Le Royaume-Uni se déclare toujours optimiste sur les négociations avec l'Union Européenne mais a averti que les pourparlers pourraient échouer en Juin à moins que Bruxelles n'abandonne ses demandes sur les zones de pêche communes et le level playing field. Boris Johnson sera appelé à prendre un rôle plus actif pour débloquer les négociations si à l'approche de Juin elles semblent toujours difficiles. Michael Gove, optimiste, dit les chances un accord avec l'Union Européenne avant la fin de l'année "définitivement supérieures à 2 contre 1".
Cependant, un second diplomate de l'Union Européenne explique : "Si le numéro 10 ne change pas son approche des négociations, nous allons vraisemblablement vers un scénario de no-deal.". L'on se demande si, comme le pense Michel Barnier, le Royaume-Uni ne joue pas la montre. Or, la France, l'Irlande, la Belgique et les Pays-Bas, états côtiers, ne veulent rien céder sur les droits de pêche.
Angela Merkel déclare qu'il ne sera pas possible d'obtenir un accord avant la fin de l'année et qu'une extension est indispensable.
|