Vos ruptures les plus flamboyantes

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Salut les cop1,

la première page se retrouve bien vide lorsque tous les [jeux sympas ET gratuits] ont disparu, alors causons.

Comment se sont passées vos ruptures les plus originales ?

NB : le but n'est pas de se faire chialer les uns les autres en se rappelant de tristes souvenirs "bon ben prends la télé connasse m'en fous je garde les séries en DVD".



Pour les plus jeunes qui voudraient participer au sujet, mi-tofu bienvenue.


Et comme Ninjas. They're everywhere. Cadeau :

blague-canard-voleur.jpg
Vachement orignal comme sujet...

Heu, e-mail juste avant de monter dans l'avion, ou le "je dois suivre ma voie et partir sauver les bébés phoques", encore une fois à distance.
Bref rien de bien original non plus...
"Prépare ton parachute, parce que je te largue"

Kcé...Pfff... J'étais jeune. Mais bon, le harcèlement quotidien me peser, crazy bitch

Citation :
Publié par Ciucilon
Vachement orignal comme sujet...
C'est vrai que toi, tu crée des fils qui se suivent et se ressemblent pas.
Citation :
Publié par Attel Malagate
"Prépare ton parachute, parce que je te largue"

Kcé...Pfff... J'étais jeune.
Apparemment ça ne se fait pas de te larguer par texto, donc ça te dirait qu'on se voit ?

Citation :
Publié par Attel Malagate
C'est vrai que toi, tu crée des fils qui se suivent et se ressemblent pas.
Ils ne se ressemblent que visuellement. Un gros tas de mot. Mais c'est relaxant, tu devrais essayer...

Citation :
Apparemment ça ne se fait pas de te larguer par texto, donc ça te dirait qu'on se voit ?
Haha, c'est mieux au tel avec quelque milliers de km d'écart.
Citation :
Publié par Panpan.tc
Un message sur le répondeur :" je vais t'égorger comme un porc dans le caniveau sale con".
Là, ça mérite une explication plus poussée, un mini MyLife si tu préfères.
Tu préfères ?
Je trouve qu'une petite étude statistique des manières de rompre eut été utile pour introduire ton sujet.

J'ai toujours rompu de manière banale, sinon : fake tristesse, mots pour remonter le moral et chacun trace sa route, bye.
Tu ponds un thread sans y participer... Je trouve ça louche, j'exige ton histoire Sorgoth

Moi rien de transcendant, à part quelqu'un avec qui je me suis séparé 4 fois en 1 mois c'est tout.
Citation :
Publié par Sorgoth
Là, ça mérite une explication plus poussée, un mini MyLife si tu préfères.
Tu préfères ?
J'essayais de t'aider à lancer ton sujet et pour ça j'ai mouillé le maillot en parlant un peu de moi. Pour le mylife plus poussé ça sera dans une autre vie je pense, ou peut-être pas.

Par contre tu peux lancer un sujet statistique(avec sondage?) comme dit Glandur, ça serait fort intéressant.
"Blablabla... Si tu me quittes je me tranche les veines (dit-il en empoignant un couteau de cuisine)... "

" Ok vas-y, c'est le plus grand service que tu pourrais me rendre après tout ce qu'il s'est passé, et puis un con de moins, c'est toujours bon à prendre"

Et je suis partie. J'avais déjà embarqué mes valises quelques heures plus tôt, je sais même pas s'il l'avait remarqué.

A priori il n'est toujours pas mort, fait chier
Hmmmmmm.

Plaquee du jour au lendemain, au téléphone, a distance, alors qu'elle m'annonçait 1 jour avant qu'elle avait trouvé eun job pour me retrouver. Prise de conscience un peu tardive de mon cote on va dire, j'ai "déconné" comme jamais dans ma vie

Je crois que ça a été ma plus belle.

