[Présidentielles 2012] La campagne de Nicolas Sarkozy

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Euh, petite question aux sous marins, j'ai du le rater, mais, en quoi supprimer les parachutes dorés est impossible à cause de la crise, par exemple ?
Citation :
Je suis pas concerné, mais je me doute que c'est un confort de vie utile.

Elles ont été mises en place d'une telle façon qu'elles ont aussi causé beaucoup de torts aux employés (gel des salaires qui aurait probablement eu lieu autrement de toutes façon, augmentation de la charge de travail horaire quand tu as des dossiers à boucler que tu ne peux pas "partager", clivage entre eux concernés par les 35h et les autres).
En règle générale, ceux que j'entends le plus souvent se plaindre des 35h c'est pas les employés non cadres. Faite une généralité de la vision du cadre pas concerné (et encore) c'est parler de l'extérieur sans t'être penché sur le probleme.
Reste ensuite le probleme du temps partiel, mais que l'horaire soit a 40 ou 35h le temps partiel a toujours posé des soucis.
Citation :
Publié par MiKa
Euh, petite question aux sous marins, j'ai du le rater, mais, en quoi supprimer les parachutes dorés est impossible à cause de la crise, par exemple ?
Je n'arrive pas à retrouver l'étude postée sur twitter par @Bank_able (twitteuse spé finance), mais en gros le contenu était :

Les salaires des patrons en France sont les 2e plus élevés au monde, après les USA.

Conclusion logique, l'épouvantail de la délocalisation si on touche aux salaires des patrons est du vent, puisqu'ils seraient quand même moins payés en Angleterre ou en Allemagne.
Citation :
Publié par Lango
L'UMP a eu le pouvoir pendant 10 ans depuis la mise en place des 35h, a accusé cette mesure de tous les maux… mais n’a rien fait pour la supprimer.
Peut-être qu’au final elle n'était pas si mauvaise que ça…
bien ouais , pas mauvaise pour qui ?

Elle a diminué le pouvoir d'achat des francais , augmenté les cadences de production et reduit les effectifs par de l'emploi précaire !

tu comprend maintenant pourquoi ils ne l'ont pas retiré !
Citation :
Publié par Von
Je n'arrive pas à retrouver l'étude postée sur twitter par @Bank_able (twitteuse spé finance), mais en gros le contenu était :

Les salaires des patrons en France sont les 2e plus élevés au monde, après les USA.

