La douleur

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Non sans nul doute que je comprends très bien le système nerveux de l'être humain. Nul qu'aucun de vous n'a réellement compris mon interrogation à propos de la douleur. Donc, je vais essayer d'être soi disant plus claire pour que l'ouverture se fasse sans écorchure, c'est-à-dire essayer de vous faire voir la lumière qui apparemment n'était pas assez visible du à l'obscurité qui occupait l'espace quasi-parfaite dans mon poste initial.

Voilà, en regardant le film dont je ne peux citer le nom puisque cela pourrait très bien choquer quelques vilaines oreilles dont un seul mot pourrait très bien imaginer des centaines de possibilité tant obsolètes que éblouissantes jusqu'au dernier soupir qu'un homme ou une femme peut évoquer lors d'action inébranlable dans certaines positions voir meurtrie par une autre personne avec une forte concentration d'hormones, voir hormones hyper révélatrice ou une drogue intense que seule la personne peut réellement sentir vu l'enveloppe dont cette personne est enveloppé depuis une époque ou un évènement survenu dans sa vie qui a provoqué en elle cet état d'âme et lui a donné le courage d'osé franchir le pas vers la ou les période temporel que cet "chose" est déclancher.

Bref, je parle de la douleur physique, moral que l'être lui-même ose s'infliger. Par exemple le froid, l'être qui désire absolument jouir de cette sensation d'engourdissement que le froid peut lui provoquer lors d'une longue séance en présence de cette sensation. Comment peut-on aimer la douleur qui n'est pas du tout bénéfique au corps humain, mais plutôt dévastatrice ? De plus, je ne parle pas de la famille indienne qui ne connaissait pas la douleur, mais je parle des personnes qui connaissent très bien l'effet de la douleur et demande à leur semblable de pousser la limite invisible et à chaque fois de repousser et peu importe ce qui doit y avoir après la limite, même la mort ne leur dérange guerre puisque si c'est le cas, ils seront morts dans une joie impossible à imaginer ou à comprendre pour un être normal.

Donc, je repose la question, comment est-ce possible ?
En gros, xenaph regarde fes films de bool sm et est tout retourné que des gens fassent ça volontairement, pour le plaisir.

Sinon ed spas les mêmes récepteurs aussi, y'a les nocirécepteurs pour la douleur, d'autres pour la pression dont je me souviens plus du nom etc.
Citation :
Publié par DaBlob
En gros, xenaph regarde fes films de bool sm et est tout retourné que des gens fassent ça volontairement, pour le plaisir.

Sinon ed spas les mêmes récepteurs aussi, y'a les nocirécepteurs pour la douleur, d'autres pour la pression dont je me souviens plus du nom etc.
Corpuscule de Pacini ( mais pourquoi je me souviens de ca? J'etais une quiche en bio au lycée.)

Je parie qu'il est tombé sur des films d'eclatage de ballz à coup de talons aiguilles.
Citation :
Publié par Maniel
La douleur, c'est différent du touché?

Je me suis posé la question, et j'en suis resté tout bloqué, sans réponse.
Je pense qu'un toucher rectal ça fait mal, les deux sont donc liés.

Aere :

http://news.ninemsn.com.au/img/entertainment/2105_joker_sp_lg.jpg

Carrément la classe
*imagine un orgasme de douleur du Joker en mangeant de la salade bien vinaigrée*

Related : La souffrance physique influe-t-elle réellement sur la souffrance morale et vice versa ? Genre, les gens qui se tranchent méchamment en grosse déprime, ça leur fait du bien au moral ? (Et je parle pas des "emos" qui se coupent en se faisant un sandwich chèvre/poulet/mayo et qui font comme si c'était volontaire)
Citation :
Publié par Maniel
Donc a force de se faire mal "pour rire" (genre emo qui se cadrille le poignet avec un compas sans jamais saigner), on peut être attiré par la douleur, et subir un état de manque.
mouais. faut pas confondre l'accoutumance et l'achat d'une personnalité au rabais

Citation :
Publié par Aere
Related : La souffrance physique influe-t-elle réellement sur la souffrance morale et vice versa ? Genre, les gens qui se tranchent méchamment en grosse déprime, ça leur fait du bien au moral ? (Et je parle pas des "emos" qui se coupent en se faisant un sandwich chèvre/poulet/mayo et qui font comme si c'était volontaire)
mouais. oui et non. non parce qu'il s'enferment dans un cercle vicieux. oui parce qu'il s'enferment dans un cercle vicieux. oui parce qu'ils attirent l'attention

pour "les gens qui se tranchent méchamment en grosse déprime", j'pense que c'est mort depuis que les skyblogs sont morts
Hum, j'ai du mal à saisir la recherche du plaisir dans la douleur, de mon côté c'est une sensation comme une autre, généralement là pour signaler une situation que le corps devrait normalement évité mais pas obligatoirement désagréable pour autant une fois apprivoisée. On peut parfois la gérer et la trouvée agréable, ça m'est arrivé, sans pour autant chercher à la causer volontairement (de même j'aime le goût de mon sang mais je ne vais pas m'entailler pour en boire ).