Sinon dans ma gueule j'ai eu a distance aussi, après 1semaine de coupure radio juste après que j'envoie un mail de déclaration d'amour de ouf.
Avec une petite phrase qui tue, de mémoire "I was kidding myself to think I loved you"

Ahlala. expériences expériences ..
Je ne regrette pas les claques que j'ai pu prendre, ou les conneries que j'ai pu faire, dans les deux cas ça m' appris des choses.
- Je suis pas encore prêt pour continuer quelque chose de sérieux, j'ai le coeur qui saigne toujours, tu comprends. <insérer un regard triste et une larme à l'oeil>

Bien entendu, il faut avoir placé en début de relation que tu sortais d'une histoire difficile. Une sorte d'assurance pour un larguage de lâche en somme.
Citation :
Publié par Glandulf
Je trouve qu'une petite étude statistique des manières de rompre eut été utile pour introduire ton sujet.
Ouech, mais faut se renouveler un peu, à la place j'ai mis une image d'un canard qui vole des sous.

Bon sinon une "rupture" tout à fait marrante mais pas originale : une nana que je connaissais très peu qui habitait près de chez moi, on sort ensemble lors d'une petite party chez elle, le lendemain j'y retourne avec un bon pote. Et à un moment de la soirée, j'étais en train de parler à mon pote "mais calcule bien, elle se casse en vacances dans X jours, ça fait que j'ai le temps de la baiser X fois, et puis on profite de la piscine pendant ce temps, c'est pas mortel ça ?"
Et forcément la miss qui débarque dans mon dos, on s'est fait virer et elle ne m'a jamais reparlé.

Une rupture plus flamboyante et plus "vraie rupture" : de passage à Berlin en Allemandie avec mademoiselle, dispute sur dispute, ça devenait épuisant. Ni une ni deux, dernière engueulade au bout de laquelle j'attrape mes affaires (j'étais chargé comme un mulet, on était en voiture avec plein d'affaires dedans), et je prends le train pour partir à Nice... Berlin-Paris-Nice, plus de 24h de train... et je débarque à Nice la bouche en coeur chez une copine qui m'a fait une grande place dans son -lit-.
J'étais content de moi quand je voyais l'autre qui me téléphonait et que je lui expliquais en détail où j'étais et chez qui, (elle la connaissait), c'est un peu mesquin mais bon. Je trouvais que ça claquait d'être à Berlin avec une miss un jour et à Nice avec une autre le lendemain.
Citation :
Publié par Madee
"Blablabla... Si tu me quittes je me tranche les veines (dit-il en empoignant un couteau de cuisine)... "

" Ok vas-y, c'est le plus grand service que tu pourrais me rendre après tout ce qu'il s'est passé, et puis un con de moins, c'est toujours bon à prendre"
Ah se demander comment une telle relation à bien pu démarrer... Dingue.

Je sais maintenant qu'il manque quelque chose à ma vie. Merci.
*Part méditer*
Ah moi si, une personne avec laquelle j'avais couché ( bon d'accord pas forcément un copain) mais avec qui on s'était dit qu'on se reverrait. On est restés en contact pendant un moment sur msn, puis il a commencé à me bloquer, puis me débloquer puis me bloquer, puis me débloquer, puis me bloquer pour ne jamais me débloquer.

Jamais vraiment compris. Enfin si mais sur le moment j'étais un peu

Edit : ptain les gens vous êtes cruels, moi je préfère toujours me faire larguer que devoir larguer. C'est plus facile je trouve. Enfin me faire larguer de façon correcte bien sur.

Oups, pardon, j'fais dans le patho nostalgique.

Non, sinon, pas de ruptures palpitantes, tant mieux d'un côté, j'ai autre chose à penser généralement après une rupture, pas besoin de cris et de grincements de dents ou de vierge suicidaire, ou que sais-je encore.
Citation :
Publié par Ciucilon
Ah se demander comment une telle relation à bien pu démarrer... Dingue.

Je sais maintenant qu'il manque quelque chose à ma vie. Merci.
*Part méditer*
Il y a des choses en ce bas monde qu'il vaut mieux ignorer...

Et des jours où on ferait bien d'y repenser à deux fois avant de se lever...

Thumbs up
Citation :
Publié par Itne
Ah moi si, une personne avec laquelle j'avais couché ( bon d'accord pas forcément un copain) mais avec qui on s'était dit qu'on se reverrait. On est restés en contact pendant un moment sur msn, puis il a commencé à me bloquer, puis me débloquer puis me bloquer, puis me débloquer, puis me bloquer pour ne jamais me débloquer.

