L'enseignement en France et à l'étranger

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Publié par znog
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  • corriger une dictée c'est déjà possible,
  • une épreuve de maths cela me parait vraiment très faisable. Genre au-dessus de la copie scannée, proposer une surcouche avec une pré-correction pour faciliter le travail du correcteur en maths/physique, je pense que c'est déjà possible.
....Par contre une copie de philo, là carrément ca pose plein de problèmes
Pour la dictée uniquement si c’est tapé à l’ordi, parce que la reconnaissance de caractère c’est pas encore cela
Pour les math et la physique cela depend... si c’est juste du résultat alors oui, si c’est le développement ( surtout en physique) alors on en est encore autant loin qu’en philo.... car c’est pas du juste/faux....
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Publié par debione
Pour la dictée uniquement si c’est tapé à l’ordi, parce que la reconnaissance de caractère c’est pas encore cela
en théorie, je dirais que oui, il me semble que la reconnaissance de caractères a fait beaucoup de progrès. Je ne sais pas si l'écriture plus appliquée des collégiens est intrinsèquement plus facile à reconnaître que l'écriture des adultes. je dirais que oui...

Citation :
Pour les math et la physique cela depend... si c’est juste du résultat alors oui, si c’est le développement ( surtout en physique) alors on en est encore autant loin qu’en philo.... car c’est pas du juste/faux....
Vue la tête d'un corrigé de maths, ça me parait possible. Pas "de corriger à la place de", hein, mais d'assister le correcteur
J'ai l'impression que vous sous-estimez un peu les capacités d'apprentissage des I.A.

D'autre part, il ne semble pas non plus nécessaire que l'I.A. évalue des copies comme un être humain.
L'I.A. pourrait très bien évaluer une copie de philosophie sans analyser/raisonner/etc comme un prof de philosophie.

Enfin bon, on verra dans l'avenir ce que cela va donner.
Non mais vous pouvez retourner la chose dans tous les sens, oui des IA seront certainement de très bon correcteurs et peut être même meilleurs que des professeurs mais c'est comme les médecins, vous acceptez l'erreur humaine mais vous n'accepterez pas l'erreur de la machine donc ce n'est pas prêt d'arriver amha.

Pas la peine de vous expliquer que le bambino d'une bonne famille qui n'a pas le bac, cela sera la faute de la famille et donc procédure pour véirification de la note donc un vrai futur foutoir de première.

Les profs ont encore un peu de temps devant eux (10 ans je dirai avant que cela puisse rentrer dans les moeurs).
Citation :
Publié par Melchiorus
J'ai l'impression que vous sous-estimez un peu les capacités d'apprentissage des I.A.

D'autre part, il ne semble pas non plus nécessaire que l'I.A. évalue des copies comme un être humain.
L'I.A. pourrait très bien évaluer une copie de philosophie sans analyser/raisonner/etc comme un prof de philosophie.

Enfin bon, on verra dans l'avenir ce que cela va donner.
C'est sûr que vu les messages au dessus qui limitent une IA à être capable de repérer le résultat encadré d'une copie de maths...
Et en effet selon la façon d'entrainer et paramétrer l'IA ça peut essayer de reproduire la méthode de l'humain, ne le faire que partiellement via un paramétrage de features particulières à extraire, ou être un truc limite boite noire.. mais qui sort les notes correctes. Les derniers cas peuvent être bien rigolo et faire ressortir les biais des profs "modèles" d'ailleurs (cf les IA de recrutement par exemple, qui reproduisent les biais des recruteurs...).
Citation :
Publié par Colsk
Les profs ont encore un peu de temps devant eux (10 ans je dirai avant que cela puisse rentrer dans les moeurs).
10 ans, c'est si on investit suffisamment pour mettre la technologie en place. Et c'est de l'investissement supplémentaire, parce qu'on aura toujours besoin de professeurs le reste de l'année pour enseigner, et que donc il faudra investir en supplément des coûts actuels de l'enseignement. Sauf à considérer que l'IA pourrait aussi enseigner, auquel cas on n'est plus dans le même ordre de grandeur au niveau des délais.

