Peut être que je me trompe car la monnaie est un sujet très complexe mais d'après ce que je comprends : la banque qui crée un prêt, techniquement emprunte à taux très bas à la banque centrale, qui émet donc de la monnaie. Ensuite le remboursement intervient, du client vers la banque et de la banque vers la banque centrale et la banque garde pour elle les intérêts (ceux ci en général ne suffisent pas à assurer la rentabilité d'un établissement à eux seuls - d'ou l'importance des marchés par actions).
Les fonds propres sont simplement la garantie (théorique) que la banque pourra rembourser les prêts défaillants qu'elle aurait souscrits.
La banque emprunte à la banque centrale pour les échanges inter bancaire, et non pour les crédits.(même si le crédit et un des vecteurs d'échange)
Par contre la ou je suis pas forcément d'accord c'est sur ta perception de la dette, et des couche économiques.
Déjà sur la notion de marché boursier tu es d'accord que celui ci est très nettement dévoyer, vu que tu cite entre autre les HFT. Il faut ajouter également que la bourse n'est plus qu'une guerres d'algorithmes
(on parle de milliers d'opération/seconde). Et mieux encore le marché secondaire représente plus de 80% des opérations
(liquidité des titres).
Or le marché secondaire, c’est juste la spéculation sans aucun apport pour l’investissement. C'est même le levier/chantage pour les dividendes
(argument d'attraction).
Cette aspect là pénalise et handicape les entreprises qui se retrouve finalement limité dans l'usage de ses bénéfices, et dans ça capacité a maîtrisé son avenir.
Alors oui cela bénéficie à quelques épargnants
(fond de retraite et autre), cependant est il logique que l'épargne rapporte ?
Mais pourquoi l’investissement est rémunéré, c'est pour le risque que génère la création d'activité ou l’innovation, non ?!
Mais ici on parle de spéculation
(investissement casino), faut il rémunéré cette aspect économique de prédation
(qui pour rappel détruis l'activité)?
Bref c'est pour ça qu'il existe 2 couche économique que l'on peu discerné
(même si il existe une forme de perméabilité, qui fait qu'il existe des échanges de flux entre ces couches. Mais c'est globalement déséquilibré en faveur de la couche financière), celle dite économie réelle qui participe à l’investissement et au échanges commerciaux de
biens. Et celle financière qui capte un maximum de flux pour enrichir toujours plus ceux qui possède, soit rémunéré le capitale. Bref le bon gros principe de base du système, sauf que dans l'idéologie on rémunère le capitale car celui ci est créateur d'activité
(investissement). là ou aujourd'hui ce n'est plus aussi clair...
D'ailleurs le constat est sans appel, alors que l'ensemble des population mondiale s'appauvrissent
(en moyenne), les 1% les plus riches vois leurs richesses s’accroître de 10 à 20 % par ans. Et rien que ce constat devrais justement alarmé...(
c'est pas pour rien, non plus, que cela fait plus d'une décennie que l'on vie dans une simili crise économique...)
Après sur les dettes d'états il y a plusieurs théorie dessus, mais il semblerai qu'un courant de pensé des année 60-70 impliquant que les état doivent être endetté(starve the best) pour avoir une politique budgétaire plus pondéré. Le truc c'est que cette doctrine à fait long feu, et aujourd'hui encore il est soufflé le chaud froid sur la dette en expliquant que la dette est utile pour les milliers de placement financier. Concrètement quand on parle de dette on est en plein paradoxe, car tout notre modèle économique repose sur le dette.
Car la dette c'est géniale, vu que cela te permet d'avoir une création monétaire qui accompagne l'activité
(création de richesse par la valeur ajouté du travail). Et must du must, se détruis avec la consommation avec le remboursement. Donc le crédit c'est le modèle miracle, par de risque de sur inflation dû à la création monétaire, et la monnaie s'auto régule sur le temps.
Oui, mais ça c'est la théorie. Dans la réalité ce modèle est juste insoutenable, car on a juste oublier que notre système doit toujours être en croissance pour existé. Qu'en plus des remboursement, il y a des intérêt qui génère un phénomène captif supplémentaire nuisant a l'équilibre des flux.
Et au bilan on se rend compte que la dette d'état est problématique, comme celle des ménages, et celle des entreprises. Sauf qu'aujourd'hui plus de 90% de la monnaie qui circule c'est de la dette...
(attention à pondéré avec les trilliards imprimé depuis 2008 par les banques centrales. Cependant ceux ci on principalement alimenté les institution financière pour soutenir les prêt justement. Donc....)