Conclusion logique, l'épouvantail de la délocalisation si on touche aux salaires des patrons est du vent, puisqu'ils seraient quand même moins payés en Angleterre ou en Allemagne.
Sans compter que faire croire que les patrons sont irremplaçables est une vaste blague. Les écoles de commerce, et plus encore la promotion interne aux grands groupes, peuvent fournir chaque année des centaines de grands patrons (l'artisan boulanger n'a pas de parachutes dorés) sans aucun problème. La seule chose qui justifie les rémunérations délirantes, c'est qu'ils se les votent les uns et les autres par le biais de participations croisées. C'est un système de verrouillage politique des grandes entreprises françaises par une clique issue du réseau des grandes écoles, et en aucun cas le résultat de l'offre et de la demande.
Au passage, j'en reviens au fil sur la société de défiance, c'est à cause de ce système pourris que tant de nos grands patrons sont parachutés aux commandes des entreprises depuis les cabinets ministériels au lieu d'être promus en interne après avoir gravis les échelons de la boîte, avec des conséquences catastrophiques : manque de loyauté envers l'entreprise et ses salariés (d'où nombre de délocalisations foireuses), manque de connaissance de l'entreprise et de son secteur, vision purement financière et absence de projet industriel. Les Allemands préfèrent recruter en interne, on voit quels sont les plus performants en part de marché...
En France, la valeur ajoutée des grands patrons, c'est leur carnet d'adresse. Ils ont fait les mêmes écoles que les politiciens et les haut fonctionnaires. Le problème, c'est qu'une fois à l'étranger, ils ne connaissent plus grand monde.
Citation :
Publié par yanomamii
Pourquoi vous voulez absolument voir la fin des 35 heures? Moi ça me plait bien les 35 heures, mes collègues aussi, ma famille, mes potes. Y'a vraiment des mecs qui travaillent et qui n'aiment pas les 35 heures?
Je ne suis absolument pas pour la suppression des 35h et d’ailleurs une modification des 35 heures, reviendrai à modifier les contrats de travailles, je doute sincèrement que sa puisse se faire comme ça, a moin d'avoir un réel impact sur les salaires...tout est lié et sa à l'air très compliqué.
Citation :
Publié par Quild
Ben je sais pas, la retraite à 60 ans par exemple. C'est un acquis social, mais clairement le genre de trucs qui doit être ré-étudié au vu de l'évolution de l'espérance de vie.
Je le vois autrement, pour moi on doit travailler une certaine partie de sa vie, (dans le systeme actuel), donc oui, si on vit plus longtemps, cette partie doit s'allonger en conséquence.
Mais il y a un juste milieu a avoir, ne pas l'augmenter de 5 ans si la durée de vie a aug de 5 ans aussi, c'est insensé, pour moi, si la durée de vie augmente de 5 ans, la durée de travail doit augmenter de 2 ans, pas plus.
Citation :
Publié par ½ Lyfe
Je le vois autrement, pour moi on doit travailler une certaine partie de sa vie, (dans le systeme actuel), donc oui, si on vit plus longtemps, cette partie doit s'allonger en conséquence.
Mais il y a un juste milieu a avoir, ne pas l'augmenter de 5 ans si la durée de vie a aug de 5 ans aussi, c'est insensé, pour moi, si la durée de vie augmente de 5 ans, la durée de travail doit augmenter de 2 ans, pas plus.
Sans oublier que la "durée de vie", c'est une espérance de vie à la naissance. Cette espérance augmente bien sûr durant ta vie, mais beaucoup moins que celle à la naissance. Il faut également tenir compte de l'espérance de vie en bonne santé, qui n'augmente que de très peu et qui est - selon moi - bien plus raisonnable à suivre en matière de travail : ça sert à rien de faire travailler 2 ans de plus quelqu'un qui n'a gagné que 5 mois d'espérance de vie en bonne santé depuis sa naissance.
Citation :
Publié par Mathéo
bien ouais , pas mauvaise pour qui ?

Elle a diminué le pouvoir d'achat des francais , augmenté les cadences de production et reduit les effectifs par de l'emploi précaire !

tu comprend maintenant pourquoi ils ne l'ont pas retiré !
Le pouvoir d’achat des Français a diminué parce que le rapport de force s’est déséquilibré en faveur des employeurs, au fur et à mesure que le chômage monte et que la concurrence entre salariés se renforce.

Les employeurs ont utilisé l’excuse du passage au 35 heures, mais s’il n’y avait pas eu cette loi ils auraient trouvé autre chose.

Pour ce qui est de la remise en cause de la retraite à 60 ans, c’est juste stupide. Faire travailler les gens plus longtemps, ça veut juste dire qu’au lieu de payer des retraites on va payer des chômeurs.
Un chômeur consomme moins qu’un retraité, donc économiquement c’est stupide.
Citation :
Publié par Zourga
Sans oublier que la "durée de vie", c'est une espérance de vie à la naissance. Cette espérance augmente bien sûr durant ta vie, mais beaucoup moins que celle à la naissance. Il faut également tenir compte de l'espérance de vie en bonne santé, qui n'augmente que de très peu et qui est - selon moi - bien plus raisonnable à suivre en matière de travail : ça sert à rien de faire travailler 2 ans de plus quelqu'un qui n'a gagné que 5 mois d'espérance de vie en bonne santé depuis sa naissance.
Bien sur, je donnais ces chiffres en exemples.
La realité demande un peu plus que ca.
Citation :
Publié par ½ Lyfe
Je le vois autrement, pour moi on doit travailler une certaine partie de sa vie, (dans le systeme actuel), donc oui, si on vit plus longtemps, cette partie doit s'allonger en conséquence.
Mais il y a un juste milieu a avoir, ne pas l'augmenter de 5 ans si la durée de vie a aug de 5 ans aussi, c'est insensé, pour moi, si la durée de vie augmente de 5 ans, la durée de travail doit augmenter de 2 ans, pas plus.
Sauf que le passage de la retraite de 65 ans à 60 ans ne repose sur aucune logique. La situation économique était bonne, mais la démographie permettait déjà de savoir que le système de retraites n'était pas pertinent. De plus, la croissance en France a chuté pendant les mandats de Mitterrand (je dis pas que c'est sa faute ).

