Les dernière pubs d'Orange scandaleuses

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Citation :
Publié par seito
Faudrait peut être arrêter de vouloir surproteger les enfants, allez faire un tour en Inde, y a des enfants qui voient des cadavres dans la rue, c'est pas pour autant qu'ils en font un malaise?
à mon avis , sa doit pas leur fait plaisir de voir des Hommes,femmes mortes ,avec des mouches dessus etc.


Omg la vidéo , c'est chaud quand même.
Citation :
Publié par Eric & the Raven
Tiens ce week end j'étais à un festival, on était tous maquillés et déguisés en zombies, on a vu plus d'enfants s'amuser de nous qu'autre chose.

Curieux. Ils n'auraient donc pas peur de l'irrationnel ?
Ce WE j'étais a une soirée fétichiste c'était interdit -18 .
Citation :
Publié par seito
A mon sens ceci:
est super dérangeant...
Un enfant susceptible d'être terrorisé par cette pub n'aurait de toute façon rien à faire devant une chaîne généraliste à une heure de grande écoute.

Sur quelles chaînes & à quelles heures passe cette pub ??? Avant le journal de 20h sur la 1.

Ha ok, super !!!
Quand on réalise une oeuvre de fiction filmée pour le cinéma ou pour la télévision, on utilise un certain nombre de procédés techniques dont l'objectif est de faire oublier la barrière de l'écran au spectateur.

Ces procédés de mise en scène tendent à l'impliquer dans une expérience émotionnelle la plus directe possible alors qu'il est tranquillement assis dans son fauteuil (ou son canapé s'il regarde la TV).

Ils constituent ce qu'on appelle la "grammaire cinématographique" (ou "grammaire de l'image" comme vous préférez).

Il existe une grande diversité de variables ajustables à loisir permettant de transmettre des impressions via l'image: le cadrage, l'éclairage, la musique, le montage etc.

C'est le réalisateur du film qui décide de la grammaire qu'il va employer suivant les intentions qu'il projette dans sa réalisation: faire pleurer, faire rire, faire bander, faire peur...

Certains effets sont immédiatement perceptibles comme étant des procédés de mise en scène (ex: musiques suggérant une ambiance précise), d'autres sont très difficiles à percevoir (ex: les ellipses de montage).

C'est ce qu'on appelle la magie du cinéma: vous voyez une série d'images fixes et vous croyez qu'elles bougent, vous voyez un acteur avec des prothèses en latex et vous croyez que c'est un monstre, vous voyez Chuck Norris tuer 8265 vietcongs et vous... heu non rien.

Les réalisateurs de publicité utilisent ce genre de procédés pour rendre les produits attrayant, donner une image publique précise à une marque ou simplement pour éveiller la curiosité de la ménagère de moins de 50 ans alors qu'elle repasse son linge devant sa télévision.

Les publicités dont il est question dans ce sujet ne font pas exception à la règle et sont mises en scène de manière aussi sophistiquée que se peut.

Avant de poursuivre, il faut savoir que de la même manière qu'un enfant croit au Père Noël, un enfant croit au Cinéma: peu ont du recul sur ce qu'ils voient et les procédés de mise en scène -même les plus galvaudés ou mal fichus- marchent à plein régime sur eux.

Pour vous en faire une idée précise, allez voir une séance de cinéma avec des 3-6 ans et au lieu de regarder le film, regardez leurs expressions faciales pendant la séance, vous connaîtrez alors le véritable sens du mot "fascination".

Cette faculté d'immersion totale se désagrège plus ou moins avec l'âge pour laisser la place au sens critique chez les adultes (je vous rassure: pas chez tout le monde, la lecture de ce fil le confirme).

Je résume avant de conclure:

Nous avons d'un côté une série de procédés de mise en scène favorisant l'immersion du public dans une oeuvre de fiction au service d'une publicité et de l'autre le type de public le plus sensible à l'immersion imaginable qui regarde son écran.

La question est: ce public sera-t-il choqué par le contenu de la publicité ?