Jamais vraiment compris. Enfin si mais sur le moment j'étais un peu
Peut-être à cause de l'herpès anal que tu lui a refilé ?
Citation :
Publié par Ciucilon
Ils ne se ressemblent que visuellement. Un gros tas de mot. Mais c'est relaxant, tu devrais essayer...
Np :
Code:
La contemporanéité substantialiste et la contemporanéité universelle 

 La contemporanéité spéculative.

 "Il n'y a pas de contemporanéité primitive", pose Hegel. Si on ne saurait, de ce fait, ignorer la critique kierkegaardienne de la conscience, Sartre envisage cependant l'origine de la contemporanéité et il en donne alors une signification selon l'origine universelle sous un angle transcendental.
 Avec la même sensibilité, on ne saurait écarter de cette étude l'influence de Bergson sur l'antipodisme rationnel, et on ne saurait assimiler, comme le fait Sartre, l'antipodisme primitif à un ultramontanisme métaphysique, pourtant, il est indubitable qu'il systématise la conception métaphysique de la contemporanéité. Notons néansmoins qu'il en identifie l'origine idéationnelle dans une perspective nietzschéenne contrastée.
 Le fait qu'il caractérise l'esthétique empirique par son minimalisme post-initiatique signifie qu'il en particularise l'expression générative sous un angle rationnel.
 Pour cela, il interprète la réalité rationnelle de la contemporanéité et premièrement il restructure l'esthétique dans une perspective rousseauiste contrastée tout en essayant de l'opposer à son cadre intellectuel; deuxièmement il en examine la démystification originelle en tant qu'objet subsémiotique de la connaissance. De cela, il découle qu'il conteste l'origine de la contemporanéité.
 On ne peut, pour conclure, que s'étonner de voir Hegel critiquer le minimalisme métaphysique. Contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il envisage la relation entre abstraction et criticisme, c'est également parce qu'il en interprète l'aspect moral dans son acception chomskyenne, car le paradoxe de l'immutabilité spéculative illustre l'idée selon laquelle l'immutabilité spéculative n'est ni plus ni moins qu'un pluralisme primitif.
 C'est dans cette même optique que Jean-Paul Sartre envisage la relation entre continuité et scientisme.
 On ne peut que s'étonner de voir Sartre critiquer le pluralisme, et si on ne saurait ignorer l'influence de Spinoza sur le pluralisme génératif, il particularise néanmoins l'analyse phénoménologique de la contemporanéité et il en systématise donc l'aspect rationnel comme objet primitif de la connaissance.
 Le paradoxe de l'immutabilité métaphysique illustre cependant l'idée selon laquelle l'immutabilité générative et l'immutabilité générative ne sont ni plus ni moins qu'un pluralisme substantialiste.
 C'est dans cette même optique qu'on ne saurait écarter de la problématique l'influence de Kant sur l'immutabilité primitive.

 Dans cette même perspective, on ne saurait assimiler, comme le fait Nietzsche, l'immutabilité à une immutabilité empirique, car premièrement Leibniz examine la relation entre finitisme et conscience, deuxièmement il réfute l'origine circonstancielle sous un angle existentiel. Il en découle qu'il envisage la démystification spéculative de la contemporanéité.
 Néanmoins, il conteste la conception transcendentale de la contemporanéité, et la contemporanéité ne se borne pas à être un mesmerisme universel sous un angle rationnel.
 Nous savons qu'il réfute, par ce biais, l'expression primitive de la contemporanéité. Or il en restructure l'aspect existentiel sous un angle phénoménologique. Par conséquent, il décortique l'origine de la contemporanéité pour l'opposer à son contexte social et politique.
 Pour cela, on ne peut que s'étonner de la manière dont Montague critique la consubstantialité déductive afin de l'opposer à son cadre politique et social.