Quand tu travailles 40 ans, jusqu'à 60 ans, avec une espérance de vie inférieure à 80 ans, tu cotises 40 ans pour en profiter 20. Et toi tu me dis que quand l'espérance de vie augmente de 5 ans, il faut cotiser que deux ans de plus quand en parallèle la démographie fait chuter le rapports actifs/retraités.

@Zourga : Une fois que tu as passé les grosses phases de mortalité que sont 0-2 ans, 18-30 ans (pour les hommes surtout) et 50-60 ans (toujours pour les hommes mais de plus en plus pour les femmes également :x), ton espérance de vie a bien + évolué que celle à la naissance.

edit :
Citation :
Publié par Andromalius
En règle générale, ceux que j'entends le plus souvent se plaindre des 35h c'est pas les employés non cadres. Faite une généralité de la vision du cadre pas concerné (et encore) c'est parler de l'extérieur sans t'être penché sur le probleme.
Reste ensuite le probleme du temps partiel, mais que l'horaire soit a 40 ou 35h le temps partiel a toujours posé des soucis.
Donc ceux qui s'en plaignent le + sont les concernés ? Donc quand moi pas concerné je dis qu'elles font beaucoup de mal mais que je comprends leur intérêt pour les concernés (par opposition à simplement dire que ce sont des feignasses), tu viens me dire que non, même pour eux c'est pas bien et que j'ai tort alors que ça renforce ma position ? Etrange.
C'est quoi le problème du temps partiel. J'ai un paquet de collègues en temps partiel dans mon service, à 80% sauf une à 90%, elles en sont très contentes. Personne ne les y force.

@Shadowsword8 : Certains disent qu'il n'y a pas de limites à l'âge humain une fois qu'on sait combattre les symptômes de la vieillesse. Mais avec les technologies actuelles, la limite du corps humain est de 113 ans, à de rares exceptions près. Depuis 80 ans, cet âge maximum n'a pas bougé. Nous n'avons que 7 cas vérifiés dans le monde de personnes ayant dépassé les 115 ans, dont 5 au siècle précédent. On peut quand même supputer que cette limite sera explosée au cours de ce siècle.

Dernière modification par Quild ; 28/02/2012 à 14h31.
Il me semble de toutes façons que le rythme auquel l'espérance de vie s'allonge est en net ralentissement. Les campagnes anti-tabac, de prévention des accidents routiers, de sécurisation/disparition de certains métiers (on a plus de mineurs dans les mines de charbon, par exemple) ont porté leur fruits, mais ces facteurs se sont plus ou moins stabilisés, et le corps humain lui-même a des limites.
Citation :
Publié par Quild
Sauf que le passage de la retraite de 65 ans à 60 ans ne repose sur aucune logique. La situation économique était bonne, mais la démographie permettait déjà de savoir que le système de retraites n'était pas pertinent. De plus, la croissance en France a chuté pendant les mandats de Mitterrand (je dis pas que c'est sa faute ).

