bah pourquoi interdit aux femmes ? je peux dire du mal aussi de mes congénères (car à la différence des hommes, on reconnait nos défauts, nous

)
tenez, pour vous le prouver, un petit texte (article d'un journal d'université) rédigé par un gars qui visiblement, connait pas mal les femmes (même si ça me tue de le reconnaitre). C'est un pavé, mais vous pourrez le ressortir à toutes les femmes de votre entourage, elles seront médusées ^^
(bon, c'est un super pavé, au besoin un modo dégommera ^^ )
"Bonjour à toi lectrice à qui je destine ces lignes assassines et pour moi douloureuses, à toi femme qui te gaussera bien de mes imprécations cependant que tu iras transpirer par toutes tes pores et tes muqueuses pour un homme ayant la consistance musculaire et cérébrale d'un roc inébranlable (ou pas).
Assassine oui, et ce n'est que juste revanche, car n'est-ce pas toi qui as initié le conflit et déclenché originellement cette vindicte ? N'est-ce pas toi par ton comportement odieux, par tes aspirations vaines et insultantes à la raison ou l'humanité la plus élémentaire, par ton égoïsme colossal, par ton hypocrisie sans bornes, n'est-ce pas toi qui a déclenché les hostilités ? Hostilités qui me répugnent, car je n'ai aucune aspiration naturelle à la haine, à la haine contre toi, ma misogynie n'a jamais été gratuite. Crois tu que l'on nait misogyne ? Crois tu que cela me fasse plaisir d'avoir à te mépriser, d'avoir tels soubresauts de dégouts quand je t'aperçois, sursauts souvent finalisés de nausées quand je t'écoute, quand tu parles de tes amours et des hommes et de ce que tu aimes en eux, toi indigne représentante de l'espèce femelle ? Que les hommes qui n'ont jamais souffert des femmes me jettent la première pierre...
Car cela me dévaste, de te détester, toi qui es la seule prodigue de tendresse, toi qui es la paix et la douceur, qui n'as jamais été créatrice de la hache ou de la bombe, (car comme dirait l'autre « Femme je t´aime parce que/Tu vas pas mourir à la guerre/Parc´ que la vue d´une arme à feu/Fait pas frissonner tes ovaires »), la porteuse de vie, celle qui la préserve, toi qui es la source de bienveillance, cela m'anéantit de devoir satisfaire tes instincts abjects pour pouvoir m'abreuver un peu à cette source. Cela m'anéantit de devoir être beau et fort par exemple pour plaire aux femmes, affreux de devoir avoir une enveloppe charnelle et osseuse adéquate, affreux de devoir avoir la viande bien répartie sur le squelette, et que la répartition de cette masse de viande soit ton critère, soit ton idéal non avoué. Quoi ? Je semble vulgaire ? Mais interrogez les, constatez l'importance que les femmes accordent au nombre de centimètres de taille, à l'éclat d'un sourire, car si vous ne disposez pas de cent soixante dix centimètres de viande et de petits os au complet dans la bouche, elles se ficheront de votre âme aussi grande soit elle, elles ne se mettront jamais devant votre poitrine pour vous protéger des balles d'un gangster. Ces dames éprises de grands sentiments tiennent au osselets, et à la viande ! Pire encore, seulement les osselets trancheurs de devant ! Roméo eut il été démuni des deux incises de devant, le sourire édenté, estropié uniquement de ces bouts de rien du tout, Juliette n'aurait plus adoré son âme ! Elle l'aurait méprisé ! Alors que ses qualités d'âme, ses vertus, ses grandeurs auraient été les mêmes ! Deux petits dents pèsent trois grammes : l'amour de Juliette pèse trois grammes ...
