C'est un peu un débat sans fin votre truc. Déjà à l'époque du 1 il y avait eu une discussion du type :
"Ahouah il me fait trop peur Dead Space.
-Lol pas moi. Autant dans [insérez votre survival préféré ici] je flippait, autant dans DS je stresse même pas."
Bref, on réagit pas tous aux mêmes trucs quand il est question de malsain ou de peur.
Oué enfin en l'occurence comparer ds1 et 2 reste pertinent.
Je veux dire parler de jeu d'action pour ds2 c'est un peu fort.
Niveau jouabilité
Comme dans le 1:
tu es obligé de viser, pas de tir à la volée en autolock
tu peux pas courir et tirer en même temps
tu peux pas vraiment strafe en diagonale
la vue est très rapprochée de ton perso, t'obligeant à te bloquer dans un coin si tu veux pas être submergé par tous les côtés
Bref le perso reste quand même lourd à gérer, ce qui accentue le fait que ce n'est pas à proprement parler un jeu de bourrinage, en tout cas si on le compare au premier. Pour moi le gameplay est identique.
Niveau ambiance :
Ben euh.. comme dans le 1. Des couloirs avec des bruits, des grandes salles où tu sais déjà en y entrant que tu vas en chier, des cadavres partout, des "restes" de la vie avant l'outbreak, des necros qui sortent du plafond, des objets qui sont percutés par on ne sait qui etc..
Jdirais même que vu la varieté des décors qui composent DS2 on est dans quelque chose de bien plus fouillé. Et surtout on est toujours seul face aux monstres.
Bande son : c'est la même, toujours pas de hard rock pendant les séquences de combat.
Bref la seule grande différence ce sont les séquences épiques qu'on avait pas dans le 1, à savoir le train pour n'en citer qu'une.
Le dernier niveau du jeu est clairement orienté action mais si vous vous souvenez bien, dans la colonie sur Aegis 7 au dernier chapitre de DS1 on a du tuer plus de monstres que dans celui de DS2.
Alors bon chacun pourra dire que aucun des 2 ne fait flipper mais personnellement je suis assez persuadé que ce deuxième volet n'est pas du tout orienté gears of wars mais bien dead space 2.0 : du flippe, du stress, de l'oppression, avec quelques passages d'action qui viennent pimenter le tout.