Quand tu travailles 40 ans, jusqu'à 60 ans, avec une espérance de vie inférieure à 80 ans, tu cotises 40 ans pour en profiter 20. Et toi tu me dis que quand l'espérance de vie augmente de 5 ans, il faut cotiser que deux ans de plus quand en parallèle la démographie fait chuter le rapports actifs/retraités.
Je pense que c'est normal que plus le temps avance, moins on doit travailler, l'humanité avance, elle ne recule jamais (ou alors super rarement, et pas a moitié), donc avant on devait bosser comme des esclaves, maintenant on doit laisser parler les machines.
C'est une idée generale, il faut l'adapter, je te le dis, j'ai mis des chiffres au pif, c'est un ordre d'idée.
Citation :
Publié par ½ Lyfe
Je pense que c'est normal que plus le temps avance, moins on doit travailler, l'humanité avance, elle ne recule jamais (ou alors super rarement, et pas a moitié), donc avant on devait bosser comme des esclaves, maintenant on doit laisser parler les machines.
C'est une idée generale, il faut l'adapter, je te le dis, j'ai mis des chiffres au pif, c'est un ordre d'idée.
C'est également un facteur à prendre en compte oui, l'explosion de la productivité rend nos besoins plus facilement satisfaits. Ce qui soulève un truc intéressant, on a un réel problème d'équilibre entre le coût de production, la rémunération du travail et le coût des choses. La faute en étant aux marges récupérées par des facteurs non producteurs :x.

On en revient toujours au même, il faut traiter un problème à sa source. Je ne suis pas contre le principe des actionnaires qui sont souvent une aubaine pour l'entreprise, mais le profit immédiat est une vraie plaie, et la rémunération des actionnaires devrait être encadrée.

(N'empêche que ça m'avait fait rire Nicolas Sarkozy qui dans un "parole aux français" ou whatever avait sorti que ce n'était pas normal qu'une voiture coûte 100€ de moins à fabriquer en Chine. A ce prix, même s'il comprend le transport engendré par la délocalisation, celle-ci est inutile et négligeable par rapport à ce qui est négocié à l'achat. C'était sans doute une coquille :/)
Travailler plus longtemps c'est cool, mais au delà de la pénibilité, il suffit de voir le taux de chômage des plus de 55 ans ...
Sous De Villepin, il y a eu de nombreuses aides pour l'embauche des séniors mais même avec ça, il y a eu très peu d'emploi créé.

Derrière les chômeurs de plus de 55 ans, se sont retrouvés concrètement en fin de droits puis au RSA avant d'attendre leurs droits à la retraite. Le coût social a donc été déporté de l'Etat vers les collectivités territoriales, en effet ce sont les Conseils Généraux qui gèrent le RSA.

Il ne faut pas oublier aussi que l'on rentre plus tard dans le monde professionnel aujourd'hui et qu'il est donc plus difficile de cumuler tous les trimestres nécessaires. Donc mécaniquement, la pension de retraite sera inférieure.

Après c'est pas la faute aux 35h si les cadres se font copieusement enfler avec le forfait jour, exception française ?

Et la grande distribution, hôtellerie, tourisme et restauration sont les spécialistes des emplois à temps partiels ou saisonnier, donc 35h ou pas ...
Citation :
Publié par JorianMenelrana
Derrière les chômeurs de plus de 55 ans, se sont retrouvés concrètement en fin de droits puis au RSA avant d'attendre leurs droits à la retraite. Le coût social a donc été déporté de l'Etat vers les collectivités territoriales, en effet ce sont les Conseils Généraux qui gèrent le RSA.
Je rebondis juste sur ce point pour signaler que le coût en finances publiques du RSA n'est pas du tout supporté par les conseils généraux.

Le RSA est intégralement financer par une taxe RSA créée en 2008 qui frappe au taux de 1% :
- Les plus-values et les distributions obtenues sur les assurances-vie.
- Les plus-values et les distributions obtenues sur les actions.
- Les revenus fonciers.
http://tempsreel.nouvelobs.com/socia...-taxe-rsa.html

La taxe RSA est intégralement reversée dans un fonds dit "RSA" qui fait plus que couvrir les besoins de RSA.
http://archives.lesechos.fr/archives...945-19-ECH.htm
Le fonds a dégagé en 2010 un excédent budgétaire de près d'un milliard d'euros.

L'excédent budgétaire est presque exclusivement du à la faible croissance du nombre de personnes entrant dans le dispositif RSA.
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Dernière modification par Silgar ; 28/02/2012 à 19h55.
Je me suis mal exprimé, les fonds associés sont transférés avec la compétence, mais pas sa gestion, mais cela devient de fait, une dépense des collectivités mais ni des caisses de retraite, ni des caisses de l'assurance chômage.
Citation :
Publié par Colsk
Renseignes toi un peu, tu parles du RSA activités pas du RSA dans sa globalité...

