|
Honte d'un truc d'il y a 20 ans, et dont seulement 2 pelos peuvent avoir la référence ? Je vais te dire, en réalité 99.9% de ceux qui suivent ce thread s'en cognent à un point que tu ne peux pas imaginer.
Je suis supporter de l'OM, et je n'ose presque plus m'exprimer ici tant l'image que vous renvoyez toi et 1 ou 2 autres est pathétique. Franchement, prends un peu de recul et réfléchis un peu à ce que tu écris.
Publié par Louis Nasser 1er
La faute de Nasser de sa double casquette et de ses fausses promesses d’offres mirobolantes.
Quand tu viens jusqu’à l’Élysée promettre au président que tu vas acheter les droits pour 800m et qu’au final tu prends un match (ce qui fou la merde en + pour le consommateur) pour 70m + 20 pour du sponsoring chantage sans informer les présidents de clubs, ça fou la merde.
Pareil pour la brouille avec canal, on est sur de la faute à Nasser, pareil pour mediapro c’est du Nasser …
N’en déplaise au suceur professionnel (oui pro car ils sont payer pour) du CUP. Leur président a assassiné le foot Fr.
Et on parlera pas de ttes les magouilles financières et politiques, après tout c’est normal d’avoir des avantages fiscaux notamment quand tu fais venir une danseuse célèbre du Brésil et un nain de jardin argentin.
Ou alors tu reprends les choses dans l’ordre et t’arrête d’être un ridicule petit soumis.
Je poste ça, et en réponse j’ai des troll de la fanboy de Boulogne et de son petit tamagoshi Marseillo-Qatari.
À partir de maintenant chatgpt produira tout mes messages quotidien sur le maléfique Nasser. Comme ça t’iras te plaindre chez Microsoft que leur IA raconte n’importe quoi.
Oui, Nasser Al-Khelaïfi a maintenu une position ambiguë jusqu’à une période avancée des négociations concernant l’acquisition des droits de diffusion de la Ligue 1 pour la saison 2024-2025.
Initialement, BeIN Sports, dont Al-Khelaïfi est le président, ne prévoyait pas de soumissionner pour ces droits. Cependant, face à l’impasse des négociations, Al-Khelaïfi a demandé à son directeur général d’étudier une éventuelle offre, ce qui a été perçu comme une entrée tardive dans la course aux droits TV .
Lors des discussions, Al-Khelaïfi s’est opposé à la création d’une chaîne 100% Ligue 1, proposée par la LFP en partenariat avec Warner Bros. Discovery, arguant que cette solution était financièrement risquée et pourrait entraîner la faillite de plusieurs clubs . Il a exprimé son mécontentement en soulignant que cette option était la dernière qu’il souhaitait voir mise en œuvre.
Finalement, BeIN Sports a présenté une offre de 100 millions d’euros pour diffuser un match par journée, une proposition faite à la dernière minute et qui a suscité des critiques de la part d’autres dirigeants de clubs, certains estimant qu’Al-Khelaïfi avait utilisé sa position pour influencer les décisions en sa faveur .
En résumé, bien qu’Al-Khelaïfi n’ait pas explicitement affirmé son intention d’acquérir les droits de la Ligue 1 dès le début des négociations, ses actions et interventions ont laissé entendre qu’il envisageait cette possibilité, ce qui a contribué à prolonger les discussions et à créer des tensions au sein de la LFP.
Dire que Nasser Al-Khelaïfi “fait tout pour tuer la Ligue 1” serait une affirmation très forte et contestable, mais il est vrai que certains acteurs du football français l’accusent de nuire aux intérêts du championnat, parfois même de manière délibérée ou par conflit d’intérêts.
Voici les reproches principaux formulés contre lui :
1. Conflit d’intérêts flagrant
Al-Khelaïfi cumule les casquettes : président du PSG, président de BeIN Sports, et membre influent de l’ECA (l’Association européenne des clubs). En tant que patron d’un diffuseur et d’un club, il est vu comme juge et partie dans les négociations sur les droits TV. Cela crée une suspicion : agit-il vraiment dans l’intérêt collectif du football français, ou dans celui du PSG et de BeIN ?
2. Opposition à la chaîne 100% Ligue 1
Quand la LFP voulait créer une chaîne pour sauver les meubles en attendant un accord avec un diffuseur majeur, Al-Khelaïfi s’y est opposé fermement, estimant que c’était un plan voué à l’échec. Ses critiques très dures ont été vues par certains comme un moyen de faire pression pour que BeIN ou un autre acteur reprenne les droits à bas prix.
3. Manœuvres tardives et ambiguës
Il est reproché à Al-Khelaïfi d’avoir laissé croire qu’il pourrait faire une offre via BeIN, mais d’avoir traîné jusqu’à affaiblir la position de la LFP sur le marché. Pour certains dirigeants, cela ressemble à une stratégie pour faire capoter les négociations et permettre à BeIN ou au PSG de tirer leur épingle du jeu.
