[question existencielle] le martinet

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Citation :
Publié par Lundrah
Même à l'école, si un instituteur donnait une claque à un gosse impertinent, personne ne s'offusquait, c'était normal et efficace. la honte de recevoir une fessée, ou un coup de règle sur le bout des doigts, ou une gifle devant tout le classe était une honte suprême et à la récréation il y avait les moqueries.

La peur de la punition calmait nos ardeurs à faire des sottises.
Mes premières années d'études véritables, parce que la maternelle c'est considéré comme un lieu de gardiennage à grands coups de coloriages.. l'école primaire.
Aaah l'école primaire..
En CE1, Mr Richard, un instituteur pas si vieux que ça, mais qui donnait encore des baffes dans les années 80.
Tire les oreilles, insulte et crie.
Fait pisser de trouille les petites filles sur leurs chaises.
Refuse l'infirmerie aux malades, offrant à quelques vomis de s'étaler sur les cahiers.
Me souviens encore de la bile qui se mélange avec l'encre..
Les moqueries dans la cour ? Jamais vu.
On se taisait tous.
Jamais un mot sur les coups et humiliations reçus.
Pas même entre nous, surtout pas aux parents.
Je pense qu'on trouvait tous ça normal.

En CM1 change enfin de décors. Mr Collet, un instituteur dans lequel on investi beaucoup d'espoir. Un peu plus vieux que l'autre et tout aussi méchant.
Désespoir. Rebellotte.
Grandir à coups d'insultes et de punition, s'entendre dire que l'on a oublié son cerveau sur sa table de nuit tous les matins, se faire traîner par une oreille et sur les genoux au travers de la salle de classe.
Assister à des scènes d'incontinence jusqu'au bout.
La peur de la punition, la peur d'être voué à être un idiot.
Un jour à table j'en parle à mes parents. J'ai un bleu sur le bras, on me demande des explications.
"C'est le prof.." que je dis. Personne ne veut me croire, il est bien trop gentil aux rencontres parents-profs. Une crème, un fier pédagogue.
Il est peut-être un peu "brusque" mais rien de méchant, regarde ton grand-père, il se faisait bien taper sur les doigts à l'école lui. Après tout ça n'a jamais tué personne ! Et puis on sait bien que Mr Collet n'est pas capable de ça sur des enfants..
A côté de ça mes parents ne m'ont jamais ni frappé, ni puni. De la discussion, toujours du calme et de la discussion.

J'ai toujours détesté l'école, pour moi un lieu d'humiliation, où l'on apprend sous la contrainte et dans la trouille. Un endroit où l'on est continuellement en compétition.
J'ai foiré toute ma scolarité, redoublé deux fois parce que je refusais de bosser.
Suis arrivée en terminale avec du retard, de très bons résultats dans les matières que je ne séchais pas et des ennemis studieux parce que je n'étais pas comme eux.
Je n'ai pas passé mon BAC exprès, pour leur faire les pieds à ces gros cons qui m'avaient éduqué enfant.
J'ai quitté le lycée et je suis devenue marionnettiste.
Aux désespoir de mes parents, j'ai fait conneries sur conneries à propos de mes études. Les punitions, ça m'a donné envie de ruer dans les brancards. J'en ai gardé de la force dans le bide, pas de la peur. Et surtout pas celle de continuer à être moi.

http://img111.imageshack.us/img111/3071/childsoldier28yn.jpg

Au final, voila une écoeurante histoire aux odeurs cul-cul la praline, mais bordel qu'est-ce que tu peux dire comme conneries Lundrah..
Je suis 100% d'accord avec l'autorité, mais je ne vois pas du tout le rapport entre l'autorité et les châtiments corporels ( ou moraux, voir les combos.) Je justifie mon expérience par des tests sur le terrain avec mes petits frères qui ont 10 ans de moins, pour m'entraîner pour plus tard ( merci les gars ! )
Message supprimé par son auteur.
Pour suivre le message de Sponsachtige, mon prof de CE2 était très ancienne école, il lançait des gommes sur ceux qui bavardaient ou leur tirait dessus avec une grosse agrafeuses (il visait à côté mais bon).

