Faut que je raconte une tranche de vie pour que vous me lynchiez, d'ailleurs j'ai hésité en poster une hier car en la relisant je la trouvais pas si drôle. mais autant que ça ne traîne pas sur mon bureau :
"J'ai un collègue de travail qui viens de se lever pour s'approcher doucement de mon bureau, saisir délicatement le paquet de Granolas - qui sont, soit dit en passant, le seul canot de sauvetage entre l'humain et la bête, le seul petit plaisir du travailleurs honnête lorsqu'il exerce dans cette chaleur étouffante - donc il saisit mon paquet je disait, et se met à frénétiquement le frapper contre la table comme s'il était pris d'une crise d'épilepsie ! En plus il le tiens à hauteur de table, juste au niveau de sa bite, comme s'il achevait une levrette imaginaire. Comble de l'horreur il imite en même temps des cris de jouissance absolument ignobles.
J'ai a peine le temps de lui retirer des mains avec un regard ahuri qu'il éclate de rire pour partir reprendre sa place. Je lui ai copieusement balancé à la gueule insultes ainsi que le reste de ma bouteille d'eau, mais ça ne me suffit pas, je réclame vengeance pour la perte aussi violente de mon innocence. "
Avant de partir il est venu déposer un morceau de concombre sur ma table. C'est peut-être une sorte d'offrande pour m'apaiser ?
Il voulait te tester et ça a bien marché. Maintenant tout le monde sait que tu es une petite catin qu'on peut prendre sans avoir peur des retombés. Tu vas subir raillerie et humiliation jusqu'à la fin, les jeunes pas trop sur d'eux s’entraîneront sur toi tandis que les aguerris t’ignoreront tel un lion ignorant une proie malade tellement ils sont au dessus de toi.
Il voulait te tester et tu as loupé le coche, mais il te reste une solution : demain matin tu choisis le plus grand et le plus fort de tes collègues, le type qui est systématiquement au centre du groupe à la pause, celui qui donne le top à midi pour aller manger, celui qui se sert dans les croissants hebdomadaires le premier. Et bien ce mec là, tu le fumes. T'arrives sans prévenir, tu prends son clavier et tu l'écrases sur lui jusqu'à ce qu'il ne reste plus que de la bouillis sur sa chaise. Sans dire un mot. Et tu retournes t’asseoir.
Il y a une variante aussi qui consiste à culbuter publiquement la plus bonne de tes collègues.
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