Ma réponse, après visionnage des deux versions de la dite publicité est:

Non pour la première celle avec l'ersatz d'Alien, Oui pour la seconde celle avec Dracula.

Pourquoi me direz vous ?

Parce que les codes de mise en scène utilisés sur la première pub sont ceux du sitcom ou de la parodie: à part une légère contre plongée pendant le dialogue entre la créature et le père de famille, rien ne transcrit la tension, l'éclairage est même particulièrement puissant pour une scène censée se dérouler à la tombée de la nuit ce qui se ressent sur le costume en latex dont le plastique brille, la lumière en délimite aussi clairement les contours, éliminant du même coup toute dramatisation liée à l'incertitude de sa forme.

Bref: si le réalisateur voulait nous faire peur, c'est foireux.
Mais n'oublions pas: il ne voulait pas nous faire peur.

Sur la seconde en revanche les jeux de lumières sont différents, beaucoup plus sombres, on peut également noter la présence de sang -élément horrifique s'il en est- sur les protagonistes, l'incongruité de l'entrée en scène du premier monstre (la tête en bas) ajoute également une dimension de déstabilisation à la composition du cadre, bref: même sans être dans la tension la plus brute, il y a assez d'éléments pour générer un certain malaise chez le spectateur réceptif.

Voilà pour ce qui est des explications.

Une dernière remarque concernant Téléchat:

Vu d'aujourd'hui cette émission destinée aux enfants pourrait passer pour du Lynch ou du Cronenberg sous LSD.

Inventaire à la Prévert:

Éclairage criard avec des contrastes inquiétants, marionnettes animales qui parlent et agissent comme des hommes mais avec des dialogues surréalistes, personnages improbables issus de la fusion entre des organes et des machines (MicMac), mise en scène d'entités bio-organiques microscopiques aux yeux brillants dans le noir (les gluons) et même un homme en costume de singe poussant des hurlements féroces (PubPub).

Si tu rajoutes à ça la qualité sonore d'époque (bande magnétique) qui a subi l'érosion du temps, tu obtiens un cocktail molotov ultra-anxiogène prêt à transformer tous nos chérubins en héros de romans Lovecraftiens.

Ce qui nous ramène à la problématique de ce fil: les procédés de mise en scène qui sont supposés traduire la violence, la tension, la peur ou le suspens peuvent avoir plus ou moins d'impact suivant le contexte dans lequel on les utilise, c'est la même chose pour ceux de la comédie et des programmes pour enfants.

Pour éviter les traumatismes le mieux c'est d'éduquer ses enfants à l'image pour leur permettre de trouver le recul nécessaire, celui qui canalise l'angoisse.

Mais si vous êtes vous même trop réceptifs devant les films, ce que vous leur transmettrez aura probablement l'effet inverse de celui escompté.

Voilà je crois que j'ai dit ce que je voulais dire: Parents, démerdez-vous !

Maly.
Citation :
Publié par malau
est super dérangeant...
Un peu choqué, mais surtout par.. On leur file pas de cours de tir au poste de police, 1 balle dans la vitre du mec, le reste dans les airs, 50 fois il aurait du se faire descendre le mec au fusil, ça me fait plus peur que le final.. Qui reste bien choquant..

Je suis bien d'accord avec la petite analyse de Malypa, mais il faut pas non plus oublier que la première grande capacité de l'homme c'est sa capacité à parler et à apprendre. Combien de fois j'ai entendu prononcé par des gamins (Souvent de la famille) "C'est pour de faux" "C'est fait semblant son costume" et j'en passe.. Aussi parce que les parents le leur ont dit la première fois où ils ont eu peur. Je pense pas qu'un enfant sera plus choqué par la première pub que la pub avec Dracula, même si foncièrement la pub avec Dracula aura plus de chance de susciter la peur chez l'enfant que l'alien.