Mais ça, jamais elles ne l'avouent, ou ne l'admettent, il faut faire semblant de rien, tricher, donner le change en fausse monnaie, il faut parler avec elles spiritualité, distinction, il faut recouvrir leurs méprisables penchants de mots corrects, et qu'au lieu de cent quatre vingts centimètres et os, l'on dise noble prestance et sourire séduisant ! Oui méprisables, car au fond, dans leurs tréfonds peu louables, ce qu'elles cherchent, à travers cette « beauté » dont elles raffolent, paupières battantes, coeur tressautant, c'est la force, la beauté virile, le haute taille dominatrice, le muscle ferme, les dents qui mordent et tranchent, tout ceci témoignage en vérité de force physique, c'est à dire du pouvoir de nuire, le pouvoir de détruire, l'antique, préhistorique même pouvoir de tuer, le pouvoir à l'âge de pierre du mâle à pouvoir faire le mal, et à pouvoir ramener plus de pitance, et à être un dominant, voilà ce que cherche leur inconscient, ces délicieuses, ces croyantes, ces sipirituelles, et contemplez la meute féminine en cris de jouissance à l'approche des militaires et des officiers.
Je t'entends d'ici, femme, la question intelligente et effrontée qui te monte au bout des lèvres, qui te permet de te croire spirituelle et ton ego et tes tréfonds épargnés de l'égratignure de ma plume « mais alors pourquoi toi tu ne vas pas avouer ton amour à une laide, à une bossue, à une édentée ? » Pourquoi ? Mais parce que je suis un affreux mâle ! Que les velus soient carnivores, je l'accepte, même si c'est laid, mais que les femmes, les pures, les elevées, les guides, ça je n'accepte pas ! Elles en qui se concentre toute beauté et toute pureté et toute bonté, elles qui devraient être notre guide vers la fraternité et la concorde, elles qui sont la seule présence de divin en cette terre, ça je n'accepte pas !
C'est une torture d'être enfant de femme et d'être sorti d'un de leur ventre doux et d'imaginer qu'elles idolâtrent les hommes à machette, les hommes à menton carré et proéminent et les hommes à bras puissants et potentiellement broyants. J'ai honte pour elle. Et quand bien même, admirer la beauté des femmes, la beauté féminine, qui est promesse de gentillesse, de douceur, de sensibilité, de maternité (car les hommes ne sont pas attirés par les femmes pour leur force, leur virilité, leurs muscles, leur agressivité, par le corps ou par l'esprit, leur force. Les hommes peuvent même aimer les femmes pour leurs faiblesses), passe encore, j'ai le droit moral d'aimer cela, j'ai le droit moral d'aimer ce Bien en elles, j'ai le droit moral d'aimer un uniforme d'infirmière, qui est celle qui soigne et console. Mais elles, que leur uniforme aimé soit celui du soldat, celui qui tue et égorge, cet attrait horrible qu'elles ont pour la beauté masculine annonce de force physique, de courage, d'agressivité, bref, de vertus animales, ça c'est impardonnable !
Et le pire, l'indigent, c'est que malgré tout elles s'en rendent bien compte, de leur attirance coupable pour cette force, et c'est qu'elles sont obligées de la dissimuler, de passer du beau vernis et de parler littérature ou musique ou peinture et de prétendre raffoler ce tout cela, et de prétendre ne rêver que d'honnêteté, d'aisance, de loyauté, de culture, d'humour, de générosité, d'amour de la nature, de distinction, et elles ne se rendent pas compte que cela même est encore une fois attirance pour la force, puisque toutes ses vertus sont signe d'appartenance sociale, à la classe des privilégiés, des riches, apanage des puissants, des aristocrates, ceux qui en leur passé avaient pouvoir de vie ou de mort sur les petites gens, qui n'étaient pas eux réputés loyaux, généreux, honnêtes, et donc pas digne de leur amour sélectif, de leur amour darwinien, on en revient encore à la force, l'abjecte force ! Toutes adoratrices de la force, en orgasme caché devant le sportif au corps puissant, puissant de pouvoir de nuire, en jubilation secrète et honteuse devant le supérieur, devant le dirigeant, devant l'autoritaire despotique qui a tout pouvoir, et c'est bien une femme qui disait d'Hitler qu'il avait un brave sourire, et une autre de Mussolini qu'il avait un air si gentil, « au fond », car elles s'arrangent toujours pour dire que les méchants et les brutaux sont « gentils, au fond », elles ont besoin de cette illusion pour moralement aimer le rustre, pour pouvoir satisfaire leur morale contraire à leurs tréfonds, leurs tréfonds adorateurs des chevaliers, des chevaliers princes charmants, ceux là même dont on chantaient les gestes, faites d'étripages et de guerres, faites de tuerie et de barbarie, et elles en adoration devant l'armure et l'épée !
