Cette nourriture que vous aimiez, mais qui hélas vous emplira de dégoût pour toujours

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Salut à tous !
Je m'appelle Coin-coin le Canapin, je viens de découvrir le bar depuis quelques années.

Je sais qu'un jour, vous êtes tombé malade. Ce jour-ci, vous avez mangé quelque chose que vous aimiez bien.
Vous avez été malade ; pourquoi? Peut-être à cause de la nourriture, peut-être pas. Là n'est pas le cruel problème que je vais vous présenter succinctement.

Depuis ce jour, vous n'aimez plus cette nourriture. Pas forcément que le goût vous répugne ; mais votre inconscient lie de manière tenace l'état dans lequel vous étiez cette journée (mal) et la nourriture consommée.

Fut un temps, je consommais des pizzas jambon fromage champignons tomate oignons œuf en chausson (je veux dire, en fait ils faisaient une pizza et refoutaient bêtement une pâte à pizza sur le dessus en gros, mais qu'importe) à ma pizzeria préférée. Que je les aimais !


Mais un jour, par un malencontreux hasard, je suis tombé malade. J'ai attrapé un petit virus ma foi fort polisson qui m'a fait vomir un nombre de fois tout à fait déraisonnable toute la journée.

Depuis lors, la moindre vision de cette pizza lorsque mon fidèle et apprécié colloc en achetait me rebutait. L'odeur me répugnait. Le goût me semblait (j'ai essayé, tel un warrior) fade et de toute manière mon esprit chassait ardemment les pensées telles que "tu aimes, tu kiffes hein mon salaud, mange, oh que c'est bon !".

Donc, plus jamais de cette pizza. Même de nos jours, je suis maintenant repoussé par celle-ci (de cette pizzeria en particulier, bien sûr) de manière presque instinctive.

Est-ce que ma vie était fichue? Est-ce que j'allais pouvoir y trouver un autre moteur afin de jouir du temps qu'il me restait à vivre? Est-ce que j'étais condamné à mettre fin à mes jours à coups de kebabs? Ces idées me torturaient jour et nuit, sans que je puisse les chasser.

Mais la vie continuait malgré tout, et elle me fit éloigner, comme mûe par un désir inavoué, de ma pizzeria. Jamais je n'oublierai pour autant ; mais au moins, je n'y songerais plus que peu.


Aujourd'hui, amis, cybers amis, hommes femmes enfants canards, j'ai vécu un évènement tragique.
Le lait de noix de coco récemment acheté se révélant pas trop mauvais mais pas assez pour le boîre comme ça (je souffre en écrivant irl, respect svp). J'ai donc acheté du sucre.
J'ai mis du sucre dedans, j'ai trouvé ça bon.

Je m'en suis reservi un verre que j'ai bu d'une traite.
Mais lors de cette après midi, j'ai senti un léger malaise, et j'avais envie de régurgiter. Cette sensation est restée toute l'après midi. Et là, je me suis rendu compte d'une chose.

Le fait même de penser à cette boisson lait de noix de coco + sucre génère, excepté au prix d'une concentration volontaire, un sursaut et un frisson de dégoût de ma part. C'est littéralement physique.
Ce breuvage me dégoûte depuis quelques heures à un point inimaginable tel que je ne puisse y penser sans que mon corps en subisse les conséquences.

Jamais un aliment ne m'a dégoûté à ce point. Je me demande presque si ça va me suivre toute ma vie. Et pourtant, j'en ai bouffé et bu des trucs dégueulasses. Mais là, c'est tout bonnement incroyable. J'ai ça en horreur, j'exècre, j'abhorre, autant physiquement que psychiquement, ce truc blanc sucré.
Les mots ne peuvent exprimer ça.

