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L'ETAT de la mobilisation dans VOS facs
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Les étudiants et membres du personnel (IATOSS et EC) qui occupaient la Sorbonne ont été délogés hier soir.
Quant à la question des manques de débats, logiquement, on en est à un stade où la quasi totalité des étudiants est informée de ce qui se passe, et les débats de fond ont déjà eu lieu, et largement, que ce soit sur les décrets ou la LRU. C'est d'ailleurs primordial, parce qu'il est inconcevable d'envisager une quelconque forme d'action, sans avoir fait au préalable un débat de fond, et que les gens sachent pour quoi ils vont agir, pour quoi ils vont voter. A l'heure actuelle, les votes ne peuvent plus porter que sur des modalités d'action, mais il est toujours nécessaire avant de discuter du fond. C'est pour ça que les réferendums sont totalement débiles et bidon, on demande aux étudiants alors pour ou contre le blocage? Mais si on n'a pas discuté avant, si y'a pas eu de débat de fond, ça ne rime àn rien. Je pense que personne n'est de toute façon, toujours pour le blocage, quelles que soient les circonstances et les revendications. On ne peut l'être que sur un point particulier, dans un contexte particulier, et si les moyens d'action alternatifs ont échoué ou sont de toute façon inefficaces. Les référendums devraient quand même d'abord demander pour ou contre la LRU. |
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Ah, et quoi?
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[Modéré par Elazhul : On se privera des incitations à la violence. ]
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#20997
Invité
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Message supprimé par son auteur.
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#20997 |
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Citation :
En théorie oui, les débats de fond ont du avoir lieu... en théorie. Le soucis, c'est depuis l'année dernière, j'ai remarqué un effet particulièrement pervers lors de ces grands mouvements. Au lieu d'avoir un déroulement "classique" du type analyse de la situation, débat sur le fond, débat sur les moyens, les étudiants se foutent mais royalement des deux premiers points pour directement arriver sur ce qu'ils considèrent comme le plus important, blocage ou non. Ils n'ont que ce mot à la bouche que ce soit les bloqueurs ou les anti-bloqueur (je déteste d'ailleurs cette "terminologie" mais elle résume malheureusement la position des étudiants). C'est pourquoi je dis que le blocage parasite les "débats" car les étudiants se focalisent là dessus en délaissant totalement le reste. Au final, la question du blocage a trois conséquences nocives : il parasite les vrais débats de fond, il encourage la division les étudiants en deux camps pour au final donner une mauvaise image du milieu universitaire au reste de la population (c'est subjectif nous sommes bien d'accord mais c'est mon ressenti en tant qu'associatif lorsque je vais démarcher le privé dans le but de créer des partenariats). Le problème... c'est le seul moyen ayant un vrai impact rapide sur le gouvernement. Tous les autres moyens qui consistent à encourager la pédagogie au près des étudiants et du reste de la population, à faire des actions humoristiques afin de faire passer un message, etc. sont totalement inefficaces si ils ne sont pas accompagner d'un blocage (au minimum partiel). Cela me dépite mais c'est ainsi... |
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#20997
Invité
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Message supprimé par son auteur.
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#20997 |
Anthelme Noirot |
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A l'ufr de droit de Paris X la direction envisage de ne pas faire de partiels pour le second semestre, donc ceux, comme moi, qui ont raté leur premier seraient condamné a retaper.
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