Franchement...
Le "RSA socle", ou plus exactement le Revenu Minimum Garanti (j'imagine que c'est de cela dont tu parles), correspond à l'ancien RMI... C'est normal que je n'en parle pas, ce n'est pas le sujet : les départements le finance et le gère (au travers de la CAF) comme avant.

Dernière modification par Silgar ; 28/02/2012 à 20h38.
Citation :
Publié par Borh
En France, la valeur ajoutée des grands patrons, c'est leur carnet d'adresse.
Vu qu'ils ont tous le même je vois pas trop l'interet. Sachant qu'accessoirement, tu mets Roger Duschmoll PDG de total il se le fait en 3 semaines son carnet d'adresses.
C'est comme pour d'autres domaines, tu as quelques capitaines d'industrie self-made men (qui ont par ailleurs souvent fraudé à mort pour y arriver, hein Mr Tapie) et le reste c'est du sérail ENA/grandes écoles dont on sait qui y entre et qui n'y entre pas. Les grandes écoles ne font pas une sélection, celle-ci a été faite bieeeeen en amont, elles ne font que la constater.
Citation :
Publié par Andromalius
Vu qu'ils ont tous le même je vois pas trop l'interet. Sachant qu'accessoirement, tu mets Roger Duschmoll PDG de total il se le fait en 3 semaines son carnet d'adresses.
Le PDG d'Air Liquide a été ingénieur dans la boite pendant 15 ans, puis cadre dirigeant pendant 12 ans, puis seulement PDG.
Jean-Marie Messier avait été rien du tout à la générale des Eaux, mais avait accumulé un gros carnet d'adresse chez Balladur puis chez Lazard, avant d'être bombardé DG de la CGE puis PDG deux ans plus tard.
Je vous laisse deviner lequel est énarque et inspecteur des finances...(indice : l'ENA ne forme pas d'ingénieurs).
Citation :
Publié par Aloïsius
Je vous laisse deviner lequel est énarque et inspecteur des finances...(indice : l'ENA ne forme pas d'ingénieurs).
Lorsque l'on regarde la liste des anciens inspecteurs généraux des finances, il y a matière à se demander si ce corps n'est pas l'un des principaux problèmes de la France... La puissance politique, financière et économique attachée à ces personnes pose, à mon avis, un sérieux problème démocratique pour nous citoyens et déontologique pour eux puisqu'ils sont supposés être les garants de l'orthodoxie budgétaire de l’État.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Inspect...e_des_finances
Citation :
Michel Albert, ancien président du groupe Assurances générales de France (AGF) (1982-1994)
François Arsac, président de la Banque de financement et de trésorerie (filiale à 100 % du Crédit agricole en 2010)
François Asselineau, président fondateur de l'Union populaire républicaine.
Philippe Aube-Martin, associé-gérant de Lazard Real Estate (créée par la banque Lazard Frères pour structurer ses activités immobilières)
Marc Auberger, membre du directoire de CDC Entreprises
Christian Aubin, conseiller du président de BNP-Paribas
Bertrand Badré, associé-gérant de Lazard Frères
René Barberye, président du directoire des Caisses d'épargne
Etienne Barel, ancien directeur général de la BMCI Groupe BNP Paribas, Responsable Adjoint de l'Intégration de Fortis Bank dans le Groupe BNP Paribas
Jean Bassères, directeur général de Pôle Emploi
Jean-Pascal Beaufret, ancien directeur général des impôts ; ancien directeur financier d'Alcatel-Lucent ; membre du directoire de Natixis
Bruno Bézard, directeur général de l'APE
Pierre Bilger, ancien PDG d'Alstom
Daniel Bouton, ancien président de la Société générale
Gilles Brac de la Perrière, ancien directeur de Rhône-Poulenc
Philippe Capron, directeur financier de Vivendi
Julien Carmona, membre du directoire des Caisses d'épargne
Guillaume Cerutti, président -directeur général de Sotheby's France
Paul-Marie Chavanne, président de Geopost