Je te trouve particulièrement optimiste avec une décennie. J'ai personnellement du mal à voir d'où sort le pognon pour mettre en place une telle solution en France alors que l'état traîne des pieds pour payer trois francs six sous aux profs qui corrigent les copies.

Que ça rentre dans les mœurs, pourquoi pas, après tout on a tous passé notre code de la route corrigé par une machine. Que la population accepte de financer le système, ça me semble improbable en une décennie.
Citation :
Publié par TabouJr
Je te trouve particulièrement optimiste avec une décennie. J'ai personnellement du mal à voir d'où sort le pognon pour mettre en place une telle solution en France alors que l'état traîne des pieds pour payer trois francs six sous aux profs qui corrigent les copies.
par rapport au budget de l'EN je pense que c'est une goutte d'eau et que de toutes manières, d'autres pays/startups s'occuperont de développer On a vu cela sur la détection de plagiat 1, 2, c'est pas l'EN qui a développé des logiciels, pourtant aujourd’hui tous les pôles universitaires ont un abonnements pour vérifier les rapports et les essais rendus au format "fichier".

Mais est-ce qu'il s'agit bien d'IA ? Pour le début l'OCR pour déchiffrer ce qui est écrit, c'est bien de la reconnaissance basée sur des multiples exemples d'images (un jour on aura des capcha avec des copies de maths ? ), mais pour la suite il s'agit de comparer avec un corrigé adapté à chaque exercice. On n'a pas 1000 copies de bac à analyser/noter avant de corriger un sujet puisqu'il est nouveau à chaque fois.

Là je ne sais pas si c'est de l'IA ou une sorte de système expert ?
La question n'est pas trop de savoir ce que ça représente par rapport au budget de l'EN, la question est de savoir comment l'EN pourrait investir dans le sujet alors qu'elle a déjà du mal apparemment à payer les correcteurs. En plus, l'investissement et les coûts récurrents d'exploitation, ça ne se finance pas vraiment pareil.

Sinon, non, détecter les plagiat, ce n'est pas de l'IA. C'est récent parce que ça demande des ressources qui ne sont devenues abordables qu'assez récemment mais les technologies en œuvre sont, pour autant que je sache, disponibles depuis longtemps.

Par contre, la correction des épreuves du bac, c'est moins universel que la détection du plagiat. Je ne suis pas sûre qu'une entreprise non subventionnée se lance sur ce marché de niche à client unique.
Citation :
Publié par Colsk
Les profs ont encore un peu de temps devant eux (10 ans je dirai avant que cela puisse rentrer dans les moeurs).
A la rentrée 2013, chaque élève de 5e devait avoir une tablette puis ensuite tous les élèves (plan Hollande). 6 ans plus tard, rien...
http://www.cafepedagogique.net/lexpr...zjQvJgwzNgQADg
Alors dans 10 ans des correcteurs automatiques, je me gausse. C'est mal connaître l'EN.

Note qu'à titre personnel, je ne demande que ça, je préfère passer du temps à préparer et faire mes cours plutôt qu'à corriger des copies. C'est pour moi, et de très loin, le truc le plus relou du taf.
Citation :
Publié par Colsk
Non mais vous pouvez retourner la chose dans tous les sens, oui des IA seront certainement de très bon correcteurs et peut être même meilleurs que des professeurs mais c'est comme les médecins, vous acceptez l'erreur humaine mais vous n'accepterez pas l'erreur de la machine donc ce n'est pas prêt d'arriver amha.

Pas la peine de vous expliquer que le bambino d'une bonne famille qui n'a pas le bac, cela sera la faute de la famille et donc procédure pour véirification de la note donc un vrai futur foutoir de première.