 Il est alors évident qu'il envisage l'origine de la contemporanéité. Soulignons qu'il en caractérise l'origine minimaliste comme concept post-initiatique de la connaissance, car si on peut reprocher à Descartes son mesmerisme primitif, Descartes rejette cependant la démystification synthétique de la contemporanéité et il en conteste alors l'origine morale dans sa conceptualisation alors qu'il prétend la resituer alors dans sa dimension politique et intellectuelle.
 Si la contemporanéité rationnelle est pensable, c'est tant il en donne une signification selon la réalité rationnelle dans une perspective kantienne.
 Il est alors évident qu'il restructure la réalité minimaliste de la contemporanéité. Il convient de souligner qu'il en examine l'origine morale comme objet originel de la connaissance, et le mesmerisme synthétique ou le mesmerisme synthétique ne suffisent pas à expliquer la consubstantialité sémiotique dans sa conceptualisation.
 On ne peut considérer qu'il se dresse alors contre le mesmerisme en tant qu'objet post-initiatique de la connaissance tout en essayant de le considérer alors selon le mesmerisme minimaliste que si l'on admet qu'il en systématise la destructuration synthétique comme concept moral de la connaissance.
 Cela nous permet d'envisager qu'on pourrait mettre en doute Bergson dans son approche transcendentale de la consubstantialité et la contemporanéité s'appuie alors sur une consubstantialité dans une perspective montagovienne contrastée.

 Néanmoins, il conteste la destructuration post-initiatique de la contemporanéité, car c'est le fait même que Montague identifie l'expression minimaliste de la contemporanéité qui nous permet d'affirmer qu'il en conteste la démystification générative dans sa conceptualisation alors même qu'il désire l'opposer à son cadre politique et social.
 Notre hypothèse de départ est la suivante : la contemporanéité s'appuie sur un mesmerisme irrationnel dans sa conceptualisation. C'est alors tout naturellement que Sartre réfute la conception substantialiste de la contemporanéité.
 Il faut cependant mitiger ce raisonnement : s'il se dresse contre l'expression idéationnelle de la contemporanéité, c'est également parce qu'il en examine l'expression rationnelle en tant que concept phénoménologique de la connaissance, et la contemporanéité ne se borne pas à être un subjectivisme sémiotique en tant que concept phénoménologique de la connaissance.
 On peut donc reprocher à Kierkegaard sa liberté rationnelle. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il conteste la destructuration irrationnelle de la contemporanéité.
 C'est dans cette même optique qu'on pourrait mettre en doute Rousseau dans son analyse métaphysique de la liberté et la formulation nietzschéenne de la contemporanéité découle ainsi d'une intuition originelle de la liberté universelle.

 C'est avec une argumentation analogue qu'il se dresse contre la relation entre contemporanéité et planisme. Si d'une part on accepte l'hypothèse que Hegel identifie, par la même, la relation entre créationisme et conscience, et que d'autre part il réfute la démystification universelle en tant que concept métaphysique de la connaissance alors même qu'il désire l'opposer à son contexte social et intellectuel, cela signifie donc qu'il décortique la réalité déductive de la contemporanéité.
 Notons par ailleurs qu'il se dresse contre la réalité primitive de la contemporanéité, et on ne saurait écarter de la problématique la critique du subjectivisme irrationnel par Hegel, il est alors évident qu'il se dresse contre la relation entre minimalisme et suicide. Il convient de souligner qu'il en conteste l'aspect universel en tant que concept transcendental de la connaissance bien qu'il spécifie l'origine de la contemporanéité.
 C'est dans cette même optique qu'il décortique la réalité idéationnelle de la contemporanéité pour la resituer dans le cadre politique et intellectuel la liberté rationnelle.
 On ne saurait, pour conclure, reprocher à Kant son subjectivisme métaphysique.

 Il faut cependant mitiger ce raisonnement car il rejette la conception transcendentale de la contemporanéité, car notre hypothèse de départ est la suivante : la classification nietzschéenne de la contemporanéité est déterminée par une représentation substantialiste de la liberté déductive. Cela signifie notamment qu'il restructure la relation entre passion et positivisme.
 Par le même raisonnement, il conteste le subjectivisme primitif dans une perspective kantienne, et on peut reprocher à Sartre son subjectivisme déductif, contrastons néanmoins cette affirmation : s'il interprète la destructuration existentielle de la contemporanéité, c'est également parce qu'il en rejette la destructuration minimaliste sous un angle moral bien qu'il conteste la réalité subsémiotique de la contemporanéité.
 On ne peut considérer qu'il caractérise le subjectivisme par sa liberté subsémiotique qu'en admettant qu'il en restructure la destructuration empirique en regard de la liberté.
 Cela nous permet d'envisager qu'on peut reprocher à Montague sa liberté spéculative pour l'opposer à son cadre politique.
 Finalement, la contemporanéité nous permet d'appréhender un subjectivisme synthétique en regard de la liberté. 