Bernard Clappier, ancien gouverneur de la Banque de France
Jean-Claude Colli, ancien gouverneur du Crédit foncier
Emmanuel Constans, médiateur du Minefi
Pierre-Yves Cossé, ancien directeur général adjoint de la BNP
Olivier Costa de Beauregard, directeur général de Dassault Aviation
Bruno Cremel, investment manager chez LBO France
Daniel Cukierman, directeur du développement de Veolia Transport
Robert Daussun, président de LBO France
Bruno Deletre, directeur Public Finance chez Dexia
Bernard Delpit, directeur du contrôle de gestion de PSA
Gilles Denoyel, directeur général délégué d'HSBC France
Daniel Dubost, chef du service France Domaine au ministère des Finances
Nicolas Dufourcq, directeur général adjoint chargé des finances chez Cap Gemini
Nicolas Duhamel, directeur général chargé des finances de BPCE
Philippe Dumas, ancien administrateur-directeur général du groupe CIC, consultant (PRD Conseil)
Pierre Esteva, ancien président de l'UAP
Charles-Henri Filippi, ancien PDG de HSBC France
Pierre Fleuriot, PDG d'ABN-AMRO France
Jean-Baptiste de Foucauld, ancien commissaire au plan
Éric Garandeau, directeur financier et juridique du CNC
Hervé Gastinel, PDG de Terreal
Denis Gautier-Sauvagnac, président de l'UIMM
Jean-Louis Girodolle, associé-gérant de Lazard Frères
Valéry Giscard d'Estaing, ancien président de la République
Antoine Gosset-Grainville, directeur adjoint du cabinet de François Fillon, premier ministre, et ancien avocat associé de Gide Loyrette Nouel
Pierre-François Gouiffes, directeur général adjoint de Transdev
Gilles Grapinet, directeur de la stratégie du Crédit agricole
Gilles Guitton, ancien président du directoire du CIC
Hervé Hannoun, directeur général adjoint de la BRI
Guillaume Hannezo, associé-gérant de Rothschild & Cie
Philippe Hustache, directeur général de Dassault Aviation
Nicolas Jachiet, directeur général du groupe Egis
Antoine Jeancourt-Galignani, président du conseil d'administration de Gecina
Alexandre Joly, directeur général de la Compagnie nationale du Rhône
Jean-Pierre Jouyet, ex-secretaire d'Etat aux affaires européennes, président de l'Autorité des marchés financiers (AMF)
Alain Juppé, ancien Premier ministre
Philippe Jurgensen, président de l'Autorité de contrôle des assurances et des mutuelles (ACAM)
Philippe Lagayette, PDG de JP Morgan France
Pascal Lamy, directeur général de l'OMC
Jean-Pierre Landau, second sous-gouverneur de la Banque de France
René Lapautre, ancien directeur général d'Air Inter
Frédéric Lavenir, responsable des ressources humaines Groupe chez BNP-Paribas
Marc Lechantre, chef du bureau de la politique budgétaire à la direction du Budget
Jean Lemierre, ancien président de la BERD
Frédéric Lemoine, président du conseil de surveillance d'Areva
Marie-Christine Lepetit, chef actuel de l'inspection générale des finances
Vincent Lidsky, directeur des relations institutionnelles à la FFSA
Jean-Pierre Lieb, chef de service à la DGI
Robert Lion, ancien directeur de la Caisse des dépôts et consignations et président de Greenpeace France
Gérard Machet de la Martinière, président de la FFSA
Olivier Mallet, directeur général adjoint d'Areva T&D
Philippe Mareine, sous-directeur du personnel à la DGCP
Pierre Mariani, responsable du pôle Services financiers chez BNP-Paribas
Isabelle Mateos y Lago, économiste au FMI
Jacques Mayoux, conseiller chez Goldman Sachs
Pierre Merviel, secrétaire général d'EDF
Ludovic Bizouard de Montille, directeur BNP-Paribas United Kingdom
Xavier Musca, directeur du Trésor public
Frédéric Oudéa, directeur général de la Société générale
Olivier Pagezy, directeur du pôle Gestion et SI du Commissariat à l'énergie atomique (CEA)