Tout ce qu'elles aiment est la force, je le répète et le radote mais il m'est nécessaire de répéter ce mantra, cette litanie afin que tous comprennent, que toi lecteur tu voies enfin cette créature que tu côtoies et qui s'enorgueillit de hauts sentiments et te méprise de ta brutalité et de ta bestialité, alors que c'est cela même qui la fait vibrer d'excitation en secret, afin que toi lectrice tu prennes conscience si ton égo n'étouffe pas encore ton coeur de ta nature inconsciente immonde, que tu la reconnaisses (car les hommes jamais n'ont de mal à reconnaître leurs vices de mâle, leur défauts masculins, alors que toi femme jamais tu ne cèdes et ne souffre la plus petite révélation sur ce que tu as de méprisable en tant que femme) et la combattes peut etre ; oui, tout ce qu'elles aiment est la force, le courage est force, l'argent, le caractère (ça elles aiment, ce mot, « caractère », qui veut dire en vérité « domination, autorité, force », mais évidemment elles ne peuvent l'admettre, ce serait trop laid d'aimer cela ; caractère, le comportement des seigneurs qui condamnaient à mort, caractère, ceux qui avaient la dureté d'envoyer au bûcher, caratère, qu'elles adorent et préfèrent au détriment de la divine Pitié, son opposé) sont la force, l'importance sociale, la beauté, signe de jeunesse et donc de vitalité et donc de force, leur est force, et il est immonde qu'elles aiment cela, et que nous soyons obligés de nous laisser aller à cette brutalité, à ce manège de mâle dominant en leur présence, à cette parade nuptiale autant que guerrière, pour les séduire, et pour obtenir d'elles de la tendresse dont nous avons tant soif.
Je les aime et je les hais quand je sais que la moindre de leur parole de douceur et la moindre de leur caresse de tendresse n'est obtenue que par gorillerie, qu'en ayant joué devant elles ou en social le rôle du supérieur, du dominant, qu'en leur ayant envoyé un regard cruel (car elles adorent les regards cruels qui les font frissonner de peur et frémir d'excitation, et plus le regard est cruel et carnivore, plus ces proies joyeuses d'être proies pensent que le velu est amoureux, horrible pensée), qu'en les ayant contentées dans les gymnastiques et les sauts de carpe sur lit pour lesquels elles ont tant de goût inavoué (car l'avouer serait admettre quelque réminiscence de bestialité, d'animalité, dont elles ont horreur en parole mais qu'elles subissent en vérité), qu'en leur ayant donné de la force et leur ayant montré le pouvoir de nuire et de tuer, et de se dire qu'elles ne récompensent et n'accordent leur bonté qu'à celui qui leur est le meilleur assassin, le meilleur guerrier, cela est ignoble, et qu'elles recouvrent leur adoration secrète du tueur sous des noblesses et des poésies et des sentimentalités, cela est monstrueux. Je méprise les hommes de leur brutalité, de leur force qui n'est que bête et animal, mais je vous hais femmes d''aimer tout ceci, d'en avoir honte et de persister en vous (le) cachant. Femmes, je vous adore, mais je ne vous pardonnerai jamais, jamais d'aimer les hommes."
et donc, pour revenir au sujet, sur les choses à ne jamais dire aux femmes : ne soyez jamais gentil avec elles, ne soyez pas doux et serviable, mais toujours dominateurs, un peu cruels, supérieurs, "forts", car elles (je dis 'elles' parce que je ne suis pas trop d'accord avec tout ce qui est écrit et ne me reconnais pas dans tout... enfin bon, j'imagine qu'on va toutes penser cela

) n'aiment que ça (même si elles s'en défendent)