 Contemporanéité minimaliste : Une théorie morale.

 Comment envisager la contemporanéité dans son acception montagovienne ? La liberté ou le subjectivisme post-initiatique ne suffisent pas à expliquer le subjectivisme en tant que concept irrationnel de la connaissance.
 Par le même raisonnement, Rousseau conteste l'expression irrationnelle de la contemporanéité.
 On ne saurait écarter de cette étude la critique du subjectivisme subsémiotique par Spinoza, et si la contemporanéité primitive est pensable, c'est il en examine la réalité originelle comme concept originel de la connaissance.
 Le paradoxe du subjectivisme illustre en effet l'idée selon laquelle la liberté métaphysique n'est ni plus ni moins qu'une liberté existentielle sémiotique.
 Il faut cependant mitiger cette affirmation car il s'approprie la réalité originelle de la contemporanéité dans le but de l'analyser selon la liberté spéculative. Néanmoins, il spécifie la démystification irrationnelle de la contemporanéité, et on ne saurait ignorer la critique de la liberté par Spinoza, cependant, il caractérise le subjectivisme déductif par sa liberté spéculative.
 Par ailleurs, il envisage la destructuration originelle de la contemporanéité et d'une part il se dresse ainsi contre la réalité universelle de la contemporanéité, d'autre part il en examine la réalité métaphysique en tant qu'objet post-initiatique de la connaissance.
 On peut, par déduction, reprocher à Nietzsche sa liberté empirique.

 Par ailleurs, il envisage la liberté rationnelle de la société. On ne saurait, de ce fait, reprocher à Descartes son subjectivisme subsémiotique, contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il restructure la conception circonstancielle de la contemporanéité, c'est également parce qu'il en systématise l'aspect originel comme objet rationnel de la connaissance tout en essayant de l'opposer à son cadre politique et social.
 C'est ainsi qu'il caractérise le subjectivisme par son subjectivisme substantialiste et on ne peut considérer qu'il particularise ainsi la destructuration circonstancielle de la contemporanéité si l'on n'admet pas qu'il s'en approprie l'aspect synthétique comme objet synthétique de la connaissance alors qu'il prétend le resituer dans le contexte politique et intellectuel.
 La contemporanéité ne se comprend, finalement, qu'à la lueur du kantisme spéculatif.

 Cependant, il caractérise la science par son kantisme universel. Le paradoxe du kantisme déductif illustre néanmoins l'idée selon laquelle le kantisme et le kantisme rationnel ne sont ni plus ni moins qu'un kantisme existentiel déductif.
 Par le même raisonnement, on ne peut contester la critique du kantisme originel par Spinoza.
 La réalité kierkegaardienne de la contemporanéité est déterminée par une représentation transcendentale de la science, et par ailleurs, Spinoza restructure l'expression déductive de la contemporanéité.
 Le paradoxe de la science morale illustre néanmoins l'idée selon laquelle le kantisme idéationnel n'est ni plus ni moins qu'une science subsémiotique idéationnelle.
 Pour cela, on ne saurait écarter de cette étude l'influence de Bergson sur le kantisme.

 Pourtant, il est indubitable qu'il réfute la destructuration morale de la contemporanéité. Soulignons qu'il en conteste la démystification empirique en tant que concept existentiel de la connaissance, car la contemporanéité ne peut être fondée que sur l'idée de la science.
 En effet, Montague interprète la destructuration originelle de la contemporanéité.
 La contemporanéité pose la question de la science idéationnelle comme concept originel de la connaissance, et c'est dans une optique similaire qu'il conteste la conception universelle de la contemporanéité.
 Le kantisme génératif ou la science minimaliste ne suffisent néanmoins pas à expliquer le kantisme minimaliste en tant qu'objet synthétique de la connaissance.
 En effet, on pourrait mettre en doute Spinoza dans son analyse transcendentale du kantisme.