Et je vous le dis ; estimez-vous heureux d'avoir une vie de chômeur, une famille reloue, ou d'avoir marché dans une crotte de chien diarrhéique en ce jour grisâtre ("on ne dit pas gris monsieur, on dit taupe!" -vous dira sans une once de réflexion une modeste employée de chapellerie) ; car il existe en ce monde une souffrance telle que le commun du mortel inférieur à qui le destin inflige une existence pitoyable paraît exposé à un bonheur défiant les lois du bon sens.


Et vous?
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Citation :
Publié par Coin-coin le Canapin
Et vous?
Ma foi ça va bien merci.

Sinon je ne peux plus manger de poisson, ni de fruit de mer depuis que ça m'a rendu malade étant plus jeune.
Jadis j'étais accroc au pain de mie complet Harrys. Puis un jour j'ai commencé à en manger un qui avait un goût fort bizarre, quand je l'ai regardé, il était couvert de tâches vertes de moisi (alors que la date limite n'était même pas atteinte ! ). Cette vision d'horreur combinée au goût m'ont dégoutté du Harrys à tout jamais.
Citation :
Publié par Coin-coin le Canapin
Salut à tous !
Je m'appelle Coin-coin le Canapin, je viens de découvrir le bar depuis quelques années.
Kikoolol.

Citation :
Je sais qu'un jour, vous êtes tombé malade. Ce jour-ci, vous avez mangé quelque chose que vous aimiez bien.
Vous avez été malade ; pourquoi? Peut-être à cause de la nourriture, peut-être pas. Là n'est pas le cruel problème que je vais vous présenter succinctement.
Non je n'ai jamais été malade depuis tout petit.

Citation :
Depuis ce jour, vous n'aimez plus cette nourriture. Pas forcément que le goût vous répugne ; mais votre inconscient lie de manière tenace l'état dans lequel vous étiez cette journée (mal) et la nourriture consommée.
Je mange de tout :O

Citation :
Fut un temps, je consommais des pizzas jambon fromage champignons tomate oignons œuf en chausson (je veux dire, en fait ils faisaient une pizza et refoutaient bêtement une pâte à pizza sur le dessus en gros, mais qu'importe) à ma pizzeria préférée. Que je les aimais !
Moi aussi. On dit une soufflée je crois non?


Citation :
Mais un jour, par un malencontreux hasard, je suis tombé malade. J'ai attrapé un petit virus ma foi fort polisson qui m'a fait vomir un nombre de fois tout à fait déraisonnable toute la journée.
Oh pauvre Coin-Coin

Citation :
Depuis lors, la moindre vision de cette pizza lorsque mon fidèle et apprécié colloc en achetait me rebutait. L'odeur me répugnait. Le goût me semblait (j'ai essayé, tel un warrior) fade et de toute manière mon esprit chassait ardemment les pensées telles que "tu aimes, tu kiffes hein mon salaud, mange, oh que c'est bon !".
!

Citation :
Donc, plus jamais de cette pizza. Même de nos jours, je suis maintenant repoussé par cette pizza (de cette pizzeria en particulier, bien sûr) de manière presque instinctive.
C'est le mal.

Citation :
Est-ce que ma vie était fichue?
Elle l'est déjà depuis que t'es sur le bar.
Citation :
Est-ce que j'allais pouvoir y trouver un autre moteur afin de jouir du temps qu'il me restait à vivre? Est-ce que j'étais condamné à mettre fin à mes jours à coups de kebabs? Ces idées me torturaient jour et nuit, sans que je puisse les chasser.
Non t'as toujours le Mecdo. Sinon oui.

Citation :
Mais la vie continuait malgré tout, et elle me fit éloigner, comme mûe par un désir inavoué, de ma pizzeria. Jamais je n'oublierais pour autant ; mais au moins, je n'y songerais plus que peu.
Mais, mais... la pizzeria !