Les profs ont encore un peu de temps devant eux (10 ans je dirai avant que cela puisse rentrer dans les moeurs).
Je me méfie énormément des projections, on croit toujours que c'est pour demain alors que... Suffit de voir la conduite autonome ou des milliards sont investi, on nous disait, dit, que c'est pour demain, demain c'est maintenant et... Ben excepté ou tout est bien balise il faut encore un volant, des pédales parce que non c'est pas au point.
Sinon, le plus gros problème et tu le soulignés en partie, c'est l'erreur... Quand un correcteur se plante, dans le pire des cas, tu reprends ce qu'il a corriger et voilà. Si l IA se plante, c'est potentiellement l'ensemble qu'il faut reprendre y compris ceux qui ont réussi...
Après quand je vois le niveau des traducteurs, c'est plus 30 voir 50 ans....
Ces histoires d IA me font furieusement penser à 2001 odyssée de l'espace... 😋 L'homme surestimé énormément ses propres capacité...
Quand tu vois qu'on n'est pas capables de retourner sur la Lune alors que n'importe quel smartphone bas de gamme enterre complètement la puissance d'Apollo ET du centre des opérations...
Citation :
Publié par TabouJr
Sinon, non, détecter les plagiat, ce n'est pas de l'IA. C'est récent parce que ça demande des ressources qui ne sont devenues abordables qu'assez récemment mais les technologies en œuvre sont, pour autant que je sache, disponibles depuis longtemps.
Non c'est de la simple comparaison de textes. Il y a des trucs mathématiques (le hashing), mais dans le fond c'est comme un moteur de recherche avec un % de similarité entre textes.

C'est juste un exemple de l'innovation dans les edutech, elle ne passe pas pas le ministère de l'éducation nationale français.

Citation :
Publié par TabouJr
10 ans, c'est si on investit suffisamment pour mettre la technologie en place. Et c'est de l'investissement supplémentaire, parce qu'on aura toujours besoin de professeurs le reste de l'année pour enseigner, et que donc il faudra investir en supplément des coûts actuels de l'enseignement. Sauf à considérer que l'IA pourrait aussi enseigner, auquel cas on n'est plus dans le même ordre de grandeur au niveau des délais.

Je te trouve particulièrement optimiste avec une décennie. J'ai personnellement du mal à voir d'où sort le pognon pour mettre en place une telle solution en France alors que l'état traîne des pieds pour payer trois francs six sous aux profs qui corrigent les copies.
Il y a une grosse différence entre un système centralisé (j'ai donné l'exemple du marché de la détection de plagiat, mais sur la correction de copies on a le logiciel SANTORIN qui est utilisé en ce moment pour le scan et la logistique de 85.000 copies d'examen et 2.200 correcteurs) et un projet décentralisé/universel (justement, on parle des tablettes). Ce n'est pas du tout les mêmes coûts, ni la même complexité de mise en place.

Le ministère adore les usines à gaz centralisées et il ne les gère pas toujours catastrophiquement : ParcourSup est le plus connu en ce moment.

Citation :
Publié par Melchiorus
Heu non, l'I.A. sera capable de corriger les exercices juste en se basant sur l'énoncé du sujet.
Se baser sur un corrigé serait du n'importe quoi.
Peut-être un jour, mais à mon avis, on aura bien avant des systèmes d'assistance à la correction, qui n'utilisera pas vraiment de l'IA mais de l'intelligence artificielle faible.

Pour la partie "reconnaissance de caractères", il y aura de la reconnaissance d'image (=des systèmes de vision qui correspondent plus à de l'IA). Et comme la reconnaissance de la voix, qui marche bien sur nos smartphones, ça fonctionne déjà pas mal.

mais on sera dans l'assistance au correcteur, impossible de le remplacer


Citation :
Publié par Xh0
A la rentrée 2013, chaque élève de 5e devait avoir une tablette puis ensuite tous les élèves (plan Hollande). 6 ans plus tard, rien...
http://www.cafepedagogique.net/lexpr...zjQvJgwzNgQADg
Alors dans 10 ans des correcteurs automatiques, je me gausse. C'est mal connaître l'EN.
C'est comme toujours, le cycle du hype : au début on se fait des illusions, mais à moyen terme on a une adoption qui progresse lentement, mais régulièrement.