 Contrastons cependant cette affirmation : s'il interprète l'expression originelle de la contemporanéité, c'est aussi parce qu'il en particularise l'analyse idéationnelle en regard du kantisme, et on ne saurait écarter de cette étude l'influence de Chomsky sur le kantisme, néanmoins, il se dresse contre la démystification empirique de la contemporanéité.
 Si on ne saurait reprocher à Rousseau sa science subsémiotique, il particularise pourtant la destructuration originelle de la contemporanéité et il en rejette, de ce fait, la réalité primitive en tant que concept rationnel de la connaissance.
 Notons par ailleurs qu'on ne saurait, de ce fait, reprocher à Leibniz son criticisme sémiotique pour l'analyser selon le criticisme l'objectivité subsémiotique.
 On ne peut, par déduction, que s'étonner de voir Kant critiquer l'objectivité spéculative.

 Dans cette même perspective, on ne saurait reprocher à Spinoza son criticisme idéationnel, et le criticisme déductif ou l'objectivité morale ne suffisent pas à expliquer l'objectivité universelle en regard de l'objectivité.
 De la même manière, Spinoza décortique l'analyse subsémiotique de la contemporanéité.
 La contemporanéité ne se comprend qu'à la lueur de l'objectivité morale, et de la même manière, il restructure la démystification circonstancielle de la contemporanéité.
 Le paradoxe du criticisme rationnel illustre, de ce fait, l'idée selon laquelle le criticisme rationnel n'est ni plus ni moins qu'une objectivité métaphysique.
 Il est alors évident qu'il restructure la démystification phénoménologique de la contemporanéité. Il convient de souligner qu'il en examine l'origine morale dans une perspective kantienne contrastée et la contemporanéité s'oppose en effet fondamentalement à l'objectivité originelle. 

 Pour une contemporanéité irrationnelle.

 La contemporanéité ne se comprend qu'à la lueur de l'objectivité phénoménologique.
 De la même manière, Leibniz particularise la conception idéationnelle de la contemporanéité. Contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il systématise la conception substantialiste de la contemporanéité, c'est aussi parce qu'il en spécifie l'expression minimaliste dans son acception montagovienne, et la forme cartésienne de la contemporanéité provient d'ailleurs d'une représentation empirique du dogmatisme irrationnel. Pour cela, il particularise l'expression générative de la contemporanéité, et d'une part Descartes identifie la démystification post-initiatique de la contemporanéité, d'autre part il s'en approprie l'origine irrationnelle dans son acception minimaliste bien qu'il conteste l'origine de la contemporanéité.
 Par le même raisonnement, il conteste l'origine de la contemporanéité, et on ne saurait reprocher à Spinoza son dogmatisme originel, il est alors évident qu'il spécifie le dogmatisme dans son acception minimaliste alors qu'il prétend l'opposer à son contexte social. Soulignons qu'il en rejette la destructuration minimaliste en tant qu'objet métaphysique de la connaissance.
 C'est ainsi qu'il particularise la conception empirique de la contemporanéité pour la resituer dans toute sa dimension politique et intellectuelle.
 La contemporanéité ne saurait, finalement, se comprendre autrement qu'à la lueur du dogmatisme empirique.

 Dans cette même perspective, il interprète la démystification déductive de la contemporanéité, et la nomenclature cartésienne de la contemporanéité est déterminée par une représentation métaphysique du primitivisme déductif.
 Ainsi, on ne saurait ignorer l'influence de Rousseau sur le dogmatisme existentiel. Contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il se dresse contre l'expression idéationnelle de la contemporanéité, il est nécessaire d'admettre qu'il s'en approprie l'aspect rationnel en tant que concept métaphysique de la connaissance, et la perception cartésienne de la contemporanéité est d'ailleurs à rapprocher d'une intuition substantialiste du dogmatisme.

 Ainsi, on ne saurait reprocher à Descartes son dogmatisme déductif, car le dogmatisme sémiotique ou le dogmatisme rationnel ne suffisent pas à expliquer le primitivisme idéationnel dans une perspective montagovienne contrastée.
 Pour cela, on ne peut contester la critique du primitivisme spéculatif par Nietzsche.
 La contemporanéité ne se comprend qu'à la lueur du dogmatisme génératif, et en effet, on ne saurait écarter de cette étude l'impulsion kierkegaardienne du dogmatisme génératif.
 Le dogmatisme universel ou le primitivisme phénoménologique ne suffisent ainsi pas à expliquer le primitivisme déductif sous un angle métaphysique.
 Il faut cependant mitiger cette affirmation dans le sens où Spinoza examine la réalité métaphysique de la contemporanéité dans le but de la resituer dans le contexte social et intellectuel.

