Voila, vous pouvez taper sur le ps tant que vous voulez, la realité elle est la.
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Et qu'a gauche, c'est pas des anges, mais c'est tres loin de se qui se fait a l'ump.
C'est une petite réalité ça.
La réalité, c'est que pas un pays, pas un système "moderne" n'aura été capable de survivre à l'étape "mise en application". Du communisme au capitalisme, de la gauche à la droite, en passant par les conservateurs, les modérés, les extrémistes ou absolument qui/quoi que se soit... tous n'aboutissent en bout de ligne qu'à la paupérisation de la masse, l'utilisation à tord et à travers, le gaspillage vertigineux même des ressources, et la concentration du pouvoir dans des mains de moins en moins nombreuses. Un pic du niveau de vie moyen entre la moitié et les 2/3 de leurs apogées pour les moins mal foutus, éventuellement, mais de toute façon pour voir le tout redescendre vertigineusement pour les générations suivantes.
C'est valable pour les États-Unis, le Brésil, le Portugal, la France, la Russie, la Chine, le Japon, l'Australie... Quand aux pays "pas assez développés" pour être dans la première danse, non seulement je n'ai pas l'impression que le reste du globe les aident tellement à "sortir la tête hors de l'eau", mais je me demande même si ils ne les tiennent pas plutôt juste sous le niveau. Certainement pour plein de bonnes raisons, entre autre parce que ça permet à 3.5 milliards de gens de vivre comme des Dieux de l'Olympe dans un luxe et confort exceptionnel permettant d'oublier toute la misère du pauvre monde, jusqu'à la fin des temps.
Ah ben non tiens, quelques centaines de milliers de personnes tout au plus, pendant que les autre voient leur horizon partir en sucette. Bah, il doit bien y avoir d'autre bonnes raisons probablement, je ne suis pas spécialiste.
Y a bien un point commun à tout ces systèmes, quand on regarde : la tête de chacun d'entre eux est farcie de "castes", soit des grandes écoles soit de gens de bonnes familles. Pendant que les citoyens font tourner la machine, sans aucune chance d'avoir un mot à dire sur ce qu'il se passe en haut. Dans la réalité s'entend, là ou ceux des grandes écoles et/ou bonnes familles font d'une façon comme d'une autre dire à un vote ce que l'on veut qu'il dise.