Une fois il m'a tiré les cheveux parce que mon cahier de brouillon était "mal tenu" et une petite claque pour finir. Problème, c'est mon père qui est venu me chercher à midi et qui m'a demandé pourquoi j'avais les yeux rouges (bah j'avais pleuré, oui je suis chochotte!
).

A la différence de Sponsachtige, mon père m'a cru et est allé voir l'instit'.

Sinon, mon grand-père me menaçait d'utiliser une "trique", une branche de noisetier effilée, un peu comme un fouet, il ne s'en est jamais vraiment servi, c'était plus pour nous calmer.

Ma grand-mère parlait de nous passer au martinet alors qu'elle n'en avait même pas sous la main...
J'ai eut droit a la "menace" du martinet ... a une époque ... jusqu'a ce que je m'aperçoive qu'il n'existait pas.

Un peu comme le pere noel ... une menace dans la vent ... mais qui avait bien bien marché pendant des années.

Heureux ceux qui croient sans voir, le royaume de l'obéissance leur est ouvert.
Faut être fou pour couper les lanières d'un martinet !!

Moins il y en a, plus ça fait mal !!!!!!


Citation :
Publié par Tortolini
Platon disait la même chose il y a 2300ans...
L'Histoire n'est pas une évolution continue, c'est plutôt cyclique.

Ainsi donc, il est tout à fait possible que nous soyons dans le même cycle qu'à son époque ........... avec la même fin : une décadence et un retour de bâton qui suit.
Citation :
Publié par pamoipamoi
Faut être fou pour couper les lanières d'un martinet !!

Moins il y en a, plus ça fait mal !!!!!!


L'Histoire n'est pas une évolution continue, c'est plutôt cyclique.

Ainsi donc, il est tout à fait possible que nous soyons dans le même cycle qu'à son époque ........... avec la même fin : une décadence et un retour de bâton qui suit.
Non, on réfléchit pas quand ça cuit.
Après ça passe à plus costaud et in-débrindillable. Pire quoi. Mais comme le dit Canivo, on aurait pu se faire violer tous les jours ah ah. Alors on va pas se plaindre d'être des ordures égoïstes à trente ans passés et à refuser obstinément de reproduire les gestes des géniteurs en devenant à notre tour, des peureux qui sont persuadés qu'on les écoute parce qu'on est "plus forts". Autant rester des cancrelas assistés qui culpabilisent et se font payer des séances de psychiatre par le trou de la sécurité sociale. Au moins ça ne fait pas des bombes humaines qui traînent dans la rue.

Quand aux conneries de Lundrah, c'est bien depuis avant Platon qu'on entend les même hé. Et qu'on répète que ce sont des conneries. Hélas.
Voyez, les gens éduqués à coups de trique ça ne fait pas forcément des gens tolérants.
J'attends l'exposé qui dit que les enfants on leur fait tout faire et que nous allons droit au gouffre. Hop.
AH UNE BONNE GUERRE BON SANG !
Ca remettrait les compteurs à l'heure ouais !
A l'époque cela se vendait aussi en "droguerie", là où l'on trouvait un peu de tout, avec des objets "ménagers".

J'en ai pris des torgnoles de martinets. Le pire c'est que souvent tu sentais passer le manche en bois avec les lanières (non non, amis obsédés, rien de sexuel ).

J'ai été éduqué avec d'autres enfants car ma mamie qui me gardait était nounou. C'était "à la dure" et parfois, lorsqu'elle était exédée (4-5 mômes dans un T3 parisien des années 50-60), je prenais un peu plus pour les autres.