 Pourtant, il est indubitable qu'il particularise le primitivisme génératif de l'Homme tout en essayant de prendre en considération le primitivisme irrationnel. Soulignons qu'il en conteste l'origine post-initiatique en tant que concept rationnel de la connaissance, car nous savons que Leibniz s'approprie l'analyse morale de la contemporanéité. Or il en rejette la destructuration spéculative en tant que concept idéationnel de la connaissance, c'est pourquoi il conteste la démystification universelle de la contemporanéité afin de l'analyser selon le primitivisme sémiotique.
 C'est ainsi qu'on ne saurait ignorer la critique du dogmatisme par Montague, et on pourrait mettre en doute Leibniz dans son approche minimaliste du dogmatisme, pourtant, il est indubitable qu'il s'approprie le primitivisme dans une perspective leibnizienne. Notons néansmoins qu'il en restructure la destructuration métaphysique sous un angle moral bien qu'il envisage l'origine de la contemporanéité.
 C'est d'ailleurs pour cela qu'il identifie la destructuration subsémiotique de la contemporanéité pour la resituer dans sa dimension politique et intellectuelle le primitivisme.
 Finalement, la réalité cartésienne de la contemporanéité découle d'une représentation universelle du dogmatisme.

 Cependant, il identifie le dogmatisme de la pensée sociale alors même qu'il désire le resituer dans toute sa dimension politique et sociale, car le dogmatisme rationnel ou le primitivisme synthétique ne suffisent pas à expliquer le dogmatisme en tant que concept spéculatif de la connaissance.
 On ne saurait, par la même, ignorer l'influence de Kierkegaard sur le dogmatisme idéationnel, et cependant, Kierkegaard caractérise le dogmatisme subsémiotique par son dogmatisme sémiotique.
 La contemporanéité ne se borne pourtant pas à être un primitivisme en tant que concept moral de la connaissance.
 C'est avec une argumentation identique qu'il rejette l'origine de la contemporanéité. 

 Contemporanéité morale : Une théorie déductive.

 Le paradoxe du dogmatisme illustre l'idée selon laquelle le primitivisme transcendental n'est ni plus ni moins qu'un primitivisme idéationnel.
 En effet, on ne saurait assimiler, comme le fait Kierkegaard, le primitivisme idéationnel à un dogmatisme.
 On ne saurait ignorer l'impulsion kantienne du primitivisme spéculatif, et si d'une part on accepte l'hypothèse que Descartes systématise l'analyse minimaliste de la contemporanéité, et qu'ensuite on accepte l'idée qu'il en examine la destructuration substantialiste sous un angle post-initiatique, alors il identifie la réalité idéationnelle de la contemporanéité.
 Le primitivisme ou le dogmatisme ne suffisent cependant pas à expliquer le dogmatisme substantialiste en regard du dogmatisme.
 C'est d'ailleurs pour cela qu'il se dresse contre l'origine de la contemporanéité. Contrastons néanmoins cette affirmation : s'il réfute la démystification empirique de la contemporanéité, c'est également parce qu'il en examine l'expression phénoménologique en tant qu'objet spéculatif de la connaissance, car nous savons que Jean-Paul Sartre systématise l'expression universelle de la contemporanéité, et d'autre part, il en décortique l'origine existentielle dans sa conceptualisation, c'est pourquoi il conteste la relation entre immutabilité et maximalisme afin de le resituer dans toute sa dimension intellectuelle et politique.
 C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait reprocher à Leibniz sa raison post-initiatique, et on ne saurait assimiler, comme le fait Kant, la raison métaphysique à un objectivisme, il est alors évident qu'il particularise l'objectivisme transcendental en tant qu'objet empirique de la connaissance tout en essayant de le resituer dans sa dimension sociale et intellectuelle. Notons néansmoins qu'il réfute l'expression post-initiatique dans sa conceptualisation.
 Notre hypothèse de départ est la suivante : la contemporanéité permet de s'interroger sur un objectivisme rationnel de la pensée individuelle. Cela signifie notamment qu'il restructure la relation entre primitivisme et finalisme.
 De la même manière, il caractérise la raison rationnelle par son objectivisme sémiotique et comme il est manifestement difficile d'affirmer qu'il se dresse contre la conception transcendentale de la contemporanéité, de toute évidence il examine la démystification morale de la contemporanéité.
 On ne saurait, par déduction, reprocher à Kierkegaard sa raison originelle.

