Alors je suis ouvert à la preuve du contraire parce que je n'ai pas forcément les connaissances scientifiques, mais l'acte sexuel ne découle pas forcément d'un désir de procréation.
Mais si j'ai une preuve de l'inverse crédible je l'étudierais.
Et d'ailleurs je me demande bien pourquoi on met des capotes si on baise juste pour procréer, l'humain est vachement con lol
In fine si en vérité, c'est même l'organsiation de la sexualité dans le groupe (qui a le droit de monter sur qui ?) qui donne les premières hiérarchies et jette les bases des premières styratifications sociales chez les vertébrés supérieurs.
La nature est justement bien faite pour l'homme, le sexe est agréable, contrairement par exemple au tigres où c'est littéralement un enfer pour la femelle, et la femelle humaine est techniquement disponible à la reproduction toute l'année.
C'est ça qui en partie explique notre dominance numéraire. Si le sexe était un enfer l'espèce serait déjà éteinte. C'est parce que baiser c'est bon qu'on s'est reproduits comme des lapins partout sur le globe.
Cette hypersexualité est aussi liée à notre aggressivité intra spécifique. Plus l'aggressivité intra spécifique d'une espèce est élevée, plus elle est sociale, plus ses codes et rituels sociaux sont complexes, plus sa sexualité est développée et peut sortir du simple cadre reproductif.
Les bonobos ont bien une utilisation sociale du sexe comme soupape servant à canaliser l'aggressivité intra spécifique des mâles non dominants, qui ne peuvent donc transmettre leur gênes, deviennent frustrés et dangereux, et là on y voit entre autre des relations homosexuelles. Mais ce qui motive le coit reste la volonté de transmettre les gènes, et lorsque l'heure vient c'est plus du tout comme ça que ça se passe, la sélection génétique et donc sexuelle, et par la même la compétition qui en découle avec tous ses rituels reprends ses droits.
Dernière modification par Capitaine Courage ; 01/08/2019 à 12h08.
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