Pour info, ma fille qui vient de terminer le collège a utilisé une tablette ces 4 dernières années et sans que cela ne soit un miracle, elle l'utilisait tous les jours pour une vaste variété de choses : manuel, travail en groupe, consultation de ses notes... mais c'est une démarche décentralisée, il faut former les profs, équiper les élèves (et ce n'est pas applicable dans n'importe quel collège; En REP rien que la gestion matérielle des vols/remplacements de tablettes est prohibitive. Croire que n'importe quel collégien est en situation de conserver/recharger/utiliser un unique iPad pendant 4 ans est une illusion, mais dans un collège privé, ca marche très bien moyennant 17€/mois).

Mais aujourd'hui la tablette est effectivement utilisée dans une bonne partie des collèges (il me semble que 20% des collèges sont privés et je dirais que la moitié sont passés à la tablette).

A la louche 68.000 élèves ? Alors c'est loin d'être universel, mais c'est quand même pas mal.

Et l'article du café pédagogique sur le rapport "accablant" de la Cour des comptes indique par exemple qu'il y a une tablette par élève dans les Bouches-du-Rhône (dans les REP de Marseille, j'ai du mal à croire que ça marche).



// edit : tant qu'on y est : je crois qu'Apple a définitivement pris ce marché avec son iPad. Outre la solidité du matériel, il y a maintenant toute une série de logiciels : gestion du parc de tablettes etc.... et une fois qu'administration et enseignants ont appris à utiliser Apple et que l'écosystème est en place, impossible d'en sortir ... ou alors il faut y aller très brutalement, un peu comme pour les réformes


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Dernière modification par znog ; 14/07/2019 à 11h09.
Vous me faites rire avec vos "I.A." (ça n'en est pas au demeurant) correctrices.
J'ai l'impression que beaucoup n'ont aucune idée de la qualité de la syntaxe et de l'écriture d'un élève lambda, qui te demande des capacités d'imagination bien au delà de la normale pour d'abord déchiffrer ce qui est écrit puis pour comprendre ce que l'élève voulait dire.

Alors, après, ça peut être très simple. Mot non reconnu -> erreur -> 0.

Après, en maths, ça ne suffit que pour lire un résultat. Pour le raisonnement, c'est comme pour de la philo' ou autre : on oublie dans un futur proche.
Citation :
Publié par Avrel
Après, en maths, ça ne suffit que pour lire un résultat. Pour le raisonnement, c'est comme pour de la philo' ou autre : on oublie dans un futur proche.
Même le raisonnement : je dirais que sous réserve d'apprendre aux élèves à rédiger leur raisonnement d'une certaine façon (ce qui est justement le but en mathématique), c'est pas impossible d'obtenir une aide à la correction pouvant traiter genre 70% des réponses à cette question.

FireShot Capture 361 - Annabac 2019 Maths Serie S Exercice1_ - https___fr.scribd.com_docum.png
Citation :
Publié par TabouJr
La question n'est pas trop de savoir ce que ça représente par rapport au budget de l'EN, la question est de savoir comment l'EN pourrait investir dans le sujet alors qu'elle a déjà du mal apparemment à payer les correcteurs. En plus, l'investissement et les coûts récurrents d'exploitation, ça ne se finance pas vraiment pareil.

Sinon, non, détecter les plagiat, ce n'est pas de l'IA. C'est récent parce que ça demande des ressources qui ne sont devenues abordables qu'assez récemment mais les technologies en œuvre sont, pour autant que je sache, disponibles depuis longtemps.