Michel Pébereau, président du conseil d'administration de BNP-Paribas
François Pérol, président du directoire de BPCE, ancien secrétaire général adjoint de la présidence de la République.
Claude Pierre-Brossolette, ancien PDG du Crédit lyonnais
Alain Pilloux, directeur de la BERD pour les PECO
Michel Prada, président de l'AMF
Roger Prain, ancien directeur général de la Banque Vernes
Baudouin Prot, directeur général de BNP-Paribas
Jacques Rapoport, directeur général de Keolis Lyon
Boris Ravignon, conseiller du Président de la République, Nicolas Sarkozy, chargé du développement durable
Hubert Reynier, secrétaire général adjoint de l'Autorité des marchés financiers (AMF)
François Riahi, directeur de la stratégie de BPCE
Stéphane Richard, directeur général de France Télécom, ancien directeur du cabinet de Christine Lagarde8, ancien directeur général de Veolia Transport
Michel Rocard, ancien Premier ministre
Michel de Rosen, PDG de Eutelsat
Philippe Rouvillois, ancien PDG de la SNCF
Claude Rubinowicz, dirige l'Agence du patrimoine immatériel de l'État (APIE)
Yves Sabouret, ancien directeur général des Nouvelles messageries de la presse parisienne (NMPP)
Guillaume Sarlat, trésorier de l'Institut pour l'éducation financière du public (IEFP)
Denis Schrameck, directeur du Contrôle des dépenses engagées
Louis Schweitzer, ancien PDG de Renault
Jean-Michel Severino, directeur général de l'Agence française de développement (AFD)
Olivier Sichel, partenaire chez Sofinnova Partners
Catherine Sueur, administratrice générale adjointe du musée du Louvre
Marc Tessier, ancien PDG de France Télévisions
Patrick Thourot, directeur général délégué de la Société commerciale de réassurance (Scor)
Nicolas Théry, Crédit mutuel, ancien conseiller de la DG Environnement de la Commission européenne
Nicolas Tissot, directeur financier de Suez Énergie International
Rémi Toussain, ancien directeur général d'AgroParisTech9
Philippe Toussaint, PDG de Banque AGF
Jean-Claude Trichet, ancien gouverneur de la Banque centrale européenne (BCE)
Laurent Trupin, directeur général de l'Agence française pour les investissements internationaux (AFII)
Laurent Vachey, ancien président de l'Agence française du sang
Patrice Vial, ancien PDG de Morgan Stanley France
Marc Viénot, président honoraire de Paris Europlace
François Villeroy de Galhau, PDG de Cetelem
Jacques Wahl, ancien PDG de la Banque nationale de Paris (BNP)
Patrick Werner, président du directoire de la Banque postale
Jean-Marie Weydert, président de SWIFT (société coopérative détenue par des banques, leader en messagerie et interfaces sécurisées, pour plus de 6 500 institutions financières dans 178 pays)
Charles Wiener de Croisset, ancien PDG du Crédit commercial de France (CCF), racheté par HSBC.
Un relent de 2007 à propos de l'éducation :
Citation :
Sarkozy propose aux enseignants de... travailler plus pour gagner plus
Les professeurs certifiés qui le souhaiteront pourront travailler huit heures de plus par semaine et gagner près de 500 euros de plus par mois : c'est la proposition que Nicolas Sarkozy leur a faite, ce mardi, à Montpellier. En fin de journée, l'entourage du président annonçait encore que les instituteurs seraient "exonérés" de la règle selon laquelle un fonctionnaire sur deux partant à la retraite n'est pas remplacé.
http://www.letelegramme.com/presiden...12-1616111.php
8 heures de plus pour 500 € ? Et puis une diminution des coups de fouet en prime aussi ?
Pour info, au tarif actuel, si je devais faire 8 HSA en plus, je toucherai non pas 500 € de plus mais plus de 1200 (bon, OK, sur 9 mois, pas sur 12. Mais 9 fois 1200, ça fait plus que 12 fois 500...).
Quel arnaqueur...
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