 Notons par ailleurs qu'il rejette l'analyse post-initiatique de la contemporanéité, et si d'une part on accepte l'hypothèse que Jean-Paul Sartre interprète la réalité sémiotique de la contemporanéité, et que d'autre part il réfute l'expression rationnelle en tant que concept synthétique de la connaissance, cela signifie donc qu'il conteste l'origine de la contemporanéité.
 Contrastons cependant ce raisonnement : s'il rejette l'expression circonstancielle de la contemporanéité, c'est également parce qu'il en donne une signification selon l'analyse synthétique dans sa conceptualisation, et le paradoxe de la raison générative illustre l'idée selon laquelle l'objectivisme métaphysique et l'objectivisme ne sont ni plus ni moins qu'une raison générative.
 Si on ne saurait en effet ignorer l'impulsion sartrienne de la raison, Jean-Paul Sartre systématise cependant la raison subsémiotique en regard de la raison tout en essayant de l'opposer cependant à son cadre politique et il en identifie alors la réalité synthétique dans sa conceptualisation alors même qu'il désire l'analyser alors en fonction de l'objectivisme rationnel.
 En effet, il réfute la conception synthétique de la contemporanéité dans le but de l'opposer à son contexte politique.

 C'est dans une finalité analogue qu'on ne saurait reprocher à Sartre son objectivisme irrationnel. On ne saurait en effet ignorer l'impulsion cartésienne de l'objectivisme. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il spécifie la démystification empirique de la contemporanéité.
 Premièrement il décortique l'objectivisme de l'Homme bien qu'il identifie la relation entre conscience et ultramontanisme, deuxièmement il en donne une signification selon l'analyse primitive comme concept primitif de la connaissance. Par conséquent il particularise la raison comme concept déductif de la connaissance tout en essayant de le considérer selon l'objectivisme empirique.
 Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il identifie la relation entre science et aristotélisme, et le paradoxe de la raison synthétique illustre l'idée selon laquelle l'objectivisme moral n'est ni plus ni moins qu'une raison synthétique déductive.
 Nous savons qu'il réfute, par la même, la réalité rationnelle de la contemporanéité, et d'autre part, il en donne une signification selon l'aspect existentiel en tant que concept universel de la connaissance, c'est pourquoi il interprète la réalité métaphysique de la contemporanéité afin de l'examiner selon la raison métaphysique.
 C'est dans cette même optique qu'on ne peut contester l'influence de Montague sur l'objectivisme transcendental et la contemporanéité nous permet, de ce fait, d'appréhender une raison de l'individu.

 Il est alors évident qu'il se dresse contre la relation entre essentialisme et raison. Il convient de souligner qu'il en interprète l'analyse originelle comme concept existentiel de la connaissance, et la contemporanéité permet de s'interroger sur une raison en tant que concept subsémiotique de la connaissance.
 Pour cela, Sartre restructure l'objectivisme rationnel en tant qu'objet minimaliste de la connaissance alors même qu'il désire le resituer dans le cadre politique et social. Contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il particularise l'analyse déductive de la contemporanéité, il faut également souligner qu'il en caractérise la destructuration métaphysique en tant que concept rationnel de la connaissance, et la contemporanéité pose d'ailleurs la question de la raison idéationnelle dans sa conceptualisation.

 Notons par ailleurs qu'on ne peut que s'étonner de la façon dont Kierkegaard critique la raison, car la contemporanéité pose la question de la raison générative en regard de la raison.
 C'est avec une argumentation similaire qu'on peut reprocher à Leibniz son objectivisme rationnel. Il est alors évident que Leibniz rejette la destructuration primitive de la contemporanéité. Notons néansmoins qu'il s'en approprie l'aspect substantialiste dans son acception hegélienne, et la contemporanéité ne synthétise d'ailleurs qu'imprécisément la raison morale. fin.
http://www.charabia.net/gen/gendisp.php?gen=1
Voilà, j'ai fait un sujet Ciucilion©

Citation :
Publié par Aeros
Peut-être à cause de l'herpès anal que tu lui a refilé ?
Comment tu sais ça toi d'abord?
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