- Bah...les profs concernés, c'est assez évident en fait. Ces plaintes sont indispensables ici.
Je crois que tu n'as aucune idée du nombre de plaintes de profs suite à cette affaire de minute de silence jusqu'à aujourd'hui. Et personne ne les prends par la main pour ce faire. Oui la mort de Samuel Paty, sans surprise, a changé beaucoup de choses dans leur vie.
- Un établissement scolaire n'est pas un acteur judiciaire pour information. Quand au reste ce n'est que de la divination de ta part vu que tu n'as toujours pas accès aux procédures. On est encore dans l'affirmation sortie de nulle part.
- je l'ai déjà dit qu'il y avait eu des enfants mis hors de cause. Quant à la décision de poursuivre c'est la Justice, le reste n'a aucun impact
- aucun rapport avec le sujet qui était action police et justice et tu fais encore dans la divination.
- divination, tu n'as aucune idée de la réalité de la chose et aucune assurance que mediapart aurait diffusé l'info s'ils l'avaient eu (ce qui est très questionnable vu les gros problèmes fréquents que je souligne dans leurs articles et dont la vérification est à la porté du premier crétin avec internet). Quant à l'exclusion de l'établissement cela n'a aucun rapport avec l'action police-justice, il faut aller râler auprès de
@Aloïsius (
)
Dans l'article des profs en question ne comprennent eux-mêmes pourquoi ça s'est emballé comme ça suite à leur signalement
Sinon merci mais je sais qu'un établissement scolaire n'est pas un acteur judiciaire néanmoins ça les empêche pas de donner des informations complémentaire lors d'un signalement. Et pour le reste c'est pas vraiment de la divination, la Police est intervenu dans les 3 jours suivant les faits rapportés, le temps que ça remonte au directeur puis au préfet, que ça redescende à la Police et qu'elle se renseigne rapidement sur la famille/le gamin (et même que le prof porte plainte pour que la procédure soit carré), je doute que tout est été fait dans les règles de l'art en environ 72h. Il n'y a que sur les affaires médiatisées où ça va si vite (et elles ne l'étaient pas au tout départ de manière individuelle). Quand même la plupart des profs/établissements que ça a pris de trop grosses proportions trop rapidement, on peut quand même se dire qu'il y a un léger raté dans le process quand même (et sur l'affaire de celle qui a reconnue les faits, elle s'est surtout laissé emporter par le moment en défendant son pote et s'est reprise immédiatement (car elle avait compris qu'elle avait dépassé les bornes), ce qui est corroborée par le prof en plus si je ne me trompe pas, genre c'est arrivé à personne de dire des énormités sur le coup de la colère ?).
En plus oui il était demandé au profs de signaler les écarts de conduite, mais il n'était pas précisé que ça allait déclencher immédiatement la grosse artillerie (au vue de la réaction des établissements/profs). Donc pareil, pas vraiment de la divination, je constate surtout les réactions des parties prenantes (et ce n'est pas pour rien qu'une fois la médiatisation de comment ça se gérait, qu'il y ai eu une polémique étant donné les actions initiées pour la plupart des faits reprochés).
Et sinon je n'ai jamais dis que l'exclusion avait un rapport avec l'affaire judiciaire, je notais surtout le comportement déplorable de l'établissement en question. Et ce serait loin d'être la première fois qu'il y a des dérapages de l'administration suite à la pression politique/médiatique du moment, au dépends de lambda.
Non parce que sinon ça pourra être sympa lors d'une prochaine polémique ou (je ne l'espère pas) un prochain meurtre, des élèves un peu malin mais bas du front pourra dire à leur prof que untel lui avait qu'il était impur et mériter la mort, même s'il ne l'a jamais dit, pour risquer de mettre sans dessus-dessous la vie de l'autre élève qu'il n'encadre pas (et s'il n'y a pas vraiment de vérification c'est ce qui peut arriver, d'ailleurs c'est déjà un peu ce qui est arrivée lors de l'histoire de gamin venu d'Afghanistan ne bitant pas énormément le français (ce qui disent son prof et d'autres élèves), qui s'est fait "piéger" par ses camarades).
Et pour finir, s'ils avaient peur que l'enfant soit radicalisé, pourquoi ils n'ont pas fait appel à un psy ou les services sociaux (à l'école, en prétextant un truc médical lors d'un cours) pour voir s'il était potentiellement radicalisé au lieu de devoir filer l'affaire directement au préfet/Police, lors d'une séquence politique c'est une bonne recette pour aller au désastre (surtout sur les affaires basées sur des faits rapportés par des gamins jeunes qui ne rapportent donc pas forcément fidèlement ce qu'ils ont entendus).