Citation :
Aujourd'hui, amis, cybers amis, hommes femmes enfants canards, j'ai vécu un évènement tragique.
Le lait de noix de coco récemment acheté se révélant pas trop mauvais mais pas assez pour le boîre comme ça (je souffre en écrivant irl, respect svp). J'ai donc acheté du sucre.
J'ai mis du sucre dedans, j'ai trouvé ça bon.
Je m'en suis reservi un verre que j'ai bu d'une traite.
Mais lors de cette après midi, j'ai senti un léger malaise, et j'avais envie de régurgiter. Cette sensation est restée toute l'après midi. Et là, je me suis rendu compte d'une chose.
Note pour plus tard : pas faire de mélange louche.

Citation :
Le fait même de penser à cette boisson lait de noix de coco + sucre génère, excepté au pris d'une concentration volontaire, un sursaut et un frisson de dégoût de ma part. C'est littéralement physique.
Ce breuvage me dégoûte depuis quelques heures à un point inimaginable tel que je ne puisse y penser sans que mon corps en subisse les conséquences.
Idem.

Citation :
Jamais un aliment ne m'a dégoûté à ce point. Je me demande presque si ça va me suivre toute ma vie. Et pourtant, j'en ai bouffé et bu des trucs dégueulasses. Mais là, c'est inimaginable. J'ai ça en horreur, j'exècre, j'abhorre, autant physiquement que psychiquement, ce truc blanc sucré.
Les mots ne peuvent exprimer ça.
Et la Pizza?

Citation :
Et je vous le dis ; estimez-vous heureux d'avoir une vie de chômeur, une famille reloue, ou d'avoir marché dans un crotte de chien diarrhéique en ce jour grisâtre ("on ne dit pas gris monsieur, on dit taupe!" -vous dira sans une once de réflexion une modeste employée de chapellerie) ; car il existe en ce monde une souffrance telle que le commun du mortel inférieur à qui le destin inflige une existence pitoyable paraît exposé à un bonheur défiant les lois du bon sens.
Je suis pas chômeur, je suis l-y-c-é-e-n (ca revient au même).
Sinon comment tu as su que j'ai marché dans de la merde?

Citation :
Et vous?
Euh... Comme je mange de tout...
C'est pareil avec le Rhum pour moi, une soirée bien trop arrosée à finir par poser une plaque sur la plage ça m'a calmer, now rien que le sentir ça me file la gerbe .
les tripes de chèvre au barbecue avec de la sauce spéciale pour le plat dont je ne connais pas la composition

C'est tellement bon.

Pour ceux qui pensent que je plaisante, c'est un plat traditionnel de la sicile rurale.
Avant je mangeais pas mal de ce truc rose grec oublie le nom et un jour j'ai cru voir qqchose dedans qui m'a dégouté, en fait, je ne sais même pas si j'avais rêvé ou pas, mais je n'en nai plus jamais mangé.

Les granis aussi, petit biscuit bien bon, jusqu'au jour où j'ai trouvé un mini ver blanc dedans

Pareil pour les hamburger au poulet du mc do, je suis tombée sur un nerf, ça m'a dégoûtée...

Sinon en boissons, vodka rouge redbull, plus moyen rien que l'odeur me donne envie de vomir!

Mais je n'ai jamais été dégoûtée de qqchose que j'avais trop mangé
Ca a toujours fini par passer pour moi, même si parfois ce fut très long.

Par exemple à 11 ans première cuite au punch, ben j'ai pas pu boire de jus d'orange pendant trois ans.
Cuite au Pastis, tout ce qui a un goût d'anis me donnait la gerbe pendant très longtemps, je crois que c'était en 95-96 et j'ai rebut du pastis que récemment.
Moi c'est les plaquettes de chocolat au lait fondu de champion :/
Ca me poursuit depuis que j'ai environ 8 ans
des que j'ai envie de vomir, j'y repense JE VOUDRAIS NE PAS Y PENSER MAIS J'Y PENSE SANS FAIRE EXPRET, et rien que le souvenir...j'ai encore plus la gerbe après
Moi c'est le Kahlua.


