite nous avons migrer vers la ville avec mes parents, mon père ne voulant pas prendre la succession de son père, ça là que j'ai découvert les jeux de société, mon premier "le monopoly" j'en ai fait des centaines de parties.

Je suis devenue une petite fille sage, adios la sauvageonne !
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