Par contre, tu fais la même pub avec un random tueur style Jason, avec une arme à la main et un masque de Hockey, là le mome aura bien plus peur qu'un dracula qui même avec des oreilles de fou de la bave bah reste costumé les pieds en bas ou pas. Ce qui fait surtout peur aux enfants, c'est le reflet de la réalité, c'est les scènes où il a du mal à se dire "C'est juste pour de faux." (Pour ça que les films, où l'ambiance prime sonore et visuelle impressionne souvent), un spot de pub même avec Dracula je doute, c'est trop court, il suffit de dire si le mome tombe dessus, t'as vu les costumes en souriant, en général voila c'est passé il pensera à autre chose. Un truc d'horreur plus réaliste, je dis pas.

Je regardais Buffy avec mon neveu de 4 ans, il adore, il a pas peur du tout, et les costumes l'amusent. Par contre, l'autre jour il jouait dans le salon, je regardais le début de Bones d'un oeil, bah au moment de coucher il m'en a parlé pour demander si c'était du vrai ou pas. Pourtant il a juste vu un gars lever la main sur un autre. Ca lui a fait plus peur. :S
Pas oublier le rapport à la réalité qui prime pour moi même sur l'ambiance, du moins dans une pub..
Citation :
Publié par Malypa
Pour éviter les traumatismes le mieux c'est d'éduquer ses enfants à l'image pour leur permettre de trouver le recul nécessaire, celui qui canalise l'angoisse.

snip

Voilà je crois que j'ai dit ce que je voulais dire: Parents, démerdez-vous !

Maly.
C'est certainement le fond du problème, que ces pubs soient a même de choquer ou non la télé n'est pas à une puéricultrice et trop de parents ont beaucoup moins de méfiance par rapport à elle que vis à vis d'autres médias.

Globalement le paysage télévisuel français (et francophone) est assez contrôlé tant en matière de pub que de contenu mais cela ne dispense en rien les parents de leur rôle de surveillance et d'éducation.
Citation :
Publié par Malypa
Je résume avant de conclure:

Nous avons d'un côté une série de procédés de mise en scène favorisant l'immersion du public dans une oeuvre de fiction au service d'une publicité et de l'autre le type de public le plus sensible à l'immersion imaginable qui regarde son écran.

La question est: ce public sera-t-il choqué par le contenu de la publicité ?

Ma réponse, après visionnage des deux versions de la dite publicité est:

Non pour la première celle avec l'ersatz d'Alien, Oui pour la seconde celle avec Dracula.

Pourquoi me direz vous ?

Parce que les codes de mise en scène utilisés sur la première pub sont ceux du sitcom ou de la parodie: à part une légère contre plongée pendant le dialogue entre la créature et le père de famille, rien ne transcrit la tension, l'éclairage est même particulièrement puissant pour une scène censée se dérouler à la tombée de la nuit ce qui se ressent sur le costume en latex dont le plastique brille, la lumière en délimite aussi clairement les contours, éliminant du même coup toute dramatisation liée à l'incertitude de sa forme.

Bref: si le réalisateur voulait nous faire peur, c'est foireux.
Mais n'oublions pas: il ne voulait pas nous faire peur.

Sur la seconde en revanche les jeux de lumières sont différents, beaucoup plus sombres, on peut également noter la présence de sang -élément horrifique s'il en est- sur les protagonistes, l'incongruité de l'entrée en scène du premier monstre (la tête en bas) ajoute également une dimension de déstabilisation à la composition du cadre, bref: même sans être dans la tension la plus brute, il y a assez d'éléments pour générer un certain malaise chez le spectateur réceptif.
Tu précises la question telle que : "Le public sera-t-il choqué ?" et tu y réponds en faisant comme si la question était : "Le public aura-t-il peur ?".

Il y a d'autres conditions que le simple sentiment de peur pour pouvoir parler de choc psychique, a fortiori de traumatisme.
Quid des gosses qui ont peur des clowns? Supprimons Ronald? [edit : merde, pas lu la page precedente...]

Que ce thread survive, c'est du plein domaine du surrealisme.
Citation :
Publié par Armand Laenor
Un peu choqué, mais surtout par.. On leur file pas de cours de tir au poste de police, 1 balle dans la vitre du mec, le reste dans les airs, 50 fois il aurait du se faire descendre le mec au fusil, ça me fait plus peur que le final.. Qui reste bien choquant..
Ya un monde entre tirer dans un stand et riposter quand on te tire dessus à l'arme automatique.
Y en a vraiment qui ont du temps à perdre à faire les vierges effarouchées devant une pub qui n'a rien d'effrayant.

