La responsable des ressources humaines nous a accueilli sous le motif d'expliquer puis d'échanger sur ce qui m'était reproché, à savoir :
- avoir échoué à un entretien client, en ayant pas suivi le briefing et le coaching du commercial qui m'accompagnait, quelques jours auparavant,
- et bien qu'alors l'on ait bien voulu me soumettre deux appels d'offres de missions supplémentaires (en région toutes les deux), je les ai indûment refusées.
Mais nous avons vite observé, le conseiller et moi, qu'il ne serait nullement question d'une simple sanction, qu'un échange n'était pas nécessaire et serait factice : un licenciement prendrait place.
D'autant que lorsqu'il a demandé si je devrais exécuter mon préavis [impliquant qu'il y en aurait], la RH a répondu : " S'il y en a". Réservant la position de l'entreprise à un courrier qui me sera expédié dans les 48 heures à un mois.
...Je pense plutôt 48 heures, ce qui fait Vendredi, Samedi →dans ma boite aux lettres Lundi ou Mardi...
Comme je suis autorisé à rester à mon domicile le temps de recevoir cette lettre, je présage que ce soit un licenciement disciplinaire (sans préavis ni indemnité).
Notez qu'autre-chose serait étonnant : pourquoi iraient-ils proposer une rupture conventionnelle à zéro euro d'indemnités supra-légales et un délai réduit aux cinq semaines incluant l'envoi, l'homologation, etc.
si c'était, en cas de refus, pour y substituer un licenciement pour insuffisance professionnelle ou autre, avec des indemnités et un préavis à payer ?
Je peux toujours avoir une bonne surprise Lundi... Mais à mon avis, Non.
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