En tout cas, une grosse veine trop saillante sur une bite, tout ce que je peux en déduire c'est que personnellement j'irai pas y voir de plus près, je trouve ça moche.
Mais du coup je peux lire l'avenir immédiat : "je vois... Je vois... Que pour une fellation tu repasseras."
Que tu ne trouves cela pas beau, je peux le comprendre. Que tu refuses de sucer, je ne le crois pas.
Imagine. Tu es déprimée après la terrible séparation que tu viens de subir, d'autant plus que la juge aux affaires familiales a confié la garde des monstroplantes au père lorsqu'elle a appris que tu jouais à Dofus. Tu as donc décidé d'aller noyer ton chagrin à coups de demi-pêche dans ton bar favori. Habituée des lieux, tu vas t’asseoir machinalement au comptoir. Tu ne l'as pas encore aperçu, mais lui, là-bas dans le fond, t'as vu. Il vient s'installer à côté de toi: il est brun aux yeux verts, plutôt musclé mais pas trop. Sur sa tête, passe un air timide, mais pas maladroit, voire même conquérant. Ce n'est pas un habitué de la drague mais cette fois-ci il s'est lancé, tu l'as vraiment fait craqué. Vous engagez la conversation et vous découvrez des tas de points communs: il adore les enfants, le macramé et la randonue...
Il est drôle sans être lourd, ne se prend pas la tête, est à ton écoute sans pour autant te laisser faire la conversation... Tu n'as pas vu le temps passer et le bar ferme déjà! Tu as peur de rentrer seule chez toi, pas tellement à cause d'une éventuelle agression, mais parce que tu ne veux pas affronter la solitude dans cette grande maison désormais froide, où tant de rires ont éclaté, où résonnent encore les cris d'enfants. Il te propose de te ramener, tu dis oui.
Une fois arrivé, tout s'enchaine très vite. L'homme sait s'y prendre, ta libido atteint son climax. A genoux, tu déboutonnes son jeans fiévreusement, lui enlèves son boxer et tombe... sur une pine avec UNE ÉNORME VEINE GORGÉE DE SANG.
Qu'est-ce que tu fais?
Ou encore. Tu te réveilles, une odeur de nettoyant industriel te prend aux narines. Assoupissement sans repos après de longues heures de veille; tu es à l’hôpital, au chevet de ton mari adoré en phase terminale d'un cancer généralisé. C'est la fin, et il le sait. Rassemblant ses dernières forces, il te demande de t'approcher et murmure: "Chérie, la vie à tes côtés à été merveilleuse... Sur tous les plans... Je n'ai jamais eu à me plaindre de rien, tu es drôle, attentionnée, une maitresse de maison fantastique et... une amante torride. Mais je n'ai jamais compris pourquoi tu ne m'as jamais heu... Enfin, comment te dire... J'aimerai que tu me fasses une petite pipe avant le grand départ". Toi, tu sais très bien pourquoi tu ne l'as jamais fait: il a une ENORME VEINE QUI SE GORGE DE SANG sur la bite.
Que fais tu?
N.B: j'ai écrit ça, mais n'en déduisez pas que j'ai une veine apparente sur la bite.