Souvenir d'une soirée super, une demi bouteille de vodka, 5-6 russes blancs et entre 10 et 15 bières m'ont fait vomir tel un karscher dans le reste de la barraque.


Le plus amusant c'est que toujours aucun problème avec la vodka par contre le kahlua (composant du russe blanc), je peux même plus le sentir ca me fout la gerbe =/

C'est dommage pourtant parce que je trouvais vraiment ca super bon avant =(

Et j'ai du coup le même problème qui s'est contaminé au Bailey's : j'adorais trop le Bailey's mais n'importe quel alcool qui a un rapport direct ou indirect ou café j'peux plus.
Citation :
Publié par Panpan.tc
Le prochain poste c'est quoi ? Mes souvenirs de quand je buvais de la noix d'coco?
J'avoue. Perso, le Malibu, plus jamais.
Bon, j'vais edit avec la tite histoire, sinon j'vais me faire flam. Crans-Montana, période de fêtes 2006, entre potes. Donc alcool toussa. Et la soirée la plus arrosée, a été filmée évidemment. Donc bonne souarée, là j'avais encaissé 3 bières 33, 2 verres de bon Blanc à table, un passoa + Multivitaminé, puis 8 shot 3CL de vodka en 'tournante'. Imaginez bien qu'à cet état on commence à bien faire, mais mes rigolols de copaings et moi même raid défoncé avons eu l'idée de m'enfermer dehors dans la neige, avec comme gage de killer une teille de vin blanc. Etant completement raid cuité je l'ai faît sans vraiment m'en rendre compte, sauf que cette bouteille c'était du vin de cuisine acheté pour foutre dans la fondue. Après je fais moultes conneries, m'exploses l'anus sur un radiateur.. Bref.
Après tout ça et 45'000 conneries, étant completement raid défoncé, mon pote et moi même décidons de reboire (évidemment) et au lieu de nous en empêcher, nos potes nous offrent gentillement la bouteille de Mali(ger)bu.

Bref, je sais pas pourquoi j'raconte ça mais c'était mon unique black out, et c'était marrant même si appeurant en sachant que l'alcool a été ingêré en moins de 3h me semble-il.
Petite précision de dernière minute. Le mec qui s'écroule plus d'une fois sur la table a un visage normal lorsqu'il est pas défoncé, il fait pas peur itou.

En cadeau bonux , le lendemain sur les pistes à peine débourrés.
Quand j'étais petit j'adorais manger des moules
j'ai fait une indigestion une fois, depuis rien que l'odeur me donne envie de vomir (je parlais évidement du .. "crustacé"?)

(et le whisky coca :'( )
La pâte d'amande déguisée en fruits.
Me souviens d'un noël d'il y a fort longtemps où m'ennuyant à mourir en fin de repas, vautrée sur les genoux de ma mère, les yeux mi-clos et l'esprit embué de fatigue, je plongeais d'un geste machinal et sans n'en plus finir la main dans ces immondes petites choses. Au départ, un délice, même dans une bouche d'enfant ça s'ingurgite d'une traite et puis le goût de la pâte d'amande.. miam.
Et puis soudain, vient l'écœurement. Paf, punition de gourmandise.
La pâte d'amande prend un goût absolument infecte et pouerk.
Je ne me souviens pas avoir vomis, mais ce goût que je n'ai d'ailleurs jamais retrouvé nul-part je ne l'oublierai pas. A tel point qu'il me suffit de poser les yeux sur un fruit pâte d'amande pour que le souvenir du goût de ce maudit soir revienne et me file la nausée.
A noter que j'aime la pâte d'amande, mais en forme de fruits, cela m'est absolument impossible.
http://www.u-blog.net/ecureuilguardian/img/OrangeMecanique2.jpg



Les M&M's et les bonbons qui piques me donnent des maux de têtes au bout d'un moment. Même ainsi je continu de m'en goinfrer...
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