Toutefois réduire le SM à des questions de plaisir dans la douleur c'est très limitatif, ça passe aussi beaucoup pas une question de contrôle/abandon et de confiance, sans doute bien plus que par la simple recherche de la douleur. Après tu peux aller chercher du côté de l'auto-mutilation mais pareil tu retrouveras pas mal de relation au contrôle de son corps et de ses actes, que ce soit en surmontant les barrières qui nous empêche de nous faire réellement du mal ou bien en passant par des trucs assez extrêmes comme la castration (et je parle pas de castration chimique là) qui permet à l'homme d'être moins à la merci de son propre corps.
Y a aussi les cas où la douleur est "imaginaire" disons que, à cause d'un dysfonctionnement du cerveau, tu ressens une douleur foudroyante alors que rien, dans ton corps ou de l'extérieur, ne provoque cette douleur si ce n'est ton cerveau.

==> moi aussi j'regarde Dr House les gars!

Et pour finir, citation des formateurs de l'école de gendarmerie:

<< La douleur est une sensation de civil!!>>


Et sinon, concernant ta VRAIE question (douloureux à lire le deuxième post aussi :x) il a déjà été répondu qu'apparemment, tu peux devenir accroc aux endorphines.
Je penses dans mon imho à moi qu'il faut aussi avoir une inclination particulière à vouloir être "victime". in extenso aimer l'humiliation/la négation de soi etc.... mais, là, c'est plus du psycho qu'autre chose et chuis pas armé pour en débattre.


ps: il est chaud à lire le posteur original quand même, j'ai les yeux qui saignent moi maintenant!
Citation :
Publié par Binouse
ps: il est chaud à lire le posteur original quand même, j'ai les yeux qui saignent moi maintenant!
J'était en train de me dire la même chose en zappant le deuxième paragraphe pour atteindre le vif du sujet.


Je pensait a un truc : Est ce que les sports du genre boxe et tout, ça rend pas accroc a l'endorphine, vu l'augmentation perpétuelle de la douleur lors d'un (long) combat?
Citation :
Publié par Birdie / Snoun
"la douleur n'est qu'une vue de l'esprit " © mon sergent instructeur



c'est malheureux les ravages que peut faire l'alcool :x
Ca marche aussi avec le froid, la fatigue et ca peut être une vue de l'esprit, une information, dans la tête, un truc de civil (mais comment j'ai fait pour oublier celle la) etc.

Et en plus c'est vrai.

Citation :
Je pensait a un truc : Est ce que les sports du genre boxe et tout, ça rend pas accroc a l'endorphine, vu l'augmentation perpétuelle de la douleur lors d'un (long) combat?
Ca concerne plutôt l'adrénaline la, l'endorphine ne servant plus qu'a supporter la douleur.
J'ai eu mal quand un de mes reins a explosé
Genre, vraiment mal
C'était drôle, j'arrêtais pas de vomir de la bile, j'avais des frissons Je tremblais énormément, je suais également, j'arrivais pas à maintenir aucune position qui me confortait du coup je me tordais en permanence, j'avais perdu mes capacités de réflexions et je suivais docilement les ordres des urgentistes.
Il s'est passé quelques heures avant que l'on finisse par me donner un anti douleur, je crois que c'est quand ils ont calculé que pour faire 10 mètres j'ai pris une demie heure et j'ai vomi à trois reprises dans la poubelle qu'ils se sont aperçus que je ne simulais pas.
Bon après le mélange de narcotiques parce que les infirmières sont trisos, c'est un autre délire.
Sinon, heu, de manière générale, je ne crains pas la douleur plus que ça, ni le froid, je pense avoir une bien meilleure tolérance que la moyenne.
Pour l'op, je te conseille de regarder Funny Games (la version originale, même si la meuf est moche, ils ont pas réussi à reproduire le petit sourire dans le remix US) qui aborde la douleur d'une manière particulière, et qui n'ont rien à voir avec hostel/saw qui paraissent assez fades pour le coup.
Il me semble que Frontières cherche de ce côté aussi, mais je ne l'ai pas vu.
Citation :
Publié par Sorine
Ca marche aussi avec le froid, la fatigue et ca peut être une vue de l'esprit, une information, dans la tête, un truc de civil (mais comment j'ai fait pour oublier celle la) etc.

Et en plus c'est vrai.
moi j'ai pas oublié, ni la tronche du dit sergent instructeur, et pourtant j'avais 22 ans a l'époque.

'culé d'sergent © moi
Ca m'a fait penser a l'épisode des Simpson ou Abraham , le grand père, a le rein qui explose. Des bonnes barres de rire !

Cela dit j'aurai pas aime être a ta place, rein qui explose, c'est comme le tendon d'achille qui claque, c'est des trucs qui donnent des frissons rien qu'a les lire sur du papier.
Citation :
Publié par raide\o\
Ya un épisode de House où le patient est insensible à la douleur, saison 3 il me semble
Y a aussi le film" He never dies " dans le genre, c'est le 5ème volet de la série des Guinea Pigs.

Moi qui attendais beaucoup de cette série, j'ai vraiment été déçu.
__________________
Legend`s back ...
Citation :
Publié par Maniel
J'était en train de me dire la même chose en zappant le deuxième paragraphe pour atteindre le vif du sujet.


Je pensait a un truc : Est ce que les sports du genre boxe et tout, ça rend pas accroc a l'endorphine, vu l'augmentation perpétuelle de la douleur lors d'un (long) combat?
J'ai vu un reportage sur les marathoniens de l'extrême. C'est tellement crevant qu'ils ne tiennent que par l'endorphine sécrétée par la douleur de l'effort. ça en devient une drogue pour eux ce qui les motivent à continuer à pratiquer ce sport.
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