Par contre, la correction des épreuves du bac, c'est moins universel que la détection du plagiat. Je ne suis pas sûre qu'une entreprise non subventionnée se lance sur ce marché de niche à client unique.
L'EN ne va pas investir, cela serait trop beau.
Non le marché existe et est tentant pour les politiques, des entreprises privés vont le développer en parallèle d'autres projets proches et cela peut arriver très vite. Pour votre information, il y a déjà une IA qui réalise de meilleurs diagnostics statistiquement parlant que les médecins. Le marché des IA est également en plein essor.
Alors bien sur ce n'est pas le futur alpha et omega, je ne suis pas forcément friand de la chose par ailleurs, éthiquement parlant il y a plein à redire (Ricoeur vient à mon secours) mais une IA qui corrige, c'est vendeur et donc il y a de grande chance que cela soit développé.
En Angleterre avec la baisse des financements publics, les grammar schools sont invitées à collecter elles-mêmes des fonds via leurs associations de parents d'élèves.

Certaines lèvent ainsi plus de 100.000 euros par an.

Une grammar school c'est en gros l'équivalent d'un collège+lycée (11-18 ans) public (financement public) avec un examen à l'entrée (top 25%).
Et pour pas mal d'enfants, l'école primaire est une sorte de prépa pour passer cet examen d'admission (l'équivalent de l'âge de la 5ème en France).

10% des collèges-lycées sont de ce type : public, mais sélectif.

Revealed: how wealthy parents widen cash gap between state schools
https://www.theguardian.com/educatio...-school-divide

Pour les enseignants ici, imaginez ce que votre établissement serait avec 100.000€ en plus de son budget annuel actuel (et celui qui lève le plus de fonds atteint le million d'euros).

Sinon bien sûr, il y a le privé.

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Dernière modification par znog ; 14/07/2019 à 15h28.
surprenant

La phase principale de Parcoursup, la plate-forme nationale d’inscription dans l’enseignement supérieur, prend fin ce vendredi 19 juillet. Une grande partie des 900 000 candidats sont déjà fixés sur leur sort. Deux jours avant la clôture, 88 % des 640 000 lycéens ont reçu, depuis le 15 mai, une ou plusieurs propositions d’admission dans une formation, tout comme 75 % des 149 000 étudiants en réorientation.

Mais à côté de lycéens et d’étudiants, il existe sur Parcoursup toute une nébuleuse de candidats aux profils variés : des adultes en reprise d’études, souvent en quête de reconversion professionnelle. Ils étaient plus de 110 000 cette année sur Parcoursup. « Nous constatons une forte augmentation de ces candidats par rapport à 2018. C’est une surprise de cette édition »,

(...)

La précédente, Admission post-bac (APB), était réservée aux moins de 26 ans. Sur Parcoursup, les candidats qui souhaitent faire un cursus post-bac en reprise d’études n’ont pas à postuler dans chaque université ou chaque établissement un à un (même s’ils le peuvent toujours) : ils dressent une liste de vœux, et leur dossier est examiné dans tous les établissements demandés. De quoi se simplifier la vie et maximiser ses chances en multipliant les candidatures, en particulier dans les formations sélectives.

(..)

Conçu à l’origine comme un outil d’orientation et de pré-inscription pour les lycéens, Parcoursup pourrait aussi devenir, au fil des ans, l’un des pivots de la formation tout au long de la vie.


Les adultes en reconversion, public surprise de Parcoursup https://www.lemonde.fr/campus/articl...9_4401467.html


c'est intéressant, cela signifie que l'on pourrait aussi avoir un système de ce type pour les candidatures en master 1, par exemple
Message supprimé par son auteur.
C'est fini le temps où on passait sa vie à faire le même métier, dans la même boîte. A peu près depuis le temps où seule la paie de l'homme suffisait à entretenir toute la famille souvent nombreuse.
le truc qui bloque, par contre c'est que via Parcoursup, ils sont considérés comme des étudiants "formation initiale" : exeunt les dispositifs d'aide à la reconversion et autres crédits de formation prévus par le droit du travail
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