Je ne connais pas un enfant qui lui en ait voulu. On a appris le respect comme ça, c'était une autre époque, même si je ne peux cacher que cela ma marqué. Aujourd'hui n'importe quelle personne qui a cette attitude serait traitée de torsionnaire; voir plus.

Petite anecdote, bien que j'ai aussi été attaché sur une chaise parce que jugé trop turbulant, je ne suis pas devenu fétichiste ou sado-maso (comme quoi).

Aujourd'hui avec le recul, ça a un côté pathétique, mais vrai. Chacun vit avec ses souvenirs plus ou moins heureux.
Citation :
Publié par Canivo
C'est drôle cette propension, que j'ai déjà notée, chez les enfants, à couper les lanières du martinet. Tous les gosses que j'ai connu ayant été « éduqués » avec cet instrument de torture ont dû le faire.
.
Je ne suis pas surpris, bizarrement, je ne reprocherais jamais à mes parents la baffe ou la fessée ou le ptit coin durant 3 plombes. Par contre les fois ou je me suis mangé le martinet je ne les oublierais jamais.
Voir un de ses parents se mettre en colère, saisir le martinet et vous chopper le bras, vous fouetter les parties tendres sentir les différentes lanières claquer une partie des jambes et des fesses. Cette putain de douleur ... !
Pétard ma soeur et moi on se démerdait pour découper proprement les lanières, mais bordel il faisait bien plus mal qu'avant ce con !!!

J'aime la description que fait Sponsachtige, j'ai eut la chance d'avoir des maîtresses et des maîtres sympathiques mais certains étaient de véritables pourritures. Une prof avait le tempérament et le caractère des profs qu'a pu connaître malheureusement Sponsachtige, j'espère qu'elle est morte comme une pauvre merde pour tout ceux qui sont passés par ses punitions !!!

La gifle et la fessée oui, l'humiliation et la torture non !!!
J'ai une petite cicatrice sur le nez qui vient de mon prof de Ce2.

Ce connard m'avais lancer une craie bien fort dans la gueule , je suis revenu un peu plus tard devant l'école quand j'avais 16/17ans et je lui es foutu une baffe en pleine poire , et bin il n'as pas rétorquer un seul mot le bougre.

A mon avis il as du soit se souvenir de moi , soit penser a tous les gosses qu'il a emmerder
Citation :
Publié par Sponsachtige scout
J'ai toujours détesté l'école, pour moi un lieu d'humiliation, où l'on apprend sous la contrainte et dans la trouille. Un endroit où l'on est continuellement en compétition.
je me suis decouvert une passion pour l'ecole et l'apprentissage mais un brin trop tard, a la toute fin de mes etudes. Je reve de refaire ma scolarité entierement avec d'autres attente, des besoins, des critiques, des objectifs qui different de ceux que j'avais a la base.

C'est dommage que tu te sois arreté sur une mauvaise impression de l'ecole. Je pense que l'ecole prend tout son sens apres le secondaire. L'application de ce ramassis de theories et de "nous admettrons" que je ne parvenais pas a avaler et qui m'ont donner de serieuses complications au moment ou j'en avais le plus besoin. L'ecole ou le prof est un collegue de travail, ou l'on reflechi ensemble avec passion sur un sujet autour d'un café. Les cours terminés, le soleil couché, personne n'a quitté sa place pour terminer ce que l'on a commencé chacun prennant a tour de role sa place au pupitre pour diriger le cours et tenter d'amener le groupe a la comprehension, le tout sans que personne ne soit obligé de faire appliquer une quelconque discipline, l'animateur se designant de lui meme.
Perso, mes parents m'ont souvent menacés, mon frere et moi, du martinet...
Pendant deux ans, j'ai du me contenter d'une définition simple: "Un truc qui fait très mal..."
Mais jamais je n'en avait vu de ma vie, et je ne savait meme pas ce que c'était, mes parents n'en avaient pas, et pourtant ils disaient qu'ils allaient s'en servir.