Ce qu'un enfant peu voir dans la rue, en regardant les politique, et dans la vie en général est une bien plus grande source d'angoisse.
Citation :
Publié par Communard
Tu précises la question telle que : "Le public sera-t-il choqué ?" et tu y réponds en faisant comme si la question était : "Le public aura-t-il peur ?".

Il y a d'autres conditions que le simple sentiment de peur pour pouvoir parler de choc psychique, a fortiori de traumatisme.
J'ai effectivement fait l'impasse sur cette dimension.

Disons que de la façon dont je vois les choses, il y a une infinité d'états transitoires entre le simple effet de surprise et la terreur pure qu'on pourrait sous conditions qualifier de traumatique.

Après je ni psychologue, ni psychanalyste, donc je ne m'amuserais pas à diagnostiquer le traumatisme de manière "clinique", il m'est impossible de dire à priori qu'une image "traumatisera" un enfant.

D'une manière générale si tu mets en scène le sexe ou la mort tu joues avec le feu auprès d'un public très réceptif (enfant mais aussi adulte), et ceci même en restant dans l'implicite au niveau de ce que tu montres réellement à l'écran.

C'est ça la puissance de l'image: en fait tu n'as pas besoin de vraiment montrer, la suggestion fonctionne beaucoup mieux sur le spectateur (c'est un des ressorts majeurs de la publicité).

La plus belle illustration de ce principe c'est "Massacre à la Tronçonneuse" de T.Hooper.

Le film, par son montage et même son titre, te suggère la plus explicite débauche d'effets sanglants imaginables mais il n'en est rien: on croit avoir vu Leatherface accrocher cette femme sur un croc de boucher mais ce n'est pas le cas car tout se passe "hors-champ".

Je disais que les effets d'ellipse de montage étaient parmi les plus difficiles à repérer et ce n'est pas une blague, aujourd'hui encore des gens ayant vu ce film en salle sont persuadés d'avoir vu des tripes jaillir et des mares de sang couler ce qui n'est absolument pas le cas.

On a tendance à projeter nos attentes sur les images, quand des posteurs disaient que l'alien de la publicité semble moche et factice à l'image ils sont dans le vrai, c'est même totalement délibéré puisque l'idée sous-jacente est de désamorcer le potentiel anxiogène de la scène pour la faire basculer dans le registre de la comédie.

Réellement choquer un public adulte aujourd'hui est difficile vu notre habitude de l'image et des codes de mise en scène, mais le fait est que ça fonctionne quand même toujours assez bien si tu explores les diverses réponses au fil qui relatent des expériences personnelles.

Deux catégories de témoignages retiennent mon attention dans ce cadre:

1) Les gens qui jugent a priori "insupportables" les films dits "d'horreur" sans jamais en voir (et même parfois sans jamais en avoir vu).

2) Les gens qui se rappellent avec effroi des films qu'ils ont vu à une époque de leur vie ou ils étaient facilement impressionnables (enfance/adolescence en général).

Pour les premiers, visionner 80% de la production de bandes horrifiques disponibles sur le marché ne peut leur apporter qu'une énorme déception vu la surcharge symbolique qu'ils ont associé au genre, presque aucun film ne peut arriver au niveau d'efficacité horrifique que leur cerveau a fixé à leur insu.

Pour les seconds, un petit visionnage analytique de l'objet de leur souvenir devrait les faire doucement rire.

Notez que si le film vous fait toujours peur et que vous ne le trouvez toujours pas ridicule après en avoir décortiqué les processus de mise en scène, c'est que probablement c'est un chef d'oeuvre.

Pour revenir dans le sujet, je dirais que présenter un monstre laid au public ne suffit pas à le terroriser ("Toxic Avenger" ne fait pas peur), il faut lui adjoindre par le biais de la mise en scène une dimension symbolique qui touchera aux angoisses inconscientes de chacun.