4. Manque de solidarité avec les autres clubs
Le PSG, avec ses revenus massifs (sponsoring, Ligue des Champions, Qatar), n’a pas les mêmes besoins que les autres clubs français. Certains estiment que Nasser ne montre aucune volonté d’aider les clubs plus modestes à survivre dans un contexte économique très difficile.
Donc…
Il serait exagéré (et politiquement risqué) d’affirmer qu’il “fait tout pour tuer la Ligue 1”, mais on peut dire que ses actes et ses intérêts personnels (et ceux de son club ou de BeIN) entrent régulièrement en contradiction avec ceux du football français dans son ensemble. Et ça, beaucoup dans les coulisses du foot hexagonal ne le lui pardonnent pas.
Contexte du contrat CVC
En 2022, la LFP a signé un accord avec le fonds d’investissement CVC Capital Partners, qui a injecté 1,5 milliard d’euros dans une nouvelle société commerciale censée valoriser la Ligue 1 à long terme (droits TV, marketing, internationalisation, etc.). En échange, CVC touche une partie des revenus futurs de la Ligue.
Cet argent devait être réparti entre les clubs. Mais…
La part du PSG : une anomalie ?
- Le PSG a perçu environ 200 à 300 millions d’euros sur les 1,5 milliard (selon les estimations), soit près de 20%, alors qu’il ne représente qu’un club sur 20 en Ligue 1.
- Le calcul était basé non pas uniquement sur des critères sportifs ou économiques objectifs (comme la part de droits TV récents), mais a été biaisé en faveur du PSG pour tenir compte de son “rôle moteur dans l’attractivité de la Ligue 1” à l’international.
Les arguments “pour” cette grosse part :
- Le PSG, via Neymar, Messi, Mbappé, a attiré un public mondial et a tiré vers le haut les droits TV internationaux de la Ligue 1.
- La LFP a voulu “protéger son joyau”, car sans le PSG et son image, la Ligue 1 serait bien moins bankable.
- L’idée était aussi que le PSG pourrait investir une partie de cette somme dans des infrastructures et un rayonnement utile pour toute la Ligue.
Les arguments “contre” (et ils sont nombreux) :
- C’est un fonds de solidarité, pas une prime à la starification. Les clubs comme Auxerre, Lorient, Clermont ou Troyes ont des besoins vitaux pour survivre et se développer.
- Certains clubs n’ont reçu que 7 à 10 millions, à comparer aux centaines de millions du PSG. Cela a choqué.
- D’autres clubs considèrent que le PSG, grâce à sa manne qatarie, n’a pas besoin de cet argent, contrairement à eux.
- Cela a renforcé un sentiment d’injustice et de rupture d’équité, dans un championnat déjà dominé financièrement par Paris.
Alors, normal ?
Techniquement : la LFP a voté la répartition, donc ce n’était pas “illégal”.
Éthiquement et sportivement : beaucoup de présidents estiment que non, ce n’est pas normal qu’un club ultra-financé touche la plus grosse part d’un fonds censé aider l’écosystème à survivre.
Oui, selon une enquête publiée par Mediapart en janvier 2024, Gérald Darmanin, alors ministre des Comptes publics en 2017, aurait joué un rôle dans l’aide apportée au Paris Saint-Germain (PSG) pour éviter de payer des dizaines de millions d’euros de taxes lors du transfert record de Neymar.
�� Ce que révèle l’enquête
Le transfert de Neymar du FC Barcelone au PSG pour 222 millions d’euros en 2017 aurait pu entraîner des taxes importantes en France. Les avocats du club estimaient que le fisc et l’Urssaf pourraient réclamer entre 67 et 224 millions d’euros sur cette transaction. Pour éviter ces coûts, le PSG aurait sollicité l’aide de Gérald Darmanin et de son directeur de cabinet, Jérôme Fournel. Ce dernier aurait proposé des pistes pour échapper aux cotisations sociales, notamment en argumentant que la clause libératoire n’existait pas en droit français, rendant incertaine l’assujettissement à l’impôt.
⚖️ Réactions et démentis
Gérald Darmanin a nié toute faveur fiscale accordée au PSG, affirmant que tout s’était fait dans le cadre des lois fiscales de la République et que Neymar payait ce qu’il devait payer.
�� En résumé
- Le PSG aurait bénéficié de conseils pour éviter des taxes importantes lors du transfert de Neymar.
- Des soupçons pèsent sur l’implication de Gérald Darmanin et de son cabinet dans cette affaire.
- Le ministre a démenti toute intervention en faveur du club.
Cette affaire soulève des questions sur les relations entre le pouvoir politique et les grands clubs de football en France.
édit: moi je creuse et toi tu te bouche le nez, tu fermes les yeux et tu portes des bouchons d’oreilles.
Dernière modification par Louis Nasser 1er ; 17/04/2025 à 09h32.
|