C'est seulement au bout de deux ans, que j'ai découvert de que c'était, un bout de bois avec des laniere en cuir, qu'un ami utilisait pour faire briller ses chaussures...

J'ai bien sur eu le droit aux gifles et féssées, mais jamais le poings, parfois le pied, ou le cahier sur la tete. Mes profs étant sympas jusqu'en 6°, je n'ai jamais eu de probleme de ce coté la (le seul prof ayant éssayé de m'en mettre une s'est retrouvé avec le poigné tordu, sans que je le fasse exprès, mais j'ai quand meme bien rigolé en voyant son visage passer du rouge vif au blanc craie, après que sa main ai touché mon coude alors que le bras continuait sa route...) Depuis, plus rien, si ce n'est que mon prof de français me dit que je suis un imbecile finit sans cervelle et qui devrait se concentrer au lieu de lancer des coups d'oeil sur la pendule...

Voila, 3615 Mylife...
Oh mais je n'ai pas baissé les bras ! Je reprends mes études après quatre années à bouriner pour obtenir un illusoire statut d'intermittent du spectacle.
Ma revanche à moi, devenir prof à mon tour. Rendre hommage au bons que j'ai croisé, rentrer dans les rangs d'une armée de passionnés.
Enseigner sous le coup de la vocation, de l'envie de révolutionner doucement, de faire comme on aurait aimé recevoir à l'époque.

Quoi que, j'aimerais assez me retrouver un jour face à eux, un peu comme CotCot.
Non pas offrir une bonne branlée mais trouver les bons mots. Mots que je cherche en m'endormant le soir d'ailleurs. La réplique ultime, bien mouchée, parfaite.
En venir aux mains je ne fais ça qu'avec les femelles.
Citation :
Publié par Slain
Petite anecdote, bien que j'ai aussi été attaché sur une chaise parce que jugé trop turbulant, je ne suis pas devenu fétichiste ou sado-maso (comme quoi).
Le fétichisme se construit plus tôt quand tu es bébé, avant 2 ans quoi, voilà

J'ai pris quelques coups de martinet et de ceinture étant petit mais rien de bien méchant, en plus j'ai eu une méningite à 5 ans et après le médecin a dit à mes parents qu'il fallait pas me contrarier pendant un an ou deux, bonheur , ce qui est sur c'est qu'ils l'ont pas acheter dans un sex-chop.
Citation :
Sponsachtige scout à dit : Au final, voila une écoeurante histoire aux odeurs cul-cul la praline, mais bordel qu'est-ce que tu peux dire comme conneries Lundrah..
Je te retourne le compliment... si on te payait à chaque fois que tu en dis une tu serais milliardaire... Comme ceci par exemple :
Citation :
En venir aux mains je ne fais ça qu'avec les femelles.
Ton cas est extrême, jamais rien entendu de pareil autour de moi... D'aillerus j'ai plutôt du mal à la croire.
Si tu es tombé sur des psychopathes c'est un manque de chance...
Ton histoire on la croirait sortie tout droit des misérables...

Franchement lorsque je vois la jeunesse d'aujourd'hui je suis catastrophée et c'est bien la politique de l'enfant roi, de l'enfant qu'on ne puni jamais qui provoque toutes ces dérives que l'on voit de nos jours.

Vous pouvez hurler et crier au scandale, mais lorsque je vois toute cette violence, le manque de respect, l'impolitesse, la paresse de la jeunesse d'aujourd'hui, je suis heureuse de ne pas en faire partie et je remercie mes parents et enseignants pour tout ce qu'il m'ont apporté.

Recevoir une bonne fessée méritée n'a jamais tué personne, je ne parle pas de coups de ceinture ou de coup de poing, juste d'une petite correction de temps en temps quand on faisait une grosse bêtise qui aurait pu avoir de graves conséquences.

au moins à l'époque on ne voyait pas de émissions télévisées sur des parents qui n'arrivent pas à contrôler des gosses de 4 ans...

J'ai bossé toute ma vie dans l'Education Nationale comme prof puis comme documentaliste, j'ai toujours eu d'excellentes relations avec les élèves mais je peux te dire que je ne leur ai jamais fait le moindre cadeau, j'ai puni mais jamais frappé qui que ce soit, mais des heures de colles bien méritées des tas !
Citation :
Publié par Lundrah
au moins à l'époque on ne voyait pas de émissions télévisées sur des parents qui n'arrivent pas à contrôler des gosses de 4 ans...
Et toi, comme un chef, tu en déduis que ça n'existait pas.
Bravo l'école nationale.
Citation :
au moins à l'époque on ne voyait pas de émissions télévisées sur des parents qui n'arrivent pas à contrôler des gosses de 4 ans...
Ce n'est pas parce que ces émissions n'existaient pas que ces situations n'existaient pas
Citation :
Publié par Lundrah
Ton cas est extrême, jamais rien entendu de pareil autour de moi... D'aillerus j'ai plutôt du mal à la croire.
Si tu es tombé sur des psychopathes c'est un manque de chance...
Ton histoire on la croirait sortie tout droit des misérables...
Ouais, étrange, j'ai aussi eu des professeurs qui nous tabassaient en primaire. Et même au collège tiens. C'est dingue non ?
Mais rien de comparable à la maison, c'est sur. Juste des baffes, des fessées cul-nu (la honte), des tirages d'oreille et des châtiments corporels (rester debout sans bouger pendant tous les cours d'une demi-journée).
Mais contrairement à l'Eponge, mes parents eux insistaient sur le fait sur les punitions étaient trop légères. Et ceux de mes amis itou
Les misérables mon cul. Tiens. C'est banal au possible.

La turbulence de la jeunesse a été inventée avec l'apparition du téléviseur
Ouille ouille.

Citation :
Prévert – Chanson des Sardinières



Tournez tournez
petites filles
tournez autour des fabriques
bientôt vous serez dedans
tournez tournez
filles des pêcheurs
filles des paysans

Les fées qui sont venues
autour de vos berceaux
les fées étaient payées
par les gens du château
elles vous ont dit l’avenir
et il n’était pas beau

Vous vivrez malheureuses
et vous aurez beaucoup d’enfants
beaucoup d’enfants
qui vivront malheureux
et qui auront beaucoup d’enfants
qui vivront malheureux
et qui auront beaucoup d’enfants
beaucoup d’enfants
qui vivront malheureux
et qui auront beaucoup d’enfants
beaucoup d’enfants
beaucoup d’enfants...

Tournez tournez
petites filles
tournez autour des fabriques
bientôt vous serez dedans
tournez tournez
filles des pêcheurs
filles des paysans.
Citation :
Publié par Lundrah
Alors avec mon frère, discrètement nous coupions les lanières pensant que moins il y en aurait moins ça ferait mal au derrière...
On en coupait une à chaque fois qu'elle l'utilisait, en cachette bien-sur et nous ne disions jamais qui était le coupable, ça nous a valu quelques "lignes à copier..."
Et ma mère nous disait, "si vous continuez à les enlever, je taperais avec le manche !"
Ce qu'elle n'a jamais fait, bien sur.
Ah tiens, nous aussi, mon petit frère et moi.
Quand le coup partait pour de vrai, non non, pas brandi juste pour faire peur, quand le coup partait donc, le jeu était de se cambrer à mort pour que le paternel rate son coup.

En revanche, une simple vue de cravache suffisait pour nous calmer.
Oui madame, l' équitation, ça éduque !

Citation :
Publié par Aylin
Moi j'avais une prof elle nous balançait les craies ou les éponges quand on écoutait pas!
Généralement je les renvoyais au tireur. Cancre ? Oui et alors ?
J'ai toujours été un monstre avec mes profs. Encore aujourd'hui, tiens !
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