Pour les enfants ces angoisses sont clairement identifiables, je ne sais pas ce que cette référence vaut mais ça me semble pertinent:

Citation :
CHRONOLOGIE DES PEURS (Pelsser, 1989)

De 6 à 18 mois:
Peur de l'étranger, de l'abandon, de l'obscurité, de l'inconnu, de la solitude, des objets, des personnes et des endroits non familiers.

De 2-3 ans à 6-7 ans:
Peur de rester seul dans le noir, d'être pourchassé, mordu, dévoré, peur de la nuit, des zones obscures, des personnages fantastiques (monstres, fantômes, géants, ogres, sorcières), des gros animaux (chien, loup, chat, serpent, etc.) et des petits animaux (souris, insectes, chauves-souris, etc.). Peur des éléments naturels (eau, feu, tonnerre, éclairs), des hauteurs et du vide (vertige), de personnes particulières (médecin, dentiste, étranger, barbu), des espaces vastes ou réduits (agoraphobie et claustrophobie), de la ville (circulation, bruit, accident), de la saleté, des microbes, de la maladie et de la mort.

De 6-7 ans à 12 ans:
Peur de l'école, des relations à autrui (sociophobie), des sports, des accidents, de la violence physique, de l'enlèvement, de la mort des parents, de l'incendie de la maison, de la mort.

De 12 à 18 ans:
Peur de l'école, des relations avec l'autre sexe, des activités sexuelles, de la laideur ou de la difformité physique, de l'échec scolaire, de parler en public.
Le personnage de l'alien dans la publicité perd sa dimension de "personnage fantastique" parce qu'il est inséré dans un contexte culturellement délimité pour l'enfant qui est celui de la relation à l'autorité parentale.

Vu sous cet angle il ne peut pas les traumatiser, c'est une cartouche à blanc.

De plus, deux éléments viennent renforcer ce que j'avais écris sur la seconde publicité:

Les monstres sont mis en scène à l'extérieur de la maison, autrement dit en dehors de la cellule familiale et le dialogue semble suggérer une relation de déférence entre l'adulte et le monstre (vouvoiement), ce qui place le monstre dans la position de "personne particulière" (voir dans la classification).

Je viens d'avoir une petite idée pour illustrer le propos de manière parlante.

Regardez cette célèbre image (voir pièce jointe) qui représente l'acteur coréen Cho-Min-Sik dans le film Old Boy, il tient un marteau comme s'il allait frapper et affiche un air déterminé.

Si on la montre à un enfant au milieu de plusieurs autres images en lui disant qu'il s'agit d'une photo d'un film ou un acteur joue le rôle d'un évadé et qu'on lui précise que c'est "le gentil" de l'histoire, il ne se passera probablement rien.

Mais si on lui dit "regarde ce méchant monsieur, il viendra se cacher sous ton lit pour te couper ton zizi avec son marteau si tu n'es pas sage"... il est possible qu'il passe par la suite quelques nuits bien agités et qu'il refoule cette idée de castration qui le poursuivra pendant toute sa vie.

Ce qu'il faut voir c'est que l'image elle même est presque anodine si on ne la contextualise pas.

(NB,le défaut de cette démonstration c'est que l'image elle-même est déjà en partie contextualisée vu ce qu'elle représente, mais passons outre).

Le "traumatisme potentiel" est induit par les procédés de mise en scène, pas par ce qui est effectivement montré (ça pourrait tout aussi bien être une pub pour une marque de marteau).

*Putain la tartine !*

Maly.
Miniatures attachées
Cliquez sur l'image pour la voir en taille réelle

Nom : old_boy.jpg
Taille : 600x400
Poids : 43,1 Ko
ID : 71925  
Personnelement je trouve plus choquante (mais pas pour les meme raisons certes) :
Pourquoi les enfants aiment t'ils les voitures ?
Parce qu'il aiment aller au mac drive (en gros)

Associer la voiture au mac do pour un enfant qui voient cette pub... et apres il faut manger equilibré si on veux pas devenir comme les americains...
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