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Repenser la société, fin du travail et évolution de l'humanité
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22/08/2016, 17h29 |
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En mode MadMax non (quoi que pour la violence l'humain en est capable), mais wé, je vois bien une grosse galère venir.
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22/08/2016, 17h32 |
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Citation :
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22/08/2016, 21h15 |
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CharlesMauriceKaleos |
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Et allez, un petit pavé dans la mare des modèles sociaux des économies développées avec cette étude de McKinsey sur l'évolution des inégalités et la fin de la tendance des nouvelles générations à avoir accès à plus de richesse que celles de leurs parents.
Egalement, une analyse du cas Français par rapport à cette étude, et un jugement très sévère sur le modèle social Français, adapté à des trajectoires de progression organiques longues, et pas à des phases de crise brutales comme on en connait depuis une dizaine d'années. Enfin une démonstration chiffrée de la sensation de stagnation et de déclassement ressenti par certains. De là à dire qu'on a sous le nez une des deux causes de la montée des populismes, il n'y a qu'un pas. |
24/08/2016, 12h55 |
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CharlesMauriceKaleos |
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Par rapport au livre de on sait qui, dont le retentissement aux USA a été conséquent, il y a quelque chose de plus profond dans ces études ?
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24/08/2016, 16h13 |
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CharlesMauriceKaleos |
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24/08/2016, 16h48 |
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CharlesMauriceKaleos |
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Citation :
Personnellement je trouve aucune des deux voies satisfaisantes, mais les modèles plus libéraux ont l'avantage de voir la société rebondir plus vite. Du coup je me demande s'il n'y a pas un moyen pour profiter d'effets comparables sans passer par une désagrégation des conditions de vie de ceux qui se font attraper par la crise (ou l'automatisation qui a des effets comparables). En reformant les gens dont les compétences ne suffisent pas ou plus, en développant l'auto entrepreneuriat, en faisant une meilleure promotion des dispositifs de reprise d'entreprise par les salariés... Il y a plein de leviers sur lesquels on pourrait jouer, mais en attendant si notre filet social empêche clairement de tomber trop bas, il empêtre aussi violemment ceux qui s'y retrouvent. Enfin sur le vote populiste, une bonne part des arguments économiques tiennent dans le duo "délocalisations / étrangers qui volent le boulot" ... Donc une conséquence directe de la perte de pouvoir d'achat ou d'emploi des populations fragilisées. |
25/08/2016, 09h27 |
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CharlesMauriceKaleos |
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25/08/2016, 09h49 |
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Citation :
Répartir le chômage pour que chacun puisse travailler librement, ça implique nécessairement de faire baisser considérablement la durée du travail. Or, on va exactement vers le contraire, avec la remise en cause des 35 h. La raison est simple : nous sommes enfermés dans une logique de libre-échange où les salariés sont mis en concurrence tandis que le (grand) patronat et les (gros) actionnaires coopèrent. L'économie mondiale est truquée. Du coup, dans la grande guerre contre Océania, les salariés ne travaillent jamais assez, sont toujours trop payés, trop couverts et pas assez flexibles. Tandis que les hauts dirigeants sont toujours trop taxés, pas assez payés et que les actionnaires ne reçoivent jamais assez de dividendes. Aucune chance qu'on répartisse le chômage dans ces conditions, car de l'inégalité de sa répartition dépend la soumission des classes moyennes à la caste dirigeante. |